LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Socio Doc

SocioDoc.fr est une plate-forme collaborative d'accès et de partage de plusieurs milliers de documents du Secteur du Travail Social et de l'Action Sociale : mémoire, fiches de lectures, rapports de stage, d'annales, études juridiques , études de cas psycho-pédagogique, étude de cas clinique, ect.

Dossier juridique : Section d'Education pour Enfants Sourds avec Handicaps Associés

Dossier juridique : Section d'Education pour Enfants Sourds avec Handicaps Associés Ce dossier m’a donc permis de repérer les différentes lois et décrets qui régissent cet établissement et de comprendre comment celles-ci s’articulent entre elles; mais aussi d’appréhender la dynamique qui anime les personnes qui en font partie. Aussi, les recherches effectuées sur le sujet m'ont permises de prendre conscience de l'ensemble des acteurs mobilisés autour et pour l'usager. Par le biais de cette prise de conscience, j'ai été menée à définir le cadre dans lequel je me devais d'évoluer en référence au statut du moniteur- éducateur puis les fonctions sollicitées par la structure. Par ailleurs, le questionnement engendré par le positionnement du moniteur- éducateur, j'entends là le fait de me questionner, de questionner l'équipe et de me faire questionner, révèle l'importance d'une interaction transversale au travers une équipe pluridisciplinaire afin d'évoluer vers le mieux-être de la personne.
Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Étude de population : la MECS
J’ai effectué mon stage extérieur dans une Maison d’Enfants à Caractère Social. Cette MECS dépend du « Comité Commun Activités Sanitaires et Sociales », association loi 1901. Cet établissement accueille des jeunes de l’agglomération grenobloise, du département de l’Isère et plus exceptionnellement du territoire français. Il est ouvert 365 jours par an. Il reçoit d’une part des garçons et filles âgés de 6 à 18 ans en internat, à la demande d’ordonnances du juge des enfants ou par décision administrative. D’autre part il suit des jeunes majeurs âgés de 18 à 21 ans dans des appartements collectifs ou particuliers. Au total 65 enfants, adolescents et jeunes majeurs sont accueillis dans des dispositifs collectifs ou individualisés.
La communication dans une MAS
J’ai effectué mon stage dans une Maison d’Accueil Spécialisée à Ellon. Cette structure accueille sur décision de la MDPH des personnes adultes, de 20 à 60 ans, qu’un handicap intellectuel, moteur ou somatique grave, ou une association de ces handicaps, rend incapables de se suffire à eux-mêmes dans les actes essentiels de l’existence et qui sont tributaires d’une surveillance médicale et de soins constants. « Les hommes établirent tant de modes de communications, qu’ils en oublièrent ce qu’ils avaient à communiquer. » Robert Sabatier. Lorsque j’ai lu cette citation, elle m’a fait écho avec ce que je vis sur mon lieu de stage. En effet, les modes de communications sont multiples avec ce public : communication verbal, non-verbal, sensorielle… mais dans ce contexte, nos codes habituels sont remis en cause. Souvent lorsque les professionnels arrivent à la MAS, ils parlent de « rentrer dans un autre monde ».
Un meurtre de corbeau S.Benson - Note de lecture

Roland Vidal, veilleur de nuit dans une institution pour handicapés mentaux, découvre lors d’une de ses rondes, le corps inanimé de Katia, petite trisomique, en travers de la route. Plus tard c’est le corps sans vie d’Armand, un autre résident, qu’il découvre dans son lit.

Pour le veilleur de nuit, il va de soi qu’il a affaire à des meurtres et que cela ne peut qu'être le fait d'un membre du CAT (centre d’aide par le travail).

Pour le capitaine de la gendarmerie, Roland, ex-peintre reconnu et surtout ex-toxicomane, est le coupable idéal d’autant plus que le directeur du CAT, Jean-Pierre émet des suppositions quand à sa culpabilité.

Pour Roland il ne fait aucun doute qu’il est la victime d’une manipulation et que quelqu’un veut le faire tomber.

Il va alors entreprendre une course effrénée pour tenter de prouver son innocence.

Pour cela, il va devoir rouvrir de vieilles blessures de son passé, partir à la recherche de souvenirs enfouis et surtout tenter de comprendre les trous noirs qui constituent une partie de sa vie.

Observation clinique dans un foyer d'action éducative
Après avoir roulé pendant plus d’une heure dans Paris, on arrive enfin à destination à savoir dans un hôtel formule 1 situé à SAINT DENIS dans le 93.Mais pour des raisons de sécurité nous sommes obligé de nous garer sur le parking d’un Macdonald situé juste à côté de l’hôtel. Florent et Nicole me demande alors si cela ne me dérange pas de rester avec les jeunes pendant qu’eux vont payer la réservation afin que l’on puisse rentrer le vanne, le déchargé et commencer le plus rapidement possible notre visite de Paris. Je réponds nom et j’accepte même avec plaisir car cela montre toute la confiance qu’ils m’accordent. Me voilà donc sur un parking avec six jeunes du foyer et pour tuer le temps nous décidons de fumer une cigarette et de parler du voyage notamment d’un jeune qui a ronflé tous le voyage. Quand subitement un des jeunes dont je sais qu’il est un consommateur régulier de cannabis me lancent sur une conversation en lien avec le shit. Il commence par me dire qu’il a une boulette sur lui et qu’il aimerait bien « rouler un petit joint ».

Sachant très bien qu’il me provoque pour me tester et pour alors rentrer dans jeux je lui réponds « sort ton matos et roule ton joint si tu as vraiment envie de fumer ton petit joint ».Déstabilisé par ma réponse, il finit par me dire qu’il n’a rien sur lui et qu’il voulait savoir qu’elle serait ma réaction. Ne sachant pas réellement s’il disait la vérité et n’ayant pas le choix que de le croire surtout après qu’il m’ait donné l’autorisation de le fouiller, je décide de me lancer dans un discours afin de lui faire peur et de le pousser ma me donner sa boulette si vraiment il en avait sur, lui ce dont j’étais incapable de savoir mais j’ai décidé de faire comme si c’était le cas. Pour cela je commence par lui faire un rappel à la loi mais ça n’a que très peu d’effet dans la mesure où il me répond qu’il connaît les sanctions aussi bien au niveau de la loi elle-même que du règlement du foyer. Ensuite je lui explique les risques qu’il prend aussi bien pour lui que pour tout le groupe en se promenant dans Paris avec du cannabis. En effet je tente de lui expliquer que les probabilités pour se faire contrôler dans Paris et surtout dans le métro sont beaucoup plus importantes que dans une petite ville comme Périgueux avec notamment la mise en place du plan vigie-pirate. Ne sachant pas ce qu’était le plan vigie-pirate je lui explique alors en quoi ça consiste. Et que si jamais il se faisait contrôler avec quelque chose sur lui nous risquions tous de finir au poste et qu’il prenait donc le risque de nous gâcher notre week-end. Et je dois dire que j’ai pu constater chez ce jeune une réel inquiétude et je pouvais affirmer à 95 pour-cent qu’il n’avait vraiment rien sur lui ou si c’était le cas qu’il ne prendrai pas le risque de se promener avec du cannabis dans Paris.

Connexion

Abonnement

Recherche