
Ce dossier a été l’occasion d’avoir une dynamique de groupe, sur le thème du placement et plus particulièrement de la souffrance au de là de la violence qu’il engendre.
Nous avons pu voir que la violence qui découlait du placement était souvent due à une incompréhension de celui-ci, mais que la souffrance était quant à elle toujours présente. C’est donc à nous en tant que professionnels, de permettre une meilleure condition de placement en instaurant une relation éducative avec l’enfant mais sans occulter son histoire et par conséquent sa famille. L’enfant doit être au cœur de nos actions, et nous devons nous questionner sur son intérêt à lui.
Dans le placement les parents ont souvent l’impression d’être de « mauvais parents » d’où l’importance de travailler avec eux en amont, et pendant le placement quand les situations le permettent.
A l’issue de notre travail de réflexion, chacun de nous à aujourd’hui sa propre conception du mot violence et des enjeux qui en découlent.