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Journal d'étude clinique : La communication en équipe

Journal d'étude clinique : La communication en équipe Le travail d’équipe est avant tout le « faire ensemble », un groupe de personnes unies dans un même projet et qui ont les mêmes buts. Chaque professionnel qui le compose est une entité singulière, ce qui permet d’avoir des avis et des représentations différentes des usagers. Mais plus le groupe est important, plus la transmission de l’information doit être rigoureuse et organisée, d’où l’importance de disposer d’un système de communication adapté. Les outils utilisés à bon escient permettent de fédérer l’équipe dans ses actions et de créer une véritable cohésion entre ses membres. Se dire les choses, n’est pas la simple utilisation de supports, c’est aussi une façon d’être comme « l’empathie, la congruence et la considération positive inconditionnelle » comme l’explique Carl Rogers dans le développement de la personne. « Une équipe ce n’est pas qu’un planning affiché en salle de réunion. Une équipe c’est beaucoup plus que cela ! C’est un esprit dit-on couramment »
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Les modifications corporelles

Les modifications corporelles sont diverses, elles regroupent le tatouage, le perçage, la scarification, les implants chirurgicaux. On trouve divers termes pour désigner ces modifications corporelles que l’on commencera par définir. - Le tatouage tout d’abord, utilisé le plus couramment et connu de tous. Le tatouage est un signe visible inscrit à même la peau grâce à l’injection d’une matière colorée dans le derme à l’aide d’une aiguille d’un millimètre de long. Mentionné pour la première fois en 1769 par le capitaine COOK, le mot tatouage est dérivé du tahitien « tatau ». Il est surtout pratiqué sur les populations à peau claire, les populations à peau sombre le pratiquent plus rarement et sur certaines parties du corps telles les gencives et les lèvres. Il peut se pratiquer sur toutes les parties du corps sauf sur la langue. Le tatouage ne doit pas se faire sur un coup de tête ou pour répondre à un critère de mode passagère car c’est une marque indélébile qui restera toute sa vie. - Le piercing est un percement de la peau pour y poser un bijou, un anneau, une petite barre, etc. Signe d’exclusion au Moyen Age, le piercing s’impose aujourd’hui comme un acte de provocation et de revendication sociale. - S’y ajoute le stretching qui est un élargissement du piercing pour y mettre une pièce plus volumineuse. La scarification et les implants insérés sont moins connus mais cette pratique devient de plus en plus courante.

Le jeu comme médiation éducative

La médiation éducative dans la pratique de mon futur métier d'éducateur spécialisé:Je suis embauché en tant qu’éducateur dans un ,Institut Médico éducatif . Je dois m'occuper de D, un jeune adolescent qui a du mal à se concentrer et gère mal la frustration. Dans un premier temps, j'ai pris connaissance de son projet individualisé ( PI) .Comment vais je faire pour travailler certains points mentionné dans le PI de D ?Après une période d'observation j’essaye de susciter chez D une quelconque étincelle ou attrait pour une activité …. Je m’en saisie en et fait part à l’équipe pluridisciplinaire.

Dans un deuxième temps, pour l'activité choisie nous établissons avec lui ,en équipe et avec sa famille un projet éducatif, avec des objectifs qui seront réévalués régulièrement. On peut donc voir en terme de médiation , un déclic que l’éducateur essaye d’amorcer par l'activité (ici le jeu) et qui constituera donc un support. Exemple le Cluédo, car D ,se rappelle le temps ou il y jouait avec ses parents .C’est donc un cadre sécurisant , dans le sens ou il a déjà intégré les règles. Je pourrais a partir de là travailler sur certains apprentissages.

La décision auprès des personnes vulnérables,
Je me suis intéressée à la décision auprès des personnes vulnérables, car c’est un sujet de remise en question permanente. En effet, lors de mes expériences de terrain, je me suis demandée : qui décide quoi ? Quels sont les impacts de nos décisions sur autrui ? Y a-t-il une « hiérarchie » de décision ? Quel est le rôle du/des professionnel(s) autour des processus de décision, comment doit-il travailler avec l’usager et son entourage ? La décision est le résultat d’un travail de réflexion. C’est en quelque sorte un passage obligé, car une situation ne peut rester figée. Le professionnel a pour rôle d’orienter la personne, non pas vers une décision donnée, mais vers la prise d’une décision. Certaines personnes ne pensent pas avoir cette possibilité de décider, je pense que notre rôle est de leur en faire prendre conscience, afin qu’ils puissent avancer dans leurs prises de décision. Toute la difficulté de l’aide à la prise de décision est de ne pas influencer la personne. Bien que le professionnel accompagne le résidant dans une démarche la plus neutre possible, certains usagers sont tentés de prendre des décisions pour « faire plaisir à l’éducateur », et ainsi n’affirment pas réellement leur désir.
« La trisomie n’est pas une tare, la trisomie, c’est juste quelque chose en plus, un chromosome »
Le jeune atteint de trisomie 21 comme tout autre enfant, a besoin d’affection, de joies, de confiance en soi en liaison avec les stimulations et les exigences qui caractérisent toutes éducations. La personne atteinte de Trisomie 21 a droit comme toute autre personne, handicapée ou non, à une vie épanouissante, tant personnelle que familiale et sociale. Elle n'a pas à vivre à moitié, ni à l'abri, ni à l'écart. Pour progresser, l'enfant trisomique a aussi besoin de soins et du soutien de professionnels spécialement formés, tant au plan thérapeutique qu'au plan pédagogique et éducatif.

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