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L’enfant qui ne parlait pas : Torey Hayden

L’enfant qui ne parlait pas : Torey Hayden Torey Hayden, Psychologue et Thérapeute à la Sandry Clinic, décide de changer complètement de vie en quittant la ville. En répondant à une annonce dans le journal, elle devient Professeur-Educateur à l’école de Pecking, une ville déserte et loin de la vie citadine. Le directeur de l’école se nomme Glen Tinbergen, c’est une personne très ouverte et chaleureuse. L’ancienne enseignante que remplace Torey s’appelait Mme June Harriman. Elle s’est suicidée peu avant les fêtes de Noël.

L’hypothèse du réseau pédophile a aussi été évoquée. L’utilisation de personnages de bandes dessinées comme Dallas sert à empêcher les enfants de reconnaître leurs agresseurs. Les scènes sont souvent filmées, d’où la connaissance de Jade à l’utilisation du magnétoscope. Des histoires effrayantes sont racontées aux enfants pour ne pas qu’ils dévoilent ce qu’ils subissent. Tashee peut être morte au sein du film et non dans la réalité. C’est sans doute pour cela qu’elle pouvait toujours lui parler après sa mort.
Catégorie: Fiche de lecture Moniteur-éducateur
Type de fichier: application/pdf
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Documents associés

WINNICOTT, Jeu et réalité, l’espace potentiel

Winnicott (Donald Woods).

Pédiatre et psychanalyste britannique (Plymouth 1896-Londres 1971).

Il a travaillé pendant une quarantaine d’années à partir de 1923 au Paddigton Green Childrens Hospital comme médecin pédiatre, commencé une analyse personnelle dans les années 1930. Il devint en 1935 membre de la Société britannique de psychanalyse, dont il fut président de 1956 à 1959 puis de 1965 à 1968. Il a écrit plusieurs ouvrages sur la psychanalyse appliquée à la pédiatrie quand il publie "Jeux et réalité", mais c’est un article consacré aux « objets transitionnels », publié en 1951, qui le rendra célèbre comme "découvreur" de l’espace transitionnel. Cet article constitue le point de départ de "Jeux et réalité", œuvre la plus lue de Winnicott.

Dans cet ouvrage, il ne se contente pas de reprendre et de préciser l’objet de son article de 1951. En effet, et c’est la thèse de J.-B. Pontalis dans sa préface, Winnicott veut répondre à un malentendu et ouvrir résolument ce nouveau champ à la recherche psychanalytique qu’il entrevoit depuis 1951 : ce qu’il y a de passionnant dans l’objet transitionnel ce n’est pas l’objet doudou mais bien sa dimension transitionnelle. Mais quand le sage montre la lune, nous sommes nombreux à admirer son doigt...

«L’insertion professionnelle et sociale des jeunes" par B.Schwartz

Avec ce rapport sur l'insertion professionnelle et sociale des jeunes, paru en 1981, Bertrand Schwartz s'est imposé comme l'un des meilleurs spécialistes français des questions de formation professionnelle continue. C'est avant tout un homme de terrain en même temps qu'un universitaire. L'ouvrage tourne tout entier autour d'une question : comment lutter contre l'exclusion du travail de tous ceux qui sont peu formés, principalement les jeunes sans diplôme et les OS victimes des restructurations industrielles ? Il affirme que c'est possible, sous une double condition. Celle, en premier lieu, d'adopter une pédagogie appropriée, en partant non pas du savoir constitué pour tenter de le transmettre à un public incapable de se l'approprier et qui se décourage et abandonne rapidement ; mais en partant, au contraire, de sa pratique quotidienne et de ses savoir-faire, en définitive plus riches et plus complexes qu'on ne le pense, pour lui permettre d'acquérir les connaissances sur le terrain même de son activité professionnelle. A cette première condition de la réussite s'en ajoute une autre qui lui est étroitement liée : celle d'une organisation du travail qualifiante, qui requiert et rend possible la polyvalence des agents, en leur permettant de déborder le cadre de leurs tâches pour enrichir tout à la fois leur savoir-faire, leurs connaissances et leur horizon de vie. Bertrand Schwartz apporte ainsi sa contribution à la critique d'un taylorisme mutilant, interpellant du même coup les organisations syndicales qui n'ont que trop longtemps abandonné aux directions patronales les questions d'organisations du travail. se condamnant le plus souvent à agir dans l'urgence.

Quartiers, conflits, acteurs…

Cet ouvrage a été élaboré à la suite d'un colloque en 1998 à Aubervilliers à l'initiative des étudiants du Dispositif Expérimental de Formation. Le DEF accueille des intervenants socio-éducatifs non diplômés, qui pendant deux années, reçoivent une formation en alternance, adaptée aux problématiques rencontrées dans les quartiers en difficulté. Sous la direction de trois professionnels du secteur social : Jean Pierre Boivin (responsable de formation du DEF), Vincent Peyre (sociologue), Annick Prigent (responsable du DEF), " Quartiers, conflits, acteurs" rassemble plusieurs écrits de ces travailleurs sociaux en poste dans des quartiers sensibles. Chaque récit fait office de témoignage sur l'action éducative de proximité menée auprès des jeunes par ces intervenants sociaux, et trace également un portrait réaliste de la vie dans un quartier : les différents acteurs, les institutions parti prenantes, les rapports entre les uns et les autres, le quotidien de chacun… Ces tranches de vie relatées donnent matière à une réflexion sur ce que peut être le travail éducatif en milieu urbain. Dans les "Contrepoints" en fin de chapitre, plusieurs spécialistes commentent tour à tour ces récits. Ils soulèvent un certain nombre de questions, envisagent des réponses possibles ou des perspectives de travail, et relèvent quelles sont les constantes du travail social auprès des jeunes dans les quartiers sensibles.

psychologie des foules et analyse du moi

Ce texte « Psychologie des foules et analyse du moi » permet d’aborder la psychosociologie. En premier lieu, Freud souligne qu’il n’y a pas lieu d’opposer la psychologie individuelle et la psychologie sociale. Cette dernière étant aussi appelée psychologie des foules. En effet, l’objet de la psychologie individuelle est l’individu. Cependant il est pratiquement impossible dans la vie psychique de l’homme, de faire abstraction des relations avec les autres. Ainsi la psychologie individuelle est aussi une psychologie sociale. Il parle de deux types de processus dans l’investigation psychanalytique : les phénomènes sociaux et narcissiques. Ensuite il définit la psychologie des foules : « la psychologie des foules traite donc de l’homme isolé, en tant que membre d’une lignée, d’un peuple, d’un caste, d’une classe, d’une institution, ou en tant que partie d’un agrégat humain qui s’organise en foule pour un temps donné, dans un but déterminé. » (p.124). En fait il existe différents modes de formation en foule. Elle est le lieu d’expression de nombreux phénomènes psychiques. C’est pourquoi, il se propose d’étudier quelques points précis. Freud analyse l’ouvrage de Le Bon « Psychologie des foules » (1912). D’un point de vue théorique, la psychologie des foules répond à trois questions essentielles : - qu’est-ce qu’une foule ? - d’où provient cette capacité d’influencer la vie psychique d’une personne à l’intérieur d’une foule ? - comment se caractérise le changement psychique de cette personne ? C’est l’observation de la modification du comportement de l’individu dans la foule qui est l’objet de la psychologie des foules. Le plus marquant dans une foule, c’est l’apparition d’une âme collective. Il se demande alors quels sont les liens entre ces individus. Il insiste sur le fait que Le Bon ne répond pas à cette question. Mais, ce dernier reconnaît la modification de l’individu dans une foule. Quelles sont les causes de cette différence de comportement entre un homme seul, et un homme en foule ? Pour cela, il faut s’appuyer sur la psychologie moderne. Celle-ci dit que les phénomènes inconscients jouent un rôle autant dans la vie organique que dans le fonctionnement de l’intelligence. Il existe toujours des causes secrètes à nos actes. Le Bon pense que dans la foule les particularités individuelles disparaissent. « L’hétérogène se noie dans l’homogène. » (p.129). Il y aurait un « caractère moyen de l’individu en foule ».

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