LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Socio Doc

SocioDoc.fr est une plate-forme collaborative d'accès et de partage de plusieurs milliers de documents du Secteur du Travail Social et de l'Action Sociale : mémoire, fiches de lectures, rapports de stage, d'annales, études juridiques , études de cas psycho-pédagogique, étude de cas clinique, ect.

Repérage institutionnel

Repérage institutionnel La Maison d’Enfants la Ste F. s’inscrit dans le champ de l’action sociale au travers du schéma départemental. Elle constitue un élément de réponse au besoin de solidarité sociale. Elle a une mission d’aide, d’éducation, de protection en direction des mineurs et leur famille. Elle tend à garantir une prise en charge respectueuse de l’enfant dans ses droits en application de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant et des parents, en date du 20 novembre 1989, dans leurs prérogatives liées à l’Autorité parentale.

Le chef de service Éducatif assume les responsabilités éducatives, administratives dans le cadre de missions ou de directives fixées par le directeur. Il est notamment chargé de la mise en œuvre et du suivi des objectifs éducatifs et (ou individuels définis par le projet pédagogique de la maison). Dans la mesure où le directeur de la Ste FAMILLE est chargé de l’exécution des délibérations du conseil d’Administration et de leur contrôle, le chef de service lui fournit tous rapports, compte rendus ou informations susceptibles de l’informer utilement.
Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Le secret de famille
J’ai choisi de traiter le sujet du secret de famille dans mon dossier thématique. En effet, je pense que c’est un sujet qui concerne beaucoup d’individu, en tant qu’Educateur nous sommes tous confronter quotidiennement a des personnes qui sont victimes ou bien qui sont porteur d’un secret de famille. Lors de mon premier stage en foyer d’hébergement j’ai pu constater que certain résidents avez des liens particulier avec leur familles, parfois ils ne peuvent pas aborder certains sujets avec leurs parents, je me questionne donc sur qu’est ce qu’un secret de famille et qu’est ce que cela provoque chez les personnes victimes de celui-ci. Je me questionne sur le travail que l’ont peut effectuer avec ses personne pour les accompagner à vivre avec se secret ou les accompagner a trouver certaines réponse.
La violence des adolescents déplacés en MECS
Suite à un poste de monitrice-éducatrice pré-stagiaire en Maison d’Enfants à Caractère Sociale, j’ai pu être amenée à faire face à des situations de violence. Qu’il soit question de la violence institutionnelle, de la violence des adolescents à l’égard d’autrui et ou de l’agressivité … le professionnel se doit d’y pallier. Lors de ce premier emploi auprès d’adolescents, j’ai eu l’expérience au premier abord fâcheuse de me trouver confronté à cette violence. Face à cette situation, il m’a été difficile dans les premiers jours d’entreprendre, d’envisager une démarche, ces conduites violentes m’ont réellement questionnée dés mon arrivée. Dans l’optique d’évoluer professionnellement, j’ai voulu comprendre cette violence, pourquoi les adolescents montrent une telle violence (verbale, physique) envers l’institution, les autres jeunes accueillis ou le personnel éducatif. J’avais le sentiment que la violence était un des moyens privilégiés de communication pour ces jeunes placés. Comprendre son origine et les manières par laquelle elle peut se décliner me permettra de mieux l’appréhender et de poser des actes et des paroles adaptées dans mon accompagnement.

Pourquoi ai-je employée le terme « déplacés » « Dire qu’un enfant est placé, c’est à dire que la solution est trouvée. Or il n’y a pas d’enfants placés, il n’y a que des enfants déplacés, des enfants déportés, des enfants déracinés ». (Pierre verdier) A mon sens, la question de placement à l’adolescence contient surtout l’idée de déplacement et suppose une intention de changer l’environnement. Pourtant, bien que cette volonté implique l’assentiment de l’adolescent qui supportera le changement de la réalité externe et, mieux, elle en sera améliorée, il est prudent de ne pas perdre de vue que, pour qu’il en soit ainsi, l’adolescent a été soumis à quelques influences, d’autre part que sa capacité créatrice a été lourdement sollicité et positivement évaluée.
Les mineurs étrangers isolés
Au mois d’Août 2009, nous avons reçu un jeune garçon sur l’appartement. Nous l’appellerons Vadim par soucis d’anonymat, il est âgé de 17 ans, il est d’origine Kurde et il est né et a vécu en Turquie. Il est arrivé en France depuis le mois d’avril 2009. Sa famille, ses parents ses trois frères et sa sœur, sont restés en Turquie. Il a également une petite amie, qu'il a promise en mariage et qui est restée en Turquie. En Turquie, les Kurdes sont victimes de mauvais traitements. Les parents de Vadim inquiets pour son avenir l’ont envoyé en France. En effet, Vadim avait participé à de nombreuses manifestations et risquait d’être envoyé en prison car il était connu des services de police.
DC 1 : A la rencontre de l'ennui
Au long de mes deux stages, j’ai pu constater que la vie en institution pouvait être aliénante. Le rythme de vie est institutionnalisé, soit en lien avec l’emploi du temps des professionnels, soit en lien avec les attentes qu’ont les familles ainsi qu’avec le projet individualisé des usagers. Celui de chaque résident est organisé par des prises en charge de soins physique et/ou psychique, d’ateliers, de sorties, de loisirs, de sports... Cet accompagnement me semble nécessaire, afin de permettre à la personne d’avancer dans ses démarches de soins, de socialisation, de projet professionnel. Cependant, des instants qui pourraient permettre aux usagers de se retrouver seuls, me semblent importants. Serait-il nécessaire de dégager des temps libres, de façon institutionnelle, afin que les personnes puissent prendre des moments pour eux ? Je me suis beaucoup interrogée sur les temps libres dont disposent les personnes accueillies. Ils ne sont pas réfléchis de la même manière, selon ce qui a amené à cet accueil, l’institution, le public et l’âge. Comment peut-on préserver leur intimité lorsque l’institution ne laisse que peu de place à ces moments ? Mais alors, que se passe-t-il durant ces moments ? Comment dans une institution, où chaque minute est organisée, ces personnes peuvent-elles faire face à elles-mêmes ? D'après mes observations, ces personnes étaient rapidement envahies par l’ennui. Celui-ci, souvent perçu comme négatif « est synonyme de désoeuvrement, pouvant parfois être mortifère, sur son versant « positif », l’ennui permet à l’enfant de développer son imaginaire, sa créativité et de penser. Mais pour que celui-ci soit constructif, il s’avère nécessaire que l’enfant ait « appris » à s’ennuyer très tôt et qu’il puisse trouver dans son environnement de quoi y pallier par lui-même2 ». Dès lors, comment l’équipe et moi-même pouvons nous le travailler avec les personnes accueillies, et lui laisser la place dans la construction de l’être ?

Connexion

Abonnement

Recherche