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La question du débat dans la mise en place de lois légalisant l'avortement

La question du débat dans la mise en place de lois légalisant l'avortement Les lois sur l’avortement en France sont le résultat d’un long processus. Pendant très longtemps, les femmes avortaient en toute clandestinité risquant leur vie avec des techniques barbares et étaient sévèrement réprimées par la société, ainsi que les personnes qui les aidaient à avorter. L’avortement était vu comme un crime, dans une société religieuse qui encourageait les familles nombreuses.

On peut se rendre compte que la question de l’avortement est encore très ouverte, même si en France ce droit est installé malgré encore quelques détracteurs. Les difficultés sont plus d’ordre financier avec le manque de moyens donnés au centre d’interruption volontaire de grossesse (CIVG). Au niveau mondial, les débats autour de l’avortement sont encore très présents. Aux Etats Unis, dans certains états une menace pèse pour le droit à l’IVG. En Europe, des pays ont encore des lois très restrictives sur l’avortement, au point où, on se pose la question d’une harmonisation européenne des lois sur l’avortement.
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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Le dossier de surendettement
La nature du surendettement a muté ces dernières années. Alors qu'il n'y a pas si longtemps, les ménages ne contractaient des crédits que pour des fins précises (achats immobiliers, voyages, achats automobiles, etc.) Aujourd'hui, le surendettement ou « surendettement passif » (expression apparue dans les années 1990), est souvent lié à un accident de la vie. Ils représentent environ 70% des dossiers déposées à la Banque de France. Les individus sont sujets à une diminution brutale des ressources qui ne leur permettent plus de faire face à leurs charges. Le manque de plus en plus fréquent de patrimoine ne joue plus le rôle d'assurance. En effet, la précarisation des emplois, la baisse du niveau de vie des ménages, l'évolution des familles (familles monoparentales, ruptures familiales plus fréquentes etc.), l'apparition de notre société de consommation fragilisent les populations. Le pouvoir d'achat diminue tandis que les revenus stagnent. Nous observons une paupérisation du niveau de vie où les crédits contractés occupent une place davantage de revenus réguliers que de sommes d'argent supplémentaires ponctuelles.
Le concept de stigmatisation
« La stigmatisation recouvre l’ensemble des procédés et des énoncés revenant à disqualifier des individus ou des catégories d’individus ou encore, des appellations, au départ neutres, progressivement chargées de connotations dévalorisantes (« jeunes des cités », SDF, bobos) » (1). Le terme stigmate vient des Grecs, qui l’inventèrent, pour « désigner des marques corporelles destinées à exposer ce qu’avait d’inhabituel et de détestable le statut moral de la personne ainsi signalée » (esclave, criminel, ou traitre). Au temps du christianisme, ce terme se rapportait aux marques laissées sur le corps par la grâce divine (plaies éruptives), mais aussi sur le plan médical, aux signes corporels d’un désordre physique.
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Jusqu’en 1970, on a distingué deux modèles d’entrée dans la vie de la jeunesse, influencés par leurs origines sociales. La jeunesse étudiante et bourgeoise bénéficiait d’un soutien familial important et avait accès à des formations longues. Le cadre social étudiant leur permettait de se construire socialement, de s’insérer professionnellement. La jeunesse populaire, elle, accédait précocement au monde du travail. Leur insertion sociale se construisait par leur insertion professionnelle. Ce modèle leur permettait de gagner en expérience de la vie et en maturité sociale. Nous avons choisi de nous concentrer sur les politiques sociales œuvrant actuellement pour l’insertion socioprofessionnelle des jeunes âgés de 16 à 25 ans. L’emploi que nous ferons du terme « jeune » correspondra donc à cette tranche d’âge.

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