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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

L’Esprit du don : Jacques T. Godbout

L’Esprit du don : Jacques T. Godbout Dans le chapitre don, marché et gratuité, l’auteur se forge une réflexion générale sur le concept de gratuité dans un système de don. Sa théorie : le don est gratuit car celui qui donne, prend le risque de ne rien recevoir en retour, c’est le cas très clair du don du sang : il n’y a pas de retour possible entre deux individus car celui qui donne son sang ne sait pas pour qui.

Le don est partout. Au sein de l’entourage, de la famille, mais aussi dans le milieu professionnel et au niveau de la société. Dans nos pratiques sociales, le fait d’avoir un apport théorique sur le don et les échanges permet d’analyser et d’ajuster la relation éducative qui peut s’établir entre deux sujets. Ainsi le don n’est plus banal, il a une signification.
Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Documents associés

La résilience, ou comment renaître de sa souffrance: Boris Cyrulnik et Claude Seron

La résilience, ou comment renaître de sa souffrance est un livre écrit sous la direction de Boris Cyrulnik et Claude Seron. Ils ont recueilli les travaux de plusieurs auteurs traitant de la résilience et partageant leurs expériences cliniques. Ce livre témoignage a été édité en 2003 aux éditions Fabert, dans la collection Penser le monde de l’enfant, collection dirigée par Jean-Paul Mugnier, thérapeute familial et de couple. Il est à l’intention des éducateurs et des praticiens, mais également de quiconque veut « renaître de sa souffrance ».

Sociologie de l’intégration : Mohand Khellil

e mot intégration est né dans le passé colonial Français c’est dans un contexte colonial qu’une partie de l’immigration s’est effectuée Aujourd’hui le rejet et la xénophobie sont tjrs présents liés à des préjugés difficultés d’embauche, recalé à l’entrée des boites de nuit Selon J. Fijajkowski l’animosité envers les étrangers serait liée aux problèmes quotidiens la modernisation favoriserait le bien-être de 2/3 de la population, tiers restant deviendrait déviant et rejeté.

L’immigré serait rejeté car il réintègre une société qui se dit moderne des éléments traditionnels perçus régressifs. Le rejet se veut donc plus conservateur que raciste Cependant le racisme est bien présent = logement, travail, justice, insultes policières car il y avait une relation de dominant-dominé avec les colonies Suite à ces discriminations les immigrés se replient sur eux et sur leur culture d’origine Selon D. Lapeyronnie, l’égalité et l’identité ainsi que l’universel et la sauvegarde sont compatibles Cependant, il y a un paradoxe = + les immigrés s’intègrent + ils font l’objet de pressions racistes La communauté s’analyse par une appartenance et donc une forme d’intégration Selon Tönnies, la communauté se développerait par la famille, le pays natal.

Ces enfants qu’on sacrifie… Par Maurice BERGER

Dans une première partie, l’auteur rentre dans le vif du sujet en nous énonçant les différents troubles qu’un enfant peut présenter lorsqu’il est soumis précocement à un milieu éducatif très inadéquat. La plupart de ces troubles apparaissent très tôt, mais ne sont constatés que lorsque les enfants sont plus grands et que ces troubles sont devenus quasi-irréversibles.

« Corps, infirmes et société », de Henri-Jacques STIKER

Dans un premier temps l’auteur expose les difficultés qu’il y a à aborder l’infirmité. En effet, le fait de l’aborder implique un engagement et un questionnement personnel, qui nous touche de près ou de loin. De tout temps l’homme a eu du mal à se confronter à l’infirmité, à ce qu’il nomme la malformation, la débilité… Tous ces termes négatifs qui renvoient à des peurs et qui reflètent une gêne. L’infirmité, pour les personnes concernées, entraîne un bouleversement dans une vie, un changement des représentations, une désorganisation des valeurs et une culpabilité.

Le regard des autres, sur toutes déviances qu’elles soient d’ordre psychique, mental ou physique, conduit à une peur, à un rejet. Comme le pense l’auteur, l’infirmité représente une « a-normalité » qui permet de donner corps à la « normalité ». L’homme dans sa quête d’identité et de similitude, à besoin de voir « son opposé » pour se rassurer dans sa normalité. De fait le handicap est prit en compte dans notre société, mais pas complètement, ce qui occasionne une exclusion, que l’on retrouve dans le système économique, culturel… D’où le dilemme entre exclure et inclure.

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