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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

J’ai mal à ma mère : Michel LEMAY

J’ai mal à ma mère : Michel LEMAY

Le docteur Lemay est né en 1931, il a commencé sa carrière en Bretagne comme éducateur spécialisé, puis comme directeur des études à l’école d’éducateurs spécialisés de Rennes. A la fin des années cinquante, il se fait connaître par ses publications consacrées à la jeune profession de l’éducation spécialisée en parallèle de ses études de médecine. Docteur en médecine, docteur en lettre, psychiatre Michel Lemay est maintenant professeur titulaire au département de la faculté de médecine de l’Université de Montréal, tout en étant détaché à l’école de Psychoéducation de cette même université.

Aussi, la formation professionnelle joue un rôle plus qu’important, je dirai prépondérant dans la mesure où elle est la base des premières observations. L’expérience s’enrichit par la pratique du terrain, le travail de collaboration et de concertation de l’équipe d’éducateurs, de la famille, des cliniciens et psychothérapeutes. Pour poursuivre, ce ballotement de l’enfant d’institution en institution le prive et en même le contraint à ne pas vouloir entrer en relation avec autrui, de peur d’être abandonné.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
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Assistance sociale et contrepartie, actualité d’un débat ancien : PURIERE

Aux origines de la contrepartie à l’assistance réside l’apparition de surnuméraires. Au XIVème siècle des paysans déracinés arrivent en ville et ne trouvent pas de travail en raison de leur nombre et de leur qualification inadaptée. Face à ce nouveau dilemme des pauvres valides deux attitudes se révèlent, la bienveillance catholique et la répression. Cette dernière prendra effet jusqu’au XVIIIème et se montra pourtant inefficace par son manque de fondement. Dans la seconde moitié du XVIIIème émergeât alors une nouvelle réponse, celle de lier l’assistance au travail.

En France on généralise les ateliers de charités qui deviendront à la révolution les ateliers de secours, c’est avec eux qu’émerge l’idée de la contrepartie. L’indigence valide se voit reconnaitre un droit à l’assistance mais il a en contrepartie, vis à vis de la société le devoir de travailler.

L'erreur pour enseigner : JP ASTOLFI

Jean-Pierre Astolfi, didacticien et professeur de sciences de l’éducation à l’Université de Rouen, se questionne dans ce livre sur la place de l’erreur dans les apprentissages. Il identifie d’abord assez rapidement le statut de l’erreur à l’école, c'est-à-dire l’idée que les élèves et les enseignants s’en font et la place qu’ils lui donnent intuitivement. Il met ainsi en relief les processus d’apprentissage sous-tendus et les met à l’épreuve de la réflexion de Bachelard et Piaget. Enfin, il définit et approfondi un certain nombre de types d’erreurs et propose des médiations ou remédiations possibles afin de mettre ces erreurs au service des apprentissages.

L’état adolescent Miroir de la Société : Daniel MARCELLI

La lecture de ce livre m’a permis d’avoir plus de connaissances sur le public adolescent que j’ai rencontré sur mon lieu de stage. J’ai compris de nombreuses choses sur le désir de l’autre et pourquoi à des âges distincts, un adolescent de 12 ans n’a pas la même relation à l’autre qu’un autre de 15ans. Ce livre m’a aussi permis de m’ouvrir les yeux sur quelque chose que j’avais remarqué mais qui me semblait anodine, c’est la différence de comportement selon les sexes. Les filles auront tendance à faire une montagne de quelque chose de futile tandis que les garçons passeront à autre chose facilement. Les filles avaient aussi plus tendances à rester seule ou au téléphone avec une amie qu’avec les autres jeunes du groupes tandis que les garçons étaient souvent ensemble, « en bande » comme décris dans le livre.

Pour ce qui est des adolescents hyper-connectés, dans cette structure, les jeunes n’avaient pas accès à internet en libre-service et ne s’en servait que pour des recherches scolaires sous surveillance d’un adulte. Mis à part sur leur téléphone qui n’était pas vérifié, les jeunes n’avaient pas accès à Facebook ou autres réseaux sociaux ou jeux en ligne pour éviter tout débordement et risque d’addiction.

Aurélien PURIERE : Assistance sociale et contrepartie.

Les cent trente-six pages de ce livre se structurent en deux grandes parties, définissant les origines historiques et les fondements théoriques de l’assistance à la contrepartie. La première est consacrée à la recherche d’une réponse au dilemme du sort à réserver aux pauvres valides. Cette recherche montre, qu’en 2008, l’assistance sociale, accordée en échange d’une contrepartie est la réponse des pouvoirs publics, à un dilemme qui s’est posé à la société depuis le XIV° siècle.

Et la seconde à la lutte contre la prétendue dépendance à l’assistance, en analysant des théories qui justifient l’instauration d’une contrepartie à l’assistance.

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