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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Note de réflexion sur une situation éducative

Note de réflexion sur une situation éducative Au regard de cette situation éducative, j’ai pu constater la difficulté d’être au plus juste et le plus adapté dans la définition des objectifs pour le projet éducatif spécialisé de la personne prise en charge ainsi que la difficulté d’assurer la continuité dans la prise en charge quand le nombre de professionnels évoluant autour de la personne est important. En effet, m’investissant plus particulièrement dans la prise en charge de Paul, j’ai pu remarquer que des professionnels peuvent avoir tendance à s’enfermer dans les tâches du quotidien et mettre de côté les actions éducatives relatives aux objectifs mis en place pour Paul. En ce qui concerne la relation éducative, j’ai pu remarquer la nécessité d’observer les habitudes et intérêts de chaque résident afin de mieux savoir comment l’appréhender pour créer une relation de confiance. Pour ceci, il est très important de connaître la personne et de pouvoir s’adapter à celle-ci. En effet, avoir une relation de confiance est la base pour que les actions éducatives que l’on mettra en place aient un impact positif. Si je n’avais pas réussi à instaurer une relation de confiance avec Paul, il m’aurait été impossible de l’approcher, de le solliciter et donc de mettre en place des actions éducatives. Les objectifs mis en place sont également difficiles à décider sans l’avis du jeune. De plus, les moyens choisis pour parvenir à ces objectifs peuvent ne pas être adapté une fois qu’on les met en pratique et il se peut qu’il soit nécessaire de les ajuster. Il est toujours nécessaire de s’ajuster à la situation.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

Violence et institution
Pour ma part, cela fait actuellement quatre ans que je travaille dans une M.E.C.S avec des jeunes majeurs âgés de 17 à 21 ans. De plus, durant la semaine sur le module de la violence, j’ai pu traiter le thème « violence et institution », et plus particulièrement la violence des usagers vis à vis des professionnels. Cependant, à travers cette note, j’aimerais notamment discuter sur le sujet concernant la violence institutionnelle. Puis, dans un second temps, les réponses éducatives, que nous, travailleurs sociaux; nous pouvons leur apporter.
DPR Travail en partenariat et réseau - Aide Sociale à l'Enfance

J’effectue mon stage de deuxième année auprès d’un éducateur spécialisé, au sein du service de placement familial, de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) . 

L’article L112-3 du Code de l’Action Sociale et des Familles (CASF) affirme que : « La protection de l’enfance a pour but de prévenir les difficultés auxquelles les parents peuvent être confrontés dans l’exercice de leurs responsabilités éducatives, d’accompagner les familles et d’assurer, le cas échéant, selon les modalités adaptées à leurs besoins, une prise en charge partielle ou totale des mineurs… » 

Cette mesure de placement d’un mineur, ordonnée par un Juge des Enfants, fait intervenir, outre le service de l’Aide Sociale à l’Enfance, d’autres professionnels de structures et services extérieurs. Ces professionnels font partie de l’ensemble des partenaires et du réseau de l’éducateur de l’Aide Sociale à l’Enfance.

La loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale marque la volonté explicite des pouvoirs publics de favoriser le développement du travail partenarial et de réseau, en lui accordant une légitimité accrue : ceci afin de permettre de favoriser la coordination et la complémentarité des différents intervenants et de garantir une continuité dans l’accompagnement de l’usager.

Au cours de cet écrit, je commencerai tout d’abord en présentant le service au sein duquel j’ai effectué mon stage. Dans un second temps, à partir d’une situation que je développerai, je tenterai d’analyser l’importance du travail en partenariat. Dans un troisième temps j’analyserai le travail partenarial, puis pour conclure je proposerai différentes actions.

Journal d'étude clinique
Mon écrit s’intitulant « le journal d’étude clinique » s’inscrit dans le domaine de formation 3, et constitue une partie du domaine de certification 3 dans lequel, il est question de la notion du travail d’équipe et des différents moyens de communication. Afin de réaliser cet écrit, je me suis penché sur le travail d’équipe de mon lieu de stage de découverte 2, que j’ai effectué au CMPI, service de psychiatrie infanto juvénile Villa Mireille de la Crau de Nîmes, qui dépend du CHU de Nîmes.

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