ISIC : La place de la négociation au sein d’un partenariat

L’alimentation des personnes atteintes de déficiences intellectuelles, vivant en milieu ordinaire. Après avoir étudié les évolutions des pratiques alimentaires en France et rappelé les besoins nutritionnels de l’organisme ainsi que les conséquences sur la santé, je m’intéresserai aux capacités, aux connaissances et aux habitudes des usagers de ce service d’accompagnement. Je verrai ensuite comment il est possible de préparer des repas équilibrés selon leurs conditions d’autonomie et budgétaire. Enfin, je mettrai en œuvre un projet d’action reprenant les capacités et compétences d’une technicienne en ESF telle que l’information et la formation en matière d’alimentation et de santé dans le but de développer et d’accroître leur autonomie dans la vie quotidienne. En effet, ce projet vise à sensibiliser le public des personnes handicapées à un comportement alimentaire adapté et leur permettant d’acquérir des savoirs faire en matière de nourriture. Ainsi, dans le but de mener une étude précise des besoins, il m’a tout d’abord fallu entreprendre une démarche méthodologique.

Comment bien manger sans se ruiner ?

Acheter malin :

- Préparer une liste de courses en pensant aux menus pour une semaine et essayer de s'y tenir

- Se méier des promotions qui font acheter plus donc dépenser plus. Vérifier le prix au kilo pour pouvoir comparer le prix de revient

- Faire les courses le ventre plein et si possible sans les enfants qui incitent à acheter des aliments "vu à la télévision" souvent plus chères : Vous économiserez 

- Aller au marché putôt vers 13h quand les prix sont cassés. Acheter des fruits de saisons

Accompagnement individuel d’une famille en difficultés financières Toutes ces attentions, font partie du premier contact avec la personne accompagnée qui va lui permettre à elle aussi de ne pas se sentir jugée mais de se sentir aider. Je l’invite à entrer dans mon bureau et lui tend la main pour lui dire bonjour. Par ce geste d’accueil, je reconnais la personne en difficulté comme individu à part entière et pas seulement un dossier.
Je lui propose ensuite de s’assoir et avant de commencer, je vais m’assoir de l’autre côté du bureau afin de me retrouver à la même hauteur que madame. Je ne souhaite pas me mettre en position supérieur par rapport à madame. Je suis accompagnante et non « sauveur ». C’est pourquoi, je commence mon entretien en lui demandant : « Qu’est ce que je peux faire pour vous ? ». Je centre mon entretien sur les solutions et non l’ensemble des problèmes afin de rassurer et la mettre en confiance.

Dossier : Le suicide chez les jeunes Pourquoi des jeunes qui ont toute la vie devant eux sont-ils si désespérés au point de mettre fin à leurs jours ? Il existe des événements ou des éléments importants qu’on rencontre en nombre plus important chez les suicidaires, ce sont les facteurs de risques. Les éléments ne sont pas sur le même plan : certains concernent la personne au moment où on la voit, d’autres sont plutôt reliés à son passé, d’autres encore à son environnement. Les facteurs de risques sont dits primaires quand on ne peut pas agir sur eux et qu’ils ont une valeur d’alerte (maladies mentales), secondaires si on ne peut agir que faiblement sur eux et qu’ils ont une faible valeur prédictive (adoption, maltraitance), tertiaires quand on ne peut pas agir sur eux et qu’ils n’ont aucune valeur prédictive (le sexe, l’âge).