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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

DPP dans un IMPro et dans un service de protection de l'enfance

DPP dans un IMPro et dans un service de protection de l'enfance Afin de rendre compte de ma pratique professionnelle, j’ai choisi d’exposer deux situations. La première concerne Damien, adolescent de 15 ans atteint de troubles autistiques. La seconde est relative à Samuel , âgé de 17 ans, accueilli dans le cadre de la protection de l’enfance. A travers ce dossier, je m’appuie sur ce que j’ai compris des prémices d’une rencontre, base nécessaire à l’étayage d’une relation éducative. Ce que je suis, le référentiel métier, ce qui a pu m’être renvoyé lors de mes stages et certains auteurs sont des guides dans ma construction professionnelle et donc pour cet écrit.

La relation est la base de mon futur métier. En revanche, la manière d’y accéder est infinie. Sans cesse j’ai recours à une multitude de supports pour aller à la rencontre de mon alter-ego : l’observation, le temps, le partage de la vie quotidienne, la mise en place d’une activité. Je tente d’utiliser les temps formels et informels afin d’enrichir chaque relation.
Catégorie: Rapport de stage Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
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Documents associés

Le travail en partenariat : un outil de l'éducateur spécialisé
Les mesures de responsabilisation se dérouleront en plusieurs temps. Tout d’abord, nous participerons à une instance de réflexion commune pour décider, avec le lycée, si nous souhaitons proposer au jeune une mesure de responsabilisation. Cette décision s’appuiera sur les éléments dont nous disposerons avec l’établissement, concernant l’élève (histoire, parcours, contexte, acte posé) et sur la possibilité que nous avons ou pas de proposer une action adaptée à sa situation ayant un sens pour le jeune. Ainsi, lorsque la décision sera positive, nous élaborerons le déroulé de cette mesure de responsabilisation que nous présenterons à l’établissement. Afin d’élargir les propositions et de nous adapter au mieux à la situation du jeune, nous nous laissons la possibilité de faire appel à d’autres partenaires tout en maintenant notre présence et notre accompagnement, tout au long de la mesure, auprès du jeune. Par la suite, nous rencontrerons le jeune pour lui présenter la mesure de responsabilisation que nous souhaitons lui proposer. A charge pour lui de l’accepter ou de la refuser. Lors de cette rencontre les modalités de l’action lui seront présentées, ainsi que la convention à signer par lui et son responsable légal s’il est mineur. La mesure de responsabilisation peut commencer une fois qu’ils ont adhéré.

Cette mesure, comme le précise les textes, doit se dérouler en dehors des temps scolaires et ne doit pas dépasser 3 heures consécutives. C’est pourquoi nous avons décidé de la mettre en place, de façon générale, le mercredi après-midi de 12h 45 à 14h 45. Afin de faciliter l’accès à l’association et pour des mesures de sécurité nous avons fait le choix de venir les chercher au lycée et de les ramener au lieu précisé par les parents sur la convention (cf. Annexe n°4 : Convention). Ainsi, ils seront déjà sur l’établissement, ils n’auront pas besoin de se déplacer et ils n’auront pas tout leur mercredi après-midi de bloqué. La mesure s’effectuera, sauf exception, à l’extérieur du lycée afin de permettre au jeune de s’ouvrir sur l’extérieur, de favoriser le dialogue et l’expression du jeune, de permettre la découverte de différentes structures pouvant l’accueillir et d’amorcer une relation avec des adultes extérieurs au lycée.
Dossier partenariat et réseau : lutte contre l'exclusion
Pour définir ce public nous nous sommes appuyés sur les constats cités par les membres d’Alliance à savoir l’accroissement des jeunes sans solution d'insertion et sans ressource. Le nombre de jeunes de 16 à 25 ans accueillis dans les différents centres d'hébergements et de réinsertion augmente chaque année et les jeunes en errance sont de plus en plus nombreux sur le territoire. Cette population de jeunes dits “en errance” semble avoir été peu étudiée dans le département. De nombreux acteurs contactés nous ont interrogés sur cette appellation. Effectivement, la sémantique utilisée n’était pas claire ni pour nous ni pour les acteurs rencontrés sur le territoire. Pour notre équipe de stagiaire, un jeune en errance était un jeune à la rue et sans repères, pour certains professionnels “jeune en errance” signifie jeune sans attache, mais pas forcément sans logement, et pour d’autres cela signifie des jeunes en marginalisation extrême. Pour nous adapter aux différents interlocuteurs nous décidons ensuite de nommer notre public “jeunes en difficulté”. Notre recherche dans le cadre de ce stage nous a permis de repérer des éléments d'analyses plus précis concernant cette population et ainsi en déterminer une définition plus affinée. Cette population recouvre plusieurs réalités : jeunes en rupture familiale victimes de décohabitation, jeunes en échec de placement, jeunes en itinérance, jeunes sortis de l’ aide sociale à l'enfance (ASE) sans solution de relogement, mineurs isolés étrangers, jeunes sous-main de justice ou en sortie de mesures judiciaires… Au fil de notre étude, nous avons constaté que le dénominateur commun de ce public est la rupture sous diverses formes. C’est pourquoi nous décidons dorénavant d’utiliser le terme “jeune en rupture” lors de nos contacts avec les différents acteurs. Une fois cette définition plus affinée, nous allons poursuivre avec les termes de partenariat et réseau.
Rapport de stage en ITEP
Dans une première partie, il me semble intéressant d’aborder la question des passages à l’acte et de la violence qui sont omniprésents en ITEP et la fonction qu’ils occupent, ainsi que la contention physique qui les accompagne parfois. Ensuite, je tenterai de dégager les besoins des enfants et adolescents en ITEP. Enfin, je m’intéresserai aux fonctions de l’éducateur spécialisé travaillant dans un Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique.
Stage au Burkina
J’ai beaucoup travaillé auprès des travailleurs sociaux de la cellule OEV. Afin de contextualiser les missions de l’équipe, il faut savoir que la pandémie de sida continue de progresser, notamment en Afrique Subsaharienne, où vivent environ 30% des personnes infectées dans le monde, alors que cette région comprend moins de 2% de la population mondiale1 (cf bibliographie page 12). Le Burkina Faso présente un taux de séroprévalence (taux de personnes porteuses du VIH/SIDA par rapport à l’ensemble de la population) de 2% et se place parmi les pays les moins avancés selon l’Indice de Développement Humain - indice calculé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (P.N.U.D.) qui permet l’établissement d’un classement annuel des pays, il prend en compte l’espérance de vie à la naissance, le niveau d’instruction et le P.I.B. réel par habitant – (174ème rang sur 177)

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