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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Violence et institution

Violence et institution Parallèlement, nos interventions éducatives tiennent tant des valeurs personnelles de chacun que ses représentations et de ses limites individuelles. De même, ce qui m’a paru utile dans le travail social, c'est de se questionner sur le pourquoi de cette violence, afin de pouvoir mettre en place une prise en charge préventive, mais aussi au travers du quotidien, de permettre aux usagers d'extérioriser cette violence en les amenant à modifier leurs façons de l'exprimer.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Etude de cas clinique
J’ai effectué mon stage long à responsabilité dans un service de l’Aide Sociale à l’Enfance du Conseil général de la Haute-Vienne. Les éducateurs travaillant pour ce service ont pour mission de mettre en place et de suivre l’exercice d’actions éducatives en milieu ouvert. Les mesures peuvent être d’origine administrative. Dans ce cas les mesures sont dites préventives. C’est un parent ou le tuteur légal de l’enfant qui demande aux services sociaux du département l’intervention d’un éducateur. Les mesures peuvent avoir également une origine judiciaire. C’est le magistrat qui par un jugement, au titre de l’article 375 du code civil, ordonne la mise en place d’une mesure dite d’AEMO judiciaire quand “la santé, la sécurité, la moralité d’un mineur sont en danger, ou si les conditions de son éducation sont gravement compromises”. Dans les ceux cas il s’agit d’apporter une aide et un soutien à la famille et à l’enfant pour que leurs conditions de vie évoluent au point que le risque de danger (ou le danger avéré) diminue voire disparaisse. C’est dans le cadre d’une mesure d’AEMO judiciaire que j’ai rencontré la famille Julien Jonas que j’ai décidé d’évoquer dans cet écrit. Les noms évoqués dans ce travail sont fictifs, dans le but de préserver le secret professionnel. En revanche la situation est bien réelle.
« alarmante banalisation des vigiles» Martin Mongin
Aujourd’hui, la plupart des espaces publics que les citoyens fréquentent disposent d’un ou plusieurs vigiles. Cette omniprésence a comme effet sur la population qu’elle s’habitue à scrutée de haut en bas par un regard qu’elle connait maintenant par coeur. Martin Mongin indique alors que d’ici à l’an 2015, il devrait y avoir soixante mille postes à pourvoir, il cherche à montrer là que ce phénomène d’augmentation va perdurer, et que les effets indésirables induits feront de même. Il existe une contradiction entre le but annoncé et le but réel en ce qui concerne la raison de la présence des APS dans les espaces publics. Ils disent au public accueilli qu’ils sont là pour assurer leur confort et leur sécurité, alors qu’en réalité, leur rôle est avant tout d’assurer la sécurité de l’établissement, de sa marchandise et de ses équipements.
Projet d'animation en CHRS
Avant leur arrivée au CHRS, la plupart des hommes ont connu des parcours d'errance, ils dormaient tantôt dans les centres d'accueil d'urgence tantôt dans la rue. Etaient associées à ces conditions de vie, la violence, l'humiliation, la peur. Il était impossible pour ces hommes de se projeter dans l'avenir, les jours étaient des combats perpétuels pour savoir où, quand et comment ils allaient pouvoir dormir, manger... Concernant le sentiment d'appartenance, ces hommes bien qu'isolés se retrouvaient côte à côte d'autres personnes aux conditions de vie similaires, et aux vécus douloureux. Ils appartenaient alors à ce groupe en marge de la société. Dans la rue, les résidents étaient confrontés au regard de la société. Ce regard était souvent vécu comme disqualifiant quand il existait. Un autre sentiment était aussi parfois ressenti, celui de ne plus exister au regard de la société, du monde qui les entoure. En effet, certains résidents expriment le fait que dans la rue ils n'étaient parfois qu'un décor devant lequel les gens passent, ne s'arrêtent pas , les évitent, ne les regardent surtout pas.
Étude de quartier - Le CAES
C’est donc rapidement que nous avons choisi ce quartier du CAES, tout d’abord pour ses différentes particularités, pour sa proximité de nos domiciles respectifs, ainsi que pour mieux connaître notre commune. Le CAES signifie Centre Autonome d’Expérimentation Sociale, il a été crée en 1981. Suite à nos différentes discussions sur le CAES et à nos premières recherches, nous avons appris que le CAES était engagé dans une opération de reconversion urbaine. Cette restructuration englobe la friche industrielle voisine, dont le but est de créer un éco-quartier. Nous en sommes arrivés à la question de départ suivante : Comment est intégré le CAES dans la commune de Ris-Orangis et dans le projet de restructuration ? Puis de part les différentes recherches effectuées, la visite du quartier et plusieurs passages à la Mairie, nous avons posé cette problématique : En quoi la stigmatisation du CAES influence l’intégration de ses habitants dans le projet de restructuration de la ville ?

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