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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Partenariat et réseau dans un lieu de vie et d'accueil

Partenariat et réseau dans un lieu de vie et d'accueil J'ajoute que le partenariat est devenu aujourd'hui un outil incontournable de l'éducateur spécialisé. Il n'est désormais plus possible d'ignorer les nouvelles missions qui m'incombent en tant que futur éducateur spécialisé. Je doit en effet être capable de considérer l'individu dans sa globalité (avec sa famille, son entourage, son établissement scolaire, son environnement...) pour lui proposer des solutions d'accompagnement au plus proche de ses besoins. C'est en activant des réseaux et en mettant en place des partenariats que je pourrai accompagner les usagers dans la réalisation de leur projet. Le travail en partenariat s'inscrivant dans une dynamique d'ouverture, il est de mes fonctions de futur éducateur spécialisé de jouer ce rôle de coordinateur de projet entre tous les acteurs présents sur le territoire et pouvant servir les intérêts de l'usager
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Le travail en partenariat : Centre Sida Secours (CSS), à Montréal.
Le travail en partenariat et en réseau permet donc une ouverture sur d’autres manières de penser, d’agir, de développer ses compétences et ses champs d’intervention. Cependant, il semble que sa mise en place ainsi que sa pérennisation ne se fassent pas toujours sans encombre et requièrent un certain nombre de préalables. Au cours de ce dossier, dans un premier temps, je proposerai une courte définition des termes de partenariat et de réseau en France, puis je présenterai le partenariat au sein de mon lieu de stage de deuxième année de formation (Québec). Enfin, j’amènerai une réflexion sur un exemple de difficulté rencontrée dans le travail avec un partenaire, puis je tenterai d’élaborer une proposition en vue d’améliorer le travail en partenariat de ma structure de stage.
Ma rencontre avec un résidant psychotique
Voici donc ma situation : Sur vingt résidants, le premier contact se passe bien avec 19 d’entre eux. Presque tous...sauf André. Je m’adresse à lui comme je le fais avec les autres, je lui dis « bonjour » en souriant, je le regarde, je suis à un mètre de lui, je suppose donc qu’il me voit et qu’il m’entend mais rien. Pas un mot, pas un regard, pas même un sursaut. Je me dis qu’après tout il n’a peut-être pas envie de me parler, qu’il lui faut du temps pour s’habituer à ma présence.... Mais quand ce scénario se répète pendant quatre jours consécutifs, je commence à douter et à me remettre en question. Pourquoi ne veut-il pas me répondre ? Comment devrais-je m’y prendre ? C’est pour cela que mon thème sera la rencontre avec un résidant psychotique avec la problématique suivante : comment aller à la rencontre d’un adulte psychotique ? Pour tenter de trouver une réponse, je pense qu’il est important de définir, en premier lieu, le terme de « rencontre ».
Le concept des temps informels
Bon nombre de questions se posent sur ce que sont réellement ces temps informels (définition du Larousse : qui n’obéit pas à des règles déterminées, qui n’a pas de caractère officiel), et ce qu’on peut y faire. On se rend compte tout de suite de la grande différence avec les temps formels, c'est-à-dire des règles peu déterminées, un caractère non officiel, mais aussi des similitudes car il y a tout de même certaines nuances à apporter à cette définition. J’ai choisi de parler des temps informels, car lorsque je suis arrivée en stage à l’école Expérimentale, je me suis retrouvée sur ces temps avec cette impression d’être « inutile » pour ces enfants qui jouaient, qui discutaient, qui écoutaient de la musique, mais aussi qui s’isolaient, voir se cachaient. En fait, je restais là, à les observer, à jouer de temps en temps avec eux. C’est par la suite, ayant pris du recul et discuté avec les éducateurs que j’ai alors pris conscience de la réelle importance de ces temps informels, tant pour les enfants que pour les éducateurs. A l’inverse, ces temps informels sont mal acceptés sur mon lieu de travail, ils sont perçus comme « nous ne faisons rien, nous nous tournons les pouces, rien n’est proposé aux adultes ». Le fait de me retrouver démunie face à différentes situations m’a interrogée et fait réfléchir sur ma pratique éducative dans ces moments, qui à l’école et au foyer de jour, se répètent quotidiennement, différemment bien sur.
La polyvalence dans la gestion du quotidien

D’après Joseph Rouzel, « En internat, en milieu d’accueil, la dimension du quotidien est centrale puisque les travailleurs sociaux y travaillent dans le quotidien, mais surtout avec le quotidien dans toutes ces dimension, mais aussi de surprises. » Le quotidien est un espace de répétition (d’habitudes) et en même temps un lieu d’invention et de création, c’est ainsi le lieu de la rencontre entre l’usager et le professionnel. D’après le petit Larousse illustré en 1997, la polyvalence est définie comme étant « posséder des aptitudes, des capacités variées. », et savoir être capable de s’adapter aux différentes situations rapidement.

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