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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Note de recherche sur un objet du quotidien

Note de recherche sur un objet du quotidien Il y a maintenant quelques temps, nos formateurs nous ont lancé un nouveau travail. Une « note de recherche sur un objet du quotidien ». Au départ j’ai été très emballé, car depuis que je travaille dans le domaine du sanitaire et du social, la question du quotidien m’a toujours paru très importante. J’attendais beaucoup de la formation pour répondre à ces questions. Je ne cache pas ma déception lorsque l’on nous a annoncé que depuis la réforme du diplôme le nombre d’heure concernant le quotidien avait été réduit. La question du quotidien est justement quotidienne dans nos pratiques, chacun a sa propre définition. Certains diront qu’est quotidien ce qui se renouvèle tous les jours pour d’autres la notion du quotidien est plus vaste.

En effet de par le questionnaire, on se rend compte que les éducateurs se sentent assez concerné par ce temps mais aussi attaché à celui ci, certains peuvent le faire juste par habitude et par nécessité pour les enfants mais sans réelle conviction. Au niveau des jeunes, on peut constater une réelle évolution pour certains comme frapper dans ses mains, ou encore se lever à l’annonce de leur prénom. Pour certains éducateurs par contre, une poignée de jeunes peuvent vivre la chanson de façon compliquée.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

Projet pour la création d'une structure d'accueil et de médiation

Dans le déroulement de notre formation à l’I.R.F.A.S nous avons eu à réfléchir et à essayer de mettre en place un projet dans le secteur du travail social. Ce travail de groupe doit nous amener à utiliser les connaissances méthodologiques qui nous ont été enseignées et à nous faire travailler dans une perspective opérationnelle. Les groupes de travail se sont ainsi formés librement, autour d’une idée partagée à priori par tous, mais chaque membre aura à soutenir la démarche qu’il a eue tout au long du projet.

UF8 : quels sont les enjeux d’une relation duelle de face à face avec un jeune majeur : Jasmin
J’effectue mon stage long au sein d’un service jeunes majeurs rattaché à une maison d’enfants à caractère social. J’accompagne tous les jeunes au quotidien et j’ai la co-référence d’une jeune en particulier. Lorsque j’ai commencé à réfléchir au choix d’une situation pour mon UF8, j’ai d’abord pensé à la situation d’un jeune qui, à ce moment là, était compliquée et source de discordances dans l’équipe. J’ai alors commencé à y réfléchir mais je ne me suis pas sentie à l’aise sur cette situation. En effet, il m’est apparu que cette situation ne me parlait pas vraiment car elle touchait plus l’équipe toute entière que moi personnellement.
L'accueil des familles lors des visites en Maison d'Accueil spécialisée

« Les personnes polyhandicapées sont atteintes d’un handicap grave à expressions multiples chez lesquelles la déficience mentale sévère et la déficience motrice sont associées à la même cause entrainant une restriction extrême de l’autonomie » (circulaire n°86 du 6 mars 1986)

  La vocation première des Mas est de conserver aux personnes accueillies un minimum de capacité à vivre les actes de la vie quotidienne (toilette, habillage, repas…) dans le cadre d’une organisation structurée par unités de vie regroupant un faible nombre de résidents.

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  Si le soutien des animateurs est très important, il ne faut pas négliger le rôle des parents et de la famille (pour ceux qui ont la chance d’avoir encore de la famille) dans l’accompagnement de ces personnes polyhandicapées.

  En effet le contact et les visites de la famille peuvent permettre de lutter contre la routine qui pourrait naître d’une vie trop répétitive, encadrée avec les contraintes et les risques de la vie en collectivité.

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