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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

EP : Les sons et leurs conséquences sur la santé

EP : Les sons et leurs conséquences sur la santé Lors de mon stage à l’Espace Jeunesse, qui accueille un public jeune de 14 à 25 ans, j’ai pu m’apercevoir que la musique tenait en effet une place importante dans leur vie quotidienne. Paradoxalement à la notion de plaisir évoquée par ces jeunes, certaines utilisations de matériels tel que le baladeur sont souvent excessives. Après avoir déterminé le cadre de l’étude, il me semble tout d’abord nécessaire d’étudier le système auditif, les sons et leurs conséquences sur la santé. Par la suite, je me suis attachée à vérifier le quotidien musical des jeunes de l’Espace Jeunesse ainsi que leurs connaissances sur ce sujet. Enfin, je proposerai un projet permettant d’atteindre une situation acceptable alliant plaisir et santé.

Travailler sur le thème de l’audition et plus précisément sur le problème des risques auditifs liés aux musiques amplifiées fût pour moi une grande source d’enrichissement personnelle. Tout d’abord, j’ai pu me rendre compte de l’importance de notre Ouïe. Elle est le moteur de la communication. Cette étude sur l’oreille, les sons, les musiques amplifiées et ses méfaits sur la santé m’a fait prendre conscience des habitudes néfastes que nous avons par rapport à la musique. Ensuite, ce travail m’a permis de mettre en pratique les connaissances acquises au cours de ma formation, notamment en Méthodologie du Travail Social, au travers de l’étude des besoins, des outils d’enquêtes et de la recherche des solutions adaptées au jeune public.
Catégorie: Rapport de stage Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

Rapport de stage et projet dans une MFR
Durant ma période de stage, j’ai mis en place un projet auprès d’une classe de troisième. Mon projet a consisté à préparer un atelier de cuisine sur le thème de l’anti-gaspillage auprès d’un jeune public afin de l’initier aux gestes anti-gaspillage et à la réalisation de recettes sur ce même thème. Dans un premier temps j’ai fait une analyse des besoins de ce public en passant du temps auprès d’eux et en observant leurs facilités et difficultés dans leur quotidien. J’ai pu constater que les élèves de cette classe avaient quelques difficultés à appliquer des gestes contre le gaspillage alimentaire. Ils finissaient rarement leurs assiettes et jetaient énormément de nourriture. Les élèves de cette classe suivaient des cours de cuisine et des cours de biologie concernant les besoins nutritionnels chez l’adolescent. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre en lien leurs connaissances et leurs besoins en complétant les cours de biologie donnés par Melinda, formatrice à la MFR, sur les besoins nutritionnels. En partant de cela j’ai alors préparé un menu anti-gaspillage et équilibré, respectant ces besoins.

Les objectifs de mon projet qui était de faire découvrir à un jeune public ce qu’était l’anti-gaspillage, de l’initier à ses gestes ainsi qu’à une alimentation équilibré et de faire valoir le tri sélectif ont alors été atteints. Suite à ce projet, j’ai pu observer que la cuisine pédagogique avait besoin d’une organisation plus soutenue. C’est pourquoi je suis retournée dans la cuisine, j’ai rangée les placards de manière à ce que ce soit plus facile de retrouver les denrées, et ai fait le point sur les denrées restantes (et leurs quantités) en créant deux fiches, une sur les denrées disponibles dans les placards pour préparations sucrées, l’autre sur les denrées présentes dans les placards pour préparation salées. Sur ces fiches j’ai inscrits par des tirets les noms des denrées, ainsi qu’une photo de chacune d’entre elles.
Les Espaces de Découvertes et d’Initiatives

D’après l’article 1er de la loi du 29 juillet 1998, «la lutte contre les exclusions est un impératif national fondé sur le respect de l’égale dignité de tous les êtres humains et une priorité de l’ensemble des politiques publiques de la nation » . Ainsi, de nombreux acteurs sont concernés par cette loi comme les départements qui peuvent mettre en place ou financer certaines actions répondant à cet impératif. Sur le département de la M.., le Conseil Général est donc présent dans le financement de certaines structures comme les chantiers d’insertion par exemple, mais aussi pour le financement de structures innovantes qui sont appelées les « Espaces de Découvertes et d’Initiatives ». Ces espaces ont été créés pour favoriser l’insertion sociale des personnes exclues, et en particulier des hommes seuls bénéficiaires du RMI qui sont nombreux dans ce département. J’ai effectué mon stage professionnel dans l’une de ces structures : l’Espace de Découvertes et d’Initiatives du Pays de L. En arrivant, sur ce lieu de stage, je me demandais comment la professionnelle réalise les évaluations, à destination des financeurs, concernant les bénéficiaires du RMI. En effet, ces structures fonctionnent sur le principe qu’il est important de faciliter le brassage de la population afin de valoriser les personnes et de créer du lien social. Pour favoriser ce brassage, les Espaces de Découvertes et d’Initiatives sont ouverts au tout public en ne faisant aucune distinction entre les bénéficiaires du RMI, les personnes en difficultés et entre toutes les autres personnes accueillies. Alors, est-il possible de réaliser une évaluation de l’action, tout en respectant ce principe d’anonymat, de non distinction ?

Stage dans une association d’hébergement social, d’insertion et de loisirs
Au cours des deux premières semaines de présence à la maison relais, j’ai pu faire connaissance avec les résidents ainsi qu’avec le personnel mais aussi comprendre le fonctionnement de la structure et faire un certain nombre d’observations. En effet, j’ai pu constater que les résidents rencontrés beaucoup de difficultés dans leur vie quotidienne. Après plusieurs visites dans les appartements, j’ai pu relever un problème majeur présent dans plusieurs appartements. En effet, j’ai observé dans les placards une prédominance de conserves, de plats préparés industriellement. Lors de discussions avec eux au moment des repas communs ou activités communes, plusieurs d’entre eux m’ont affirmé qu’ils consacrés très peu de temps à la cuisine. L’équipe m’avait également fait part de ce constat repérer déjà depuis plusieurs mois avant mon arrivée.
L'accompagnement social des personnes âgées et la place de la prévention au CLIC-CCAS de D..
En lançant en juin 2006 le plan Solidarité Grand Age, Philippe Bas, ministre délégué à la Sécurité Sociale, aux Personnes Agées, aux Personnes Handicapées et à la Famille, a voulu ouvrir une réflexion approfondie et concertée sur la prise en charge de la dépendance. En effet, une part importante de ces dépenses reste à la charge des personnes âgées et de leur famille. Même si à un âge donné, la dépendance est de moins en moins forte du fait de la prévention et des progrès de la médecine, dans les dix années à venir, la population des plus de 85 ans doublera, soit une hausse potentielle de 25% des personnes âgées dépendantes. M. Bas souhaite par conséquent anticiper les enjeux du vieillissement et de la dépendance pour que chacun puisse avoir accès à une prise en charge adaptée et de qualité quels que soient ses revenus. Cela ne remet aucunement en cause les financements qu’opèrent les Conseils Généraux par l'Allocation Personnalisée à l’Autonomie et l'Aide Personnalisée à l'Habitat , puisque ceux-ci prennent déjà en charge certaines dépenses liées à la dépendance et à l’accomplissement des actes de la vie quotidienne. Au contraire, M. Bas propose que le Conseil National pour la Solidarité et l'Autonomie participe non plus à 34% mais à 50% de ces coûts, au vu de la pression qu’opère déjà la croissance de la dépendance sur le budget et la fiscalité locale des Conseils Généraux.

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