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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Formation et information des aides à domicile

Formation et information des aides à domicile En France, en 2006, l’espérance de vie atteint plus de 80 ans1 (84 ans pour les femmes et 77 ans pour les hommes). Cet allongement de la vie résulte essentiellement des progrès médicaux et sanitaires. Bien que de plus en plus d’individus « vieillissent en bonne santé », la vieillesse entraîne malgré tout une fragilité physique et fonctionnelle, pouvant mener à des accidents domestiques dont les conséquences physiques, sociales et psychologiques sont particulièrement préoccupantes pour les personnes âgées. Ainsi, ces dernières présentent un risque accru de perte d’autonomie.

Face au vieillissement de la population et à la politique sociale favorisant le maintien à domicile, les accidents domestiques occupent une place centrale dans cette problématique. Ce thème n’avait pas fait, jusqu’à présent, l’objet de formation. Cependant, limiter les risques liés au domicile et adapter le logement est nécessaire pour permettre le maintien de l’autonomie, l’amélioration de la sécurité ainsi que la compensation des handicaps liés à l’âge.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

EP: l'alimentation de personnes handicapées mentales vivant en semi autonomie.
L’éducateur fait le constat d’un surpoids chez certaines personnes. Les incidences sur le physique de ces personnes sont parfois flagrantes : difficultés à se mouvoir. Le médecin gynécologue de Martine, a adressé un courrier à l’équipe éducative, en signalant une prise de poids importante (10 kg en une année), et en rappelant que cela pouvait avoir des conséquences négatives sur la santé de sa patiente. Au niveau du travail ce problème limite, pour certaines, leur résistance physique (absences répétées pour cause de fatigue, essoufflements, difficultés à suivre le rythme de travail). Par exemple, Muriel, qui travaille dans une laverie, exprime la gène que lui cause son surpoids dans son travail ; elle met plus de temps que ses collègues pour effectuer les mêmes tâches. De plus, elle souligne que l'achat vestimentaire peut être contraignant. En ce qui concerne leur santé, des problèmes de cholestérol sont aussi survenus. Les taux parfois élevés pourraient entraîner par la suite des maladies cardio-vasculaires. Cela concerne trois résidentes sur les quatre. Les usagers se sont exprimés par rapport aux contraintes liées à cette maladie (les prises de sang régulières, les visites chez le médecin, la prise de médicaments en plus du traitement quotidien, le régime restrictif...). Ces pathologies peuvent être liées à une alimentation inadaptée.
EP : les difficulté des jeunes a acceder au logement et a s'y maintenir
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune(squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études,d’une nette amélioration des relations parents-enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se debrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dûes à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les foyers des jeunes travailleurs.
EP : Aménagement d’un P.P.M.S au sein d’un ERP
Déjà sensibilisée au risque majeur car habitante d’une ville en zone « SEVESO » et suite à un cours de Sciences et Techniques de l’Habitat et de l’Environnement intitulé « Lutte contre les nuisances sonores et les pollutions atmosphériques : Aménagements et Campagne d’information », je me suis intéressée à cette notion et, plus particulièrement, à l’information sur la mise en place d’un Plan Particulier de Mise en Sûreté (P.P.M.S) dans un établissement scolaire.
Etude et Projet : prévention routière auprès de jeune habitant en FJT
« On perd la plupart de notre jeunesse à coup de maladresses »* La prise de risque s’accompagne de plaisirs, elle comporte des aspects positifs et une utilité : un rôle de stimulation, une aide à l’autonomie et à la constitution d’une meilleure image de soi. La perspective du plaisir, notamment sensoriel, est plus immédiatement perceptible que d’éventuelles conséquences négatives. La prise de risque au volant des jeunes est importante. En effet, les jeunes de 15 à 24 ans représentent 13% de la population, mais 27,6% des tués sur la route. Près de 40% du total des pertes en années de vies humaines dues aux accidents de la circulation concernent cette classe d’âge. Les jeunes conducteurs traduisent généralement ces risques par une vitesse excessive, le non respect du code de la route, le non port de la ceinture de sécurité… Cette tentation aux risques peut être influencée par de multiples facteurs comme le groupe de pairs, l’inexpérience, certaines substances absorbées (drogue, alcool, médicament…)

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