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Corps infirmes et sociétés : Henri-Jacques STIKER

Corps infirmes et sociétés : Henri-Jacques STIKER

La problématique qu’il aborde dans cet extrait est : « que fait-ont, réellement, c'est-à-dire symboliquement aussi, dans notre société occidentale, des « handicapés » ? ». C'est-à-dire, quelle regard la société à telle sur les personnes handicapées, et que m’est-elle en place pour leurs intégrations ?Nous allons aborder cette question autour de trois différents axes. Dans un premiers temps : l’évolution du vocabulaire désignant l’infirme. Dans un second temps : la naissance de la réadaptation. Enfin, de la mutation de la normalisation vers l’individualisation.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
Type de fichier: application/pdf
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Le pain nu : Mohamed CHOUKRI,

Mohamed Choukri naît le 15 Juillet 1935 dans un village berbère dans le Rif, près de Nador au Maroc. Dans les années 1940, lors de la seconde guerre mondiale, le Maroc oriental est particulièrement touché par la famine. Mohamed Choukri et sa famille fuient alors le Rif pour aller s'installer à Tanger. Durant son enfance et son adolescence, l'auteur mène une vie de vagabondage et tente de survivre à la dureté de la vie qui se présente à lui.

La violence faite aux hommes : Yvon DALLAIRE

Avant d’être physique, la violence se manifeste souvent de manière psychologique et/ou de manière verbale. Il existe un tabou profondément ancré dans notre société : la femme violente et l’homme victime. Toute violence féminine est alors interprétée comme de la légitime défense ou comme une manifestation incontrôlée de réactions physiologiques. On dénie à l’homme la possibilité que, lui aussi, puisse réagir en légitime défense. Il est censé avoir appris à contrôler ses réactions émotives et agressives, lui.

On rend donc l’homme responsable de toute la violence conjugale. Combien d’hommes ont passé une nuit en prison sur simple allégation de violence de la part d’une femme ? Un policier d’un corps de police d’une ville très importante du Québec confirmait qu’ils « embarquaient » l’homme même s’ils soupçonnaient la femme d’être la réelle initiatrice de la violence. « Nous avons reçu comme directive implicite de séparer l’homme de la femme en l’amenant, lui, au poste et en l’enfermant ».

Judith MIGEOT-ALVARADO, La relation école-familles

Dans cet ouvrage, Judith Migeot-Alvarado fait une étude de la relation école–famille à travers des témoignages d’enseignants, d’élèves et de parents, ponctués de références à des textes officiels. L’auteur se réfère aux représentations, attitudes éducatives, rapport à la loi et savoir des familles. Elle rend compte aussi de la participation des parents au fonctionnement des établissements de second degré. Elle met en avant les tensions qui existent entre l’école et la famille et qui rendent complexe la relation entre les deux. A travers un survol historique, l’auteur essaie de nous montrer les origines de ce « malentendu » entre les deux parties et fait le point sur les problèmes actuels.

Vivre en prison : histoires de 1945 à nos jours : Hélène Bellanger

Outil de réinsertion, mais déshumanisation, désocialisation et criminogène. Fonction sécuritaire et asilaire. Vétusté, manque d’hygiène, surpopulation. 1911 – date de rattachement de l’administration pénitentiaire au ministère de la justice, après qu’elle a été dans le giron du ministère de l’intérieur. « Le taux de suicide est supérieur aux taux d’évasion, est-ce une réussite ? » ancien chef d’établissement.

« Les surveillants, s’ils ne peuvent rendre compte du vécu des personnes incarcérés, vivent néanmoins dans une telle proximité que leurs souffrances leurs sont clairement perceptible » (Odile Jacob – prison, une ethnologue centrale, 2000) Chaque année environ 80 000 personnes franchissent le seuil d’un établissement pénitentiaire et, en 2007, l’administration pénitentiaire compte 23 000 surveillants.

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