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L’entrée en maison de retraite des personnes âgées dépendantes

L’entrée en maison de retraite des personnes âgées dépendantes Dans la première partie du mémoire, j’expliquerais les raisons du placement ainsi que le choix de la résidence et je finirais par le vécu du placement. A travers les difficultés que représente ce passage, la personne âgée a besoin d’être aidée. Compte tenu des difficultés rencontrées par la personne âgée lors du placement, comment faciliter l’adaptation à son futur lieu de vie ? Dans la deuxième partie, nous verrons l’importance d’accompagner et de déculpabiliser la famille afin qu’elle puisse réaliser son rôle d’aidant et d’éviter les conflits, dans le but de bien préparer le départ en hébergement collectif.

Aujourd’hui, l’hébergement collectif est devenu une réalité incontournable. En effet, même si les pouvoirs publics tentent de développer le maintien à domicile, le passage en institution des personnes âgées n’en demeure pas moins une nécessité le moment venu. Or, nous avons vu que cette entrée en institution, parfois mal préparée, est source de nombreux problèmes pour la personne âgée et sa famille.
Catégorie: Mémoire Conseiller en économie sociale et familiale
Type de fichier: application/pdf
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Les emplois aidés : un pas vers l'insertion professionnelle des personnes sortantes de prison
Chaque sortie de prison est une aventure individuelle, chaque situation est très différente en fonction du motif de sortie et de la durée de détention. Pour toutes les personnes, incarcérées pendant plusieurs mois ou années, la sortie vers l’extérieur est souvent difficile. Il faut se réinsérer socialement dans un monde qui a évolué. Si le détenu n’a pas été préparé il se retrouve désorienté devant des procédures longues, fastidieuses et parfois compliquées. Il doit se prendre en main, rechercher un emploi, redevenir autonome. La sortie signifie une succession d’épreuves pour recommencer à vivre, s’affirmer et ne pas retomber dans la délinquance. Cette lutte de chaque instant c’est aussi le départ d’une nouvelle vie, une renaissance. J’ai choisi de traiter du public post carcéral car ce sont des personnes fortement stigmatisées avec souvent un parcours de vie atypique. La prison les a marqué à vie et ils en ressortent complètement bouleversé. Il faut réapprendre à vivre, concevoir son futur alors que le poids du passé est toujours présent. Dans ce long parcours vers l’insertion les personnes sortantes de prison sont confrontées à de nombreuses difficultés qu’il leur faudra résoudre
Mémoire d'initiation à la recherche : Trisomie, sport et quotidien
Au cours d’une expérience professionnelle d’animatrice en colonie de vacances adaptées, j’ai pu découvrir le quotidien de personnes handicapées et l’organisation que génère une telle situation. À l’aide du personnel médical, j’ai pu aider au lever, aider à la toilette, à l’habillage, aux repas ainsi qu’aux activités proposées lors du séjour. Cette expérience a été très enrichissante sur le plan humain et j’ai vraiment pu appréhender les difficultés que rencontrent dans leur quotidien les personnes souffrant de handicap. J’ai organisé à la demande des responsables de la colonie, une activité d’initiation à l’équitation. Le retour que j’en ai eu a été très positif en particulier de la part des participants. Ils ont apprécié l’activité proposée malgré quelques réticences de certains d’entre eux. D’autres activités furent proposées lors du séjour, comme les activités manuelles ou activités physiques. Quelques personnes ressentaient un certain bien être en ayant participé au séjour. Durant cette expérience, j’ai pu échanger avec ces jeunes, notamment sur ce qu’ils aimaient faire lors des différentes activités sportives. Ce qui est ressorti de ces conversations est qu’ils voyaient cela comme un moment de liberté et d’amusement. Ainsi, ils ont exprimé que le fait de faire du sport était un privilège pour certains et que l’accès était difficile selon la maladie et le milieu où vit l’enfant. Lors de ma formation en DECESF, j’ai voulu approfondir la question de la relation entre les personnes en situation de handicap mental et le sport. Pour ce faire j’ai commencé à me documenter sur le sujet et je me suis rendu compte que la place des personnes en situation de handicap apparaît aujourd’hui complexe. Pour avoir interrogé différentes personnes sur ce qu’ils entendaient par personnes handicapés, les définitions étaient bien différentes d’une personne à une autre. Certes chaque réponse était synonyme de personne ayant une déficience. Néanmoins, des mots comme « handicapé », « mongol », « anormal », « invalide », ressortaient de ces échanges.

La plupart du temps vues avec des préjugés, les personnes en situation de handicap sont souvent stigmatisées voir discriminées par manque de connaissance. Selon l’INSEE, trois millions de personnes déclarent avoir fait l’objet de discriminations au cours de leur vie à cause d’un handicap. Il existe plusieurs types de handicap, il peut être mental (par exemple la trisomie 21) ou physique (par exemple la paralysie d’un membre). Il peut être aussi visible (paraplégique) ou invisible (une personne atteinte d’épilepsie). Un handicap peut être d’origine génétique, lié à une anomalie du développement du foetus, à un problème à la naissance ou survenir à la suite d’un accident de la vie. Certaines difficultés ou troubles peuvent générer des conséquences fortes sur de la vie quotidienne d’un individu : des troubles de l’apprentissage, ou trouble du comportement (hyperactivité). Ces troubles peuvent être considérés comme un handicap. Dans le cadre de ce mémoire, j’ai voulu cibler le type de handicap. De par ma formation de CESF, j’ai constaté que je pouvais être amenée à travailler avec un public de personnes atteintes de handicap mental. Celle-ci est à même de traiter la situation de la personne en répondant aux besoins d’alimentation, d’hébergement, de travail… En tant que futur travailleur social, il me semble essentiel et pertinent de me questionner sur les difficultés que peuvent rencontrer des personnes atteintes de trisomie 21, connaitre aux mieux cette maladie et mieux cerner les possibilités d’intervention tel que le sport par exemple. Une question qui peut se poser est de savoir comment intégrer une pratique sportive sans impacter, notamment, le programme de soins d’une personne atteinte de trisomie 21 ?
Accès et maintien dans le logement autonome de personnes atteintes de troubles psychiques
« La maison est toujours plus qu’un logement, c’est une habitation et une complicité » . Par cette phrase, nous comprenons mieux la place essentielle que le logement représente dans la vie de chaque individu. Plus que jamais d’actualité, le logement est un repère pour les familles dans lequel elles souhaitent s’y sentir bien. « Avoir un toit » est leur préoccupation majeure et souvent, le logement représente le plus gros poste de dépense. Le droit au logement est un droit universel qui a été reconnu pour la première fois au niveau international dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Dans cette déclaration, les Etats ont proclamé que : « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux…» (Article 25). C’est grâce à ce droit fondamental que la loi sur le Droit au logement opposable a vu le jour le 5mars 2007. De plus, l’Organisation Mondiale de la Santé précise dans la charte d’Ottawa de 1986, que pour être en bonne santé, un individu « doit pouvoir se loger, accéder à l’éducation, se nourrir convenablement… » Le logement est donc une notion nécessaire pour le bien être de l’individu.
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Aujourd’hui, la situation matérielle des jeunes est moins confortable qu’il y a trente ans. L’allongement des études, l’insertion sur le marché du travail moins aisée et moins stable en raison du contexte économique (chômage, précarité de l’emploi) les obligent de fait, à retarder leur insertion sociale et leur autonomie, n’ayant pas encore acquis ce que certains sociologues désignent comme les « attributs de la vie d’adulte », à savoir un travail, un logement, une vie de couple . L’insertion dans le marché du travail reste l’un des attributs principaux puisqu’il génère une source de revenus indispensable à tout désir d’autonomie. Cependant, il ne faut pas écarter l’attribut « du logement » puisqu’en cas de non-stabilisation de la situation professionnelle, l’accès à un logement autonome devient alors une alternative d’insertion sociale. Pourtant, le marché locatif des grandes « cités » ne favorise pas cette insertion en raison de l’écart entre les revenus de cette catégorie de la population et les loyers pratiqués. Il semblerait également que les dispositifs d’aide au logement existants ne suffisent pas à palier la précarité économique que rencontrent certains jeunes en cours d’insertion professionnelle.

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