LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Socio Doc

SocioDoc.fr est une plate-forme collaborative d'accès et de partage de plusieurs milliers de documents du Secteur du Travail Social et de l'Action Sociale : mémoire, fiches de lectures, rapports de stage, d'annales, études juridiques , études de cas psycho-pédagogique, étude de cas clinique, ect.

Alimentation des personnes handicapées vivant en semi autonomie

Alimentation des personnes handicapées vivant en semi autonomie D'après propositions de solutions, celles qui me paraissent les plus adaptées et les plus pertinentes sont les suivantes: - une réunion d’information et une action de formation menée par la TESF ; - un atelier cuisine avec démonstration de l’utilisation des appareils de cuisson, animé par la TESF ; - l’achat d’un cuiseur vapeur. Aujourd’hui le statut de la personne handicapée est revalorisé. Les différentes lois mises en place visent à considérer la personne en situation de handicap comme un citoyen à part entière. A cette fin, l’ADAPEI accompagne les personnes handicapées mentales afin qu’elles puissent développer leurs projets de vie autonome. A travers cet accompagnement, l’intégration aux jardins d’Aquitaine leur permet de vivre pleinement leur citoyenneté et leur intégration dans la société (loisirs, travail…).
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

EP : gestion du budget chez des personnes en réinsertion professionnelle
L'exclusion est un ensemble de mécanismes de ruptures, tant sur le plan symbolique (le repli sur soi) que sur le plan des relations sociales (absence d'emploi). Il est difficile de comptabiliser le nombre de personnes exclues car ce phénomène est multifactoriel. En effet, le manque de ressources, le chômage, l'absence de logement, le handicap, la maladie, la vieillesse, la discrimination…sont des facteurs d'exclusion. Afin de lutter contre ce processus, des lois ont été mises en place, notamment celle de 1998 : "loi relative à la lutte contre les exclusions" qui reconnaît, dans son article premier, l’obligation de faire respecter «  l’égale dignité de tous les êtres humains »
Les difficultés dans les pratiques du jeune actif en matière de recherche de logement.
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune (squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études, d’une nette amélioration des relations parents- enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se débrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dues à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les Foyers des Jeunes Travailleurs. Ceux-ci permettent aux jeunes de posséder un logement plus ou moins temporaire et des services à moindre coût. Ils permettent de marquer une période transitoire pour les jeunes dans l’attente de trouver un logement autonome. Avoir un « chez soi » représente une condition essentielle dans l’insertion sociale, tant sur le plan symbolique dans une démarche d’indépendance, que dans la réalisation de projets.
EP: Prévention des chutes des personnes agées en EHPAD
La plupart des personnes glissent ou chutent, sans qu'il n'y ait de conséquences sérieuses, chez les personnes âgées, les chutes sont plus fréquentes plus graves tant au niveau physique que psychologique. Il s’avère qu’en moyenne en France, 23 millions de personnes de 65 ans et plus tombent chaque année, selon la Caisse nationale d’assurance-maladie et le Comité français d’éducation pour la santé. Les chutes constituent l’accident le plus fréquent chez cette population et sont l’une des premières cause de décès accidentel. On recense par an 40 000 cas de fractures du col du fémur dû aux chutes et 8 500 décès chez les plus de 65 ans. Une chute sur deux survient dans un établissement de soins ou dans une maison de retraite. Les chutes entraînent des coûts pour les personnes, et la communauté. Le système de soins et de santé comptabilise environ 91 000 séjours hospitaliers chaque année pour des fractures liées à des chutes chez les plus de 75 ans. De plus 4 séjours sur 5 donnent lieu à une intervention chirurgicale. Le coût total estimé des consommations de soins associés à une chute était d’environ 1 milliard d’euros en 1995.
Comment banaliser la sexualité des personnes handicapées mentales en institution ?
Maintenant que la sexualité des personnes handicapées mentales est acquise, (d’un point de vue légal) le droit de la vivre est revendiqué comme quelque chose de naturel et d’évident. Il est fréquent d’entendre : « les personnes handicapées mentales ont droit de vivre leur sexualité comme tout le monde ». Cette proposition parait aller de soi dans un contexte social qui ne sait plus sur quoi se fondent ces interdits. Pourtant, elle est loin d’être simple et pose de multiples questions.

Connexion

Abonnement

Recherche