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Technicien en intervention sociale et familiale

Le technicien de l'intervention sociale et familiale (TISF) vient en aide aux familles, aux personnes âgées, aux personnes handicapées ou en situation d'exclusion qui rencontrent des difficultés.

EP : Les notions d'hygiène dans le service d'aide à domicile

EP : Les notions d'hygiène dans le service d'aide à domicile Les entretiens téléphoniques, mes observations, ainsi que mes entretiens individuels m'ont permis de savoir si les aides à domicile respectent les règles d'hygiène. Il s’avère d'après tous mes résultats, que ce n'est pas le cas. Plus de la moitié des aides à domicile ne respectent pas toutes les règles d'hygiène, imposées par l'association. Tout d'abord elles ne portent pas systématiquement de gants pour les toilettes ou les activités ménagères au domicile des personnes, par manque de temps ou bien par inconfort. Le non port des blouses ne concerne que quelques aides à domicile mais je pense qu'il est préférable de rappeler aux aides à domicile que l'hygiène passe par le port de blouse également. Afin de ne pas pointer du doigt les aides à domicile concernées, mais de rendre l’information plus générale. Toutes les aides à domicile ne se lavent pas les mains avant chaque toilette. Ceci montre également qu'il y a un manque de savoir sur l'hygiène.
Catégorie: Rapport de stage Technicien en intervention sociale et familiale
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Documents associés

Accompagnement social vers l’insertion
Le public accueilli est assez varié puisque la seule condition de l’accueil est sa majorité et son non- accompagnement d’enfant. La notion d’hébergement d’urgence peut toucher tout public en rupture sociale. En général, le centre d’hébergement d’urgence est un secteur qui aborde de nombreuses problématiques telles que : Un grand nombre de jeunes majeurs en rupture familiale brutale, déscolarisés ou sortie d’institution, une perte de confiance pouvant conduire à une désociabilisation, addiction, violence… Quelques femmes en grande vulnérabilité (divorce-veuvage-violence) qui sont orientées vers la structure adaptée à leur accueil car elles sont souvent accompagnées de leurs enfants. Des hommes seuls âgés d’une cinquantaine d’années en rupture familiale ou en perte d’emploi avec très peu ou aucune ressource, se marginalisent via l’alcoolisme ou autres addictions. Parfois, des personnes ayant des problèmes d’handicap, de psychiatrie ou en situation irrégulière (demandeurs d’asile déboutés). Ces situations diverses conduisent une recherche de mise à l’abri d’urgence, parfois avec plusieurs parcours de retour en errance rue, une personne peut dans une optique de parcours de ré-insertion, revenir régulièrement en accueil d’urgence.

Le centre d’hébergement est une structure très riche car on peut y aborder de multiples problématiques, désociabilisation, marginalisation, addiction, situation irrégulière…j’y ai appris des procédures comme le FSL (fond social solidarité), l’AAH (allocation adulte handicapée) RSA (revenu solidarité active) Au début, étant dans une approche d’observation participante, plusieurs constats de situation m’ont permis de mettre progressivement en relation mes cours théoriques qui m’ont permis de trouver ma place de TISF. Cependant après avoir pris quelques répères collectifs, sociaux et administratifs, j’ai acquis la compréhension de la position de mon futur métier en retenant qu’il est primordial de rencontrer les personnes, les écouter, les observer, les comprendre en intériorisant le contexte de leur vie personnelle, afin de cerner les tenants et les aboutissants, l’enjeu de ma place dans le cadre de leurs projets individuels car mon travail d’accompagnateur social se résume à mettre en œuvre tous les moyens possibles, susceptibles de contribuer à finaliser leurs objectifs. La relation qui s’instaure entre l’accompagné et l’accompagnant à pour but de remettre l’individu en tant que sujet acteur de son ré-insertion, de sa vie, en tenant compte de ses moyens, de ses besoins, des ses limites, de ses capacités afin qu’il retrouve ses droits et ses devoirs fondamentaux…
ICAF : Amélioration des pratiques de solidarité
Le besoin de mon action a été clairement exprimé lors d'une réunion au sein de la fédération. Cette réunion était organisée dans le cadre de « l'amélioration des pratiques de solidarité » en faveur des personnes accueillies et des bénévoles par la même occasion. Elle était destinée aux bénévoles de comités locaux et a été réalisée par « pôle » dans tout le département. Elle a mis en évidence la nécessité d'équiper les comités locaux d'ordinateurs, afin d'améliorer et de faciliter l'organisation du travail. Cette réunion a permis de mettre en évidence les besoins et améliorations nécessaires permettant de développer les activités des comités locaux. Il a également été noté l'absence d'ordinateurs dans les comités et de ce fait un manque de communication avec la fédération ce qui induit logiquement l'exclusion de comités à certaines actions et activités développées par le siège.
ICAF dans une Structure d’Insertion par l’Activité Economique(SIAE).
L’objectif de l’association est de soutenir l’intégration des personnes en situation d’exclusion par le travail. Cela se traduit en outre par la remise du bulletin de salaire qui doit être symbole de la réinscription dans le champ de la citoyenneté par la possibilité d’ascenseur social et d’ouverture de droits, accès sur la solidarité nationale.
EP : « Pourquoi le repas du midi au sein du restaurant scolaire n’est pas pris selon la durée réglementaire ? »
Le restaurant scolaire est un lieu de vie où l’on se nourrit, où l’on grandit. Un enfant sur deux mange à la cantine soit au total plus de 6 millions d’élèves. Aussi importe-til d’améliorer ce cadre de vie. L’école, en particulier la cantine, doit devenir un partenaire privilégié pour la promotion des bonnes pratiques alimentaires. Les enfants passent près de 35 heures par semaine à l’école, et prennent généralement deux repas par semaine à la cantine scolaire. Il est donc indéniable que l’alimentation prise dans le périmètre de l’école est essentielle dans le cadre de l’équilibre alimentaire. Une étude faite par Jean-Michel Cohen, nutritionniste et co-animateur de l’émission « Vive la cantine », qui consiste à filmer les enfants à la cantine et à analyser leur comportement, à montrée que les enfants mangent à une allure incroyable (parfois en 5 minutes).

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