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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

La gestion des conflits

La gestion des conflits La notion de conflit est très subjective, et cela suivant les individus qui y sont confrontés. On pourrait dire que le conflit est une rencontre d’éléments, de sentiments, d’opinions contraires qui s’opposent et dont chaque partie lutte pour faire prévaloir ses objectifs, ses intérêts communs pour obtenir satisfaction. Donc une situation de conflit suppose l’existence d’un différend entre deux ou plusieurs parties, différend qui ne va pas se résoudre seul ou de lui-même. La reconnaissance d’un conflit n’implique pas nécessairement le recours à des méthodes agressives ou violentes.

Il est parfois plus facile d’éviter les conflits ou de faire comme s’il n’y en avait pas. Mais Je dirais qu’un conflit bien résolus a un potentiel dynamisant et constructeur pour l’organisation et pour nous. Un conflit pris positivement nous permet ou permet à l’organisation d’évoluer.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Identité professionnelle de l'ES
Évoquer son identité professionnelle s’apparente à passer par une analyse de soi en tant qu’éducateur. Mais il serait trop aisé de se définir uniquement en tant que professionnel en délaissant notre propre identité personnelle. Notre fonction professionnelle découle directement de l’être que nous sommes, à travers son histoire personnelle, ses ressentis, ses valeurs, ses ambitions, ses choix, son éthique, etc. Ainsi, à travers cet écrit sur l’identité professionnelle, je tenterai d’avantage de mettre en avant ce qui me préoccupe en premier lieu en tant qu’éducateur, dans ma pratique, mais aussi dans ma réflexion, sans perdre de vue les origines de mes préoccupations.
La place que notre société occidentale réserve à la personne handicapée

L’accueil que réserve une société donnée à la différence, à l’anormalité, nous renseigne sur son fonctionnement, les valeurs qu’elle véhicule et l’idée qu’elle se fait d’elle-même. La place que notre société occidentale réserve à la personne handicapée, déficiente intellectuelle, nous apporte donc un témoignage concret de cette construction socio-culturelle, influencée par l’héritage du passé et ses aspirations nouvelles. L’accueil de la personne se situe au confluent de deux logiques opposées : le rejet et l’assimilation. Après l’avoir maintenu à distance au moyen d’établissements, notre société essaie aujourd’hui de faire une place à la personne handicapée.

Travail autour du concept de la violence
Dans les cours d’école, dans la rue, dans le tram, dans les bus, sur les grands et petits écrans, la violence sévit partout. Il est vrai que la violence et l'agressivité ont toujours existé, mais ce qui semble nouveau et qui inquiète aujourd’hui, c’est que ceux qui agressent sont des individus de plus en plus jeunes, des adolescents voire des enfants. Je vais commencer par définir ce concept de violence à travers plusieurs auteurs, et exprimer ma définition de la violence. Il faudra ensuite évoquer la famille de mots qui précise et qui se rapproche de cette notion de violence.
Réseau et Partenariat au Québec
Actuellement en formation d’éducateur spécialisé, j’ai pu repérer, lors de mes différentes expériences quelques bénéfices du travail en partenariat : L’ouverture des établissements permet d’abord de ne pas stigmatiser les personnes accueillies en institution. Ces dernières peuvent l’être sur un territoire, par le lien direct à la structure. Si l’on ne donne pas l’occasion à la population de rencontrer les personnes accueillies, cela n’impulsera pas leur inclusion dans la société. Or, c’est une des missions du travailleur social que de participer à cette inclusion. Ensuite, cela permet de compléter les compétences de l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement. Un professionnel ou une équipe ne peut pas répondre à elle seule à l’ensemble des besoins et désirs des personnes accompagnées. Il est donc nécessaire de faire appel aux ressources du territoire pour garantir un accompagnement complet des personnes. Enfin, ce travail conjoint amène à prendre du recul par rapport aux situations ou populations accueillis pour mieux répondre à leurs besoins et donc, favoriser une possibilité d’accompagnement complète de la population. De plus aujourd’hui, s’unir avec les autres acteurs du territoire est devenu une obligation légale à travers différentes lois. Par exemple, celle du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale « marque la volonté explicite des pouvoirs publics de favoriser le développement des réseaux en leur accordant une légitimité accrue ». L’intérêt du réseau et des partenaires est donc à mon sens, facilement justifiable, néanmoins, il ne suffit pas de connaître ces potentiels bénéfices pour mettre en pratique ce travail ensemble. Il faut comprendre les dynamiques des relations entre les personnes ou les institutions afin d’être capable, par la suite, de s’adapter et d’être efficace avec les différents acteurs du territoire. En ce sens je débuterais mon travail en définissant ce qu'est un partenariat, ce qu'est un réseau, et mon lieu de stage de deuxième année. Ensuite, en m’appuyant sur des observations de cette expérience au Québec, j’analyserais un partenariat plus en détail afin d’étayer ma réflexion sur ce sujet. Enfin j'apporterais des propositions d'amélioration et d'évaluation liées à ce travail conjoint. L’accueil très hétérogène de l’organisme explique en grande partie la diversité du réseau et des partenaires. En effet, les partenaires seront différents entre un jeune qui rencontre des problèmes d’addictions et une mère de famille qui est suivie par la Direction de la Protection de la Jeunesse. De plus, cette diversité est induite par le fait que les acteurs du réseau peuvent devenir des partenaires et inversement selon les situations des jeunes accueillis. Par exemple, une crèche est dans le réseau car l'organisme a déjà travaillé avec elle et les deux institutions sont membres de la même table de concertation. Elle devient partenaire lorsqu'un des enfants du volet jeune parent y est inscrit et qu'il y a un besoin de suivi du développement de ce dernier ou de suivi de la relation mère-enfant. C'est d'ailleurs peut être cela qui peut expliquer la vision du réseau et du partenariat de mes collègues. En effet, ces notions ont engendré un échange intéressant entre les idées québécoises et françaises. Les membres de l'équipe que j'ai interrogé sur ce sujet m'ont renvoyé que la différenciation n'était pas présente au sein de l'organisme. Il est plutôt évoqué différents niveaux de réseau : l'un très large qui rassemble tous les organismes communautaires de l'île à qui on peut s'adresser en cas de besoin sans nécessairement les connaître. Le deuxième niveau de réseau selon eux, concerne les organismes avec lesquels les liens sont plus étroits, aussi les partenaires selon ma définition que les membres du réseau, sans différenciation. Ce travail ensemble est très présent dans le quotidien des professionnels de cet organisme, il est en effet rare qu’un jeune soit accompagné uniquement par nos services.

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