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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Les Pauvres dans la France du XVIIIe siècle

Les Pauvres dans la France du XVIIIe siècle Le XVIIIe siècle, contrairement aux siècles précédents, a un caractère particulier. Il est appelé «siècle des lumières ». C’est une nouvelle ère, illuminée par les lumières de la raison, de l’esprit scientifique et du respect de l’humanité. Bien que marquée par une profonde évolution de la pensée, on retrouve au milieu de toute cette agitation une catégorie sociale : le pauvre, du latin « pauper », est une personne qui ne dispose pas de ressources matérielles suffisantes à sa subsistance.

Face à la présence inconditionnelle de la pauvreté, l’image du XVIIIe siècle en pleine expansion n’était que caricaturale, la crise de subsistance, malgré les progrès scientifiques et techniques, continue à frapper les couches les plus fragiles du royaume. Malgré l’inoculation et les premiers progrès de la médecine et de l’hygiène, on meurt parce qu’on ne peut pas résister à la fièvre, on meurt surtout d’épuisement et de nourriture insuffisante. On meurt parce qu’on ne peut ni financièrement et ni mentalement acheter sa guérison. Les progrès démographiques et économiques n’ont pas suffit, la récession agricole et industrielle s’est retournée contre la population elle-même et c’est encore le pauvre qui en pâti.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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L'insertion et le milieu carcéral
La prison, le centre de détention, la maison d’arrêt, le centre pénitentiaire… tous ces termes désignent un lieu de détention. Seul le mot « prison » parle à tous, pourtant parmi ces appellations, c’est le seul à ne pas désigner officiellement ces bâtiments. Aucune prison en France ne s’appelle « prison ». Ces dénominations ciblent des institutions, un public précis et un mode de fonctionnement.
Histoire de vie

            Nous façonnons tous notre parcours de vie, jour après jour. Ponctué d'évènements, de changements, d'envies, de renoncements, nous faisons des choix, des non-choix, le temps passe et notre histoire se construit. Sommes-nous conscients de ce qui se joue? Chacun fait-il ce qu'il veut de sa vie? Sommes-nous seuls à décider? Comment interprète-t-on ces évènements? Quel sens donnons-nous à ce que nous faisons et que faisons-nous de ce qui nous fait? Donner du sens à notre vie, c'est peut-être ce vers quoi mènent les ateliers d'histoire de vie.

            Resitué tout d'abord dans un contexte historique et théorique, je vais tenter de comprendre ce que revêt le terme « histoire de vie » aujourd'hui et quel fut son parcours depuis les bios de l'antiquité.

            Dans une deuxième partie, je reviendrai sur chaque outil utilisé pendant l'option afin d'observer leurs conséquences et limites. J'essaierai de comprendre en quoi la personnalisation de l'écrit puis celle du discours sont des éléments clés dans la démarche d'histoire de vie.

            Pour terminer, j'expliciterais les motivations qui m'ont orienté vers cette option, en quoi elle m'a intéressée et je ferai le lien entre la pratique de l'histoire de vie et le travail social, et plus particulièrement, en quoi elle élargie ma pratique éducative.

En quoi les phénomènes de rupture favorisent t-ils l’exclusion ou l’intégration des jeunes de 16 à 21 ans ?

Nous tirons de notre expérience que les actes de violence posés par les adolescents que nous accompagnons au quotidien, les amènent à être en rupture avec les autres mais aussi avec les institutions dont ils sont exclus.

Nous allons tout d’abord donner deux définitions concernant le mot « rupture », trouvées dans le dictionnaire « Le petit Robert » :

La rupture : Fait de casser, de rompre sous l’effet d’un choc, cessation brute, opposition entre des choses qui se suivent, fait d’interrompre des relations.

En rupture avec : en opposition affirmée, annulation d’un engagement, séparation plus ou moins brusque de personnes.

On peut donc dire que lorsque l’on évoque la rupture, cela fait écho à des liens qui sont rompus. Or, qu’est ce que le lien ?

Ce ciment, que l’on appelle souvent « lien social » et qui produit de la solidarité entre les membres d’une société, ne naît pas spontanément.

Il est le résultat de ce qu’on appelle l’intégration qui peut être définie comme le processus qui permet aux membres d’une société de se reconnaître comme équipiers d’un même bateau, si l’on peut faire cette comparaison, c'est-à-dire solidaires les uns des autres, ayant chacun vis-à-vis des autres des obligations mais aussi des droits.

La bonne distance éducative
Au travers des situations que j’ai rencontrées lors de mes diverses expériences, je fais le constat que l’éducateur intervient professionnellement auprès de personnes qui lui sont confiées en raison de leur fragilité. Cette fragilité est à la fois la cause et l’effet de nombreuses difficultés, habituellement répertoriées dans le champ éducatif. L’éducateur n’existe donc qu’en fonction du besoin et de la demande du sujet en souffrance, relayés par la société et ses institutions. Pour que se créer un lien entre l’autre et soi, il faut que l’éducateur s’engage dans la proximité affective jusqu’à prendre le risque parfois du transfert. Alors, je pense que pour instaurer une relation éducative dans une juste distance, la question du tiers devient inévitable.

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