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Animateur

L'animateur socioculturel est présent auprès des jeunes et des seniors. Foyer, centre de loisirs, maison de quartier, maison de retraite, MJC… L'animateur favorise les échanges et facilite l'expression, la créativité et la socialisation des individus.

La toilette sensorielle

La toilette sensorielle J'ai choisi d'évoquer le moment de la « toilette sensorielle » qui est un temps clé dans l'accompagnement au quotidien de la personne accueillie. Ce temps clé est un moment de détente en situation duelle dans un contexte bien identifié par le jeune, dans un rythme régulier qu’il peut repérer. La toilette d’une personne se doit d’être un moment privilégié avec elle et pour elle. Un moment délicat pendant lequel j’ai appris à prendre le temps de considérer la personne dans sa globalité et ainsi prendre en compte ses douleurs physiques et psychiques.
Catégorie: Travaux U.F. Animateur
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Documents associés

Moment clé dans une Unité de Vie Protégée

J'ai choisi monsieur M. Celui-ci a soixante-quinze ans et est atteint de la maladie de Parkinson. La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative. Il en résulte des symptômes moteurs (tremblements, rigidité musculaire, impossibilité ou ralentissement des mouvements) mais aussi parfois des atteintes intellectuelles (détérioration de la mémoire et difficulté à adapter son comportement au changement de situation). Monsieur M. est marié, il a eu 2 fils qui sont décédés.

Le temps de la toilette en MAS

La toilette, est certes un besoin fondamental mais c'est aussi un moment privilégié entre la personne accompagnée et le professionnel. En effet, c'est un temps où l'on se consacre entièrement et uniquement aux résidents. Il me semblait important, lors de ce temps clé, de comprendre certaines attitudes et ce que pouvait ressentir les personnes accompagnées. Il en ressort que l'observation et l'attention sont les meilleurs moyens pour proposer une prise en charge personnalisée à chacun. Si l'on prend le temps de comprendre chaque personne, on arrive à trouver ce qu'il leur convient le mieux, tout en sachant que ce qui peut leur convenir un jour, ne sera pas forcément vrai le lendemain. Notre comportement a beaucoup d'importance pour la réussite du soin, les compétences exigées auprès des personnes en difficultés sont plus relationnelles que techniques : nous devons être disponibles, à l'écoute, sans porter de jugement... pour cela, il convient de connaître les habitudes de vie de la personne accompagnée.

Ce travail ne se fait pas du jour au lendemain et il faut beaucoup de patience pour parvenir à comprendre les attentes des résidents et entrer dans une relation de confiance. Nous devons toujours avoir à l'esprit que chaque personne, quelle que soit sa pathologie, est unique. J'ai appris grâce à cet écrit que la toilette n'était pas uniquement de participer au bien être de la personne et de garantir son hygiène corporelle. Cet accompagnement est plus délicat lorsque l'on travaille avec un public présentant un handicap. Elle amène des problématiques telles que le rapport à l'intimité, à la sexualité et soulève des questionnements relatifs au corps tel que des déformations, souillures... et la capacité que nous, professionnels, devons avoir pour accompagner ces personnes et pour s'adapter à chaque difficulté rencontrée. Je pense que l'essentiel, dans ce travail, c'est accepter « l'autre » tel qu'il est, avec toute sa singularité, de ne pas voir, seulement, le handicap qui le compose. Je trouve que chaque geste, chaque comportement, sont autant de choses qu'il faut prendre en compte pour apprendre à connaître la personne et ainsi pouvoir lui apporter ce dont elle a besoin.

DF 5 : Étude de cas en EHPAD

La réflexion que je souhaite engager dans mon étude de cas, est le fruit de différentes rencontres. C'est tout d'abord celle avec Mme Célestine , une personne qui m’a paru « pressée » dès nos premiers contacts. C'est aussi par des échanges avec la famille et l’équipe pluri disciplinaire que s’est élaboré ce projet personnalisé fait d’observations, d’écoute et de réflexion.

Projet d'animation

Mme C est née en février 1920, elle est souffre de maniaco-dépression. Elle est atteinte de troubles mnésiques. Elle se déplace avec un déambulateur. C’est une petite dame agréable mais réservée qui a tendance à refuser le contact avec les autres résidents. Elle entretient une relation fusionnelle avec sa fille, Jeanne, et passe ses après midi à attendre son hypothétique visite. Jeanne, très dévouée à sa mère, est consciente de la dépendance de celle-ci envers elle. Mme C participe au cours de gym douce. Elle apprécie également les séances de relaxation de groupe. Son manque de confiance lui fait éviter les animations papotages ou jeux de mots où elle craint de se trouver en difficulté.

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