LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Animateur

L'animateur socioculturel est présent auprès des jeunes et des seniors. Foyer, centre de loisirs, maison de quartier, maison de retraite, MJC… L'animateur favorise les échanges et facilite l'expression, la créativité et la socialisation des individus.

La tolérance, le respect des différences, des valeurs à partager et à mettre en vie

La tolérance, le respect des différences, des valeurs à partager et à mettre en vie

L’étape suivante était celle de l’évaluation et du bilan afin de déterminer si l’écriture du projet associatif s’était déroulée de manière satisfaisante, c'est-à-dire si elle avait abouti à la rédaction d’un document qui puisse servir de guide aussi bien aux professionnels qu’aux élus de l’association. Elle devait, également, déterminer si les actions envers les enfants et les jeunes ont permis de créer un relationnel respectueux des différences. Pour clore le mémoire, j’ai envisagé les perspectives du projet après la fin de mon expérience d’animation et de mon parcours professionnel dans l’après defa.

Catégorie: Mémoire Animateur
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

La place du militant dans le devenir associatif

Il est une histoire qui n’a guère plus d’un siècle et qui, pourtant, a su profondément transformer notre société contemporaine dans ses dimensions sociales, économiques, culturelles, politiques et sociologiques. La célébration récente du centenaire de la loi du 1er juillet 1901, dite du « contrat d’association », a été l’occasion pour les nombreux acteurs de ce mouvement de se replonger dans une Histoire modelée par un 20ème siècle, sur de nombreux points, chaotique.

En outre cette commémoration a aussi présenté une occasion unique, parce que fédérée, de s’interroger sur le devenir du système associatif. Avec près de 70.000 créations d’associations par année, 20 millions d’adhérents (dont la moitié environ y exerce une activité bénévole), 1,2 millions d’emplois salariés et plus de 30 milliards d’euros de chiffre d’affaire, le fait associatif représente un phénomène structurant de notre société dont on mesure encore mal l’ampleur, mais que chacun s’accorde à reconnaître comme prépondérant.

BEATEP dans un centre socio-culturel

Ayant travaillé quatre années dans des centres de loisirs, je souhaitais, dans le cadre de ma formation BEATEP, pouvoir connaître différents domaines de l’animation. C’est pourquoi je me suis dirigée vers un Centre Social. Celui-ci me permettra de découvrir d’autres secteurs, comme le secteur jeunesse, famille, culturel, social… De plus le centre de loisirs du Centre Social a une particularité : c’est une structure ouverte, ce qui a porté un intérêt plus particulier pour moi car je ne connaissais pas réellement ce fonctionnement. J’avais travaillé durant un mois d’été dans cette structure et je voulais en connaître plus. Je pense que ces structures correspondent bien avec les besoins des enfants.

Je savais aussi que l’équipe me soutiendrait et me conseillerait dans la formation c’est pourquoi j’avais fait la démarche de prendre rendez-vous avec le directeur pour savoir s’il était possible de réaliser mon stage au centre, avant de commencer ma formation BEATEP. Lors de mes interventions dans la structure du CLSH, j’ai pu constater que le quartier était très riche culturellement. Les parents participent à la vie du centre social mais, sont absents du CLSH. Des efforts ont pourtant étaient fait en les invitant à venir, par vive voix ou par courriers.

Activités physiques et sportives et intégration sociale des jeunes à la sortie d'un IME

J’ai pu constater la difficulté qu’ont les jeunes à sortir du cocon protecteur de l’institution. Cet obstacle existe surtout pour ceux qui sont accueillis en internat, mais pas uniquement. Certains individus entretiennent des relations dans leur quartier mais d’autres n’ont aucun contact avec des jeunes du même âge hors de l’établissement.

Lorsqu’ils se retrouvent en situation d’être orientés, cette absence de réseau relationnel et cette inexpérience du monde « extérieur » génèrent des angoisses et des difficultés. Cependant le départ de l’établissement est paradoxalement fortement souhaité et attendu par le jeune. Mais si ce dernier valide son orientation, elle représente pour lui un stress de l’inconnu, doublé d’un travail de deuil extrêmement difficile à faire.

La période passée au sein de l’institut représente parfois la moitié de la vie de l’individu. De plus, comme nous l’avons fait remarquer, l’internat signifie souvent une réponse à un environnement familial déstructurant sur lequel le jeune ne pourra pas se reposer une fois orienté. Enfin, ces enfants et adolescents se sentent différents et souffrent du regard porté sur la personne en situation de handicap dans notre société.

Je suis en poste au pavillon 1 dont la mission est de préparer les jeunes à une orientation. Par ailleurs, lors de mon arrivée à Henri Wallon  j’ai été chargé de l’animation de l’atelier inter-pavillonnaire d’Activités Physiques et Sportives (APS). Je me suis interrogé sur la pertinence de l’utilisation de ce support dans mon projet d’intégration sociale des jeunes destinés à être orientés. J’ai ainsi posé la problématique : « En quoi la pratique des APS peut-elle faciliter l’intégration sociale des jeunes à leur sortie d’un IME ? ».

Mémoire DEFA sur l'autorité de l'animateur

« Les jeunes aujourd’hui aiment le luxe, ils sont mal élevés, méprisent l’autorité, n’ont aucun respect pour leurs aînés et bavardent au lieu de travailler, ils ne se lèvent plus lorsqu’un adulte pénètre dans la pièce où ils se trouvent. Ils contredisent leurs parents, plastronnent en société, se hâtent à table d’engloutir les desserts, croisent les jambes, et tyrannisent leurs maîtres. » L’auteur de ces propos n’est pas plus un pédopsychiatre, qu’un Ministre de l’Education de notre époque. C’est Platon qui, en 348 avant Jésus-Christ, a rapporté ces paroles de son maître Socrate. Pourtant, en 2004, le constat du « mépris de l’autorité » par les enfants et les jeunes est perpétuellement repris, reformulé au goût du jour, aussi bien par les parents que par les éducateurs, enseignants, pédagogues, psychologues, journalistes, responsables politiques. Chacun y va de son couplet accusateur, reprochant à l’une ou à l’autre catégorie d’être à l’origine de ce problème.

Connexion

Abonnement

Recherche