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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

L'accompagnement social des personnes en situation de fragilité

L'accompagnement social des personnes en situation de fragilité Aujourd’hui, nous entendons beaucoup parler d’accompagnement. C’est un terme qui peut revêtir de multiples formes : accompagnement scolaire, accompagnement social, accompagnement à la santé et aux soins, accompagnement de fin de vie. Il s’adapte donc à différents publics et renvoie à des difficultés bien distinctes pouvant toucher la vie quotidienne de chacun d’entre nous. C’est donc une notion qui nous semble d’emblée familière et accessible.

A travers cette analyse nous pouvons constater que l’accompagnement social fait partie intégrante du travail social. L’accompagnement social repose ainsi sur une éthique d’engagements réciproques. Le professionnel devant rechercher à mobiliser les moyens appropriés à la résolution des problèmes tout en articulant son travail d’accompagnement en partenariat ; l’usager devant s’engager à effectuer les démarches nécessaires à son insertion.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Rapport de stage et journal de bord en ITEP
En ITEP, l’éducateur est le référent du projet personnalisé individuel. Il est la courroie de transmission entre les différents intervenants et l’enfant. Il a pour mission la mise en place et la réalisation du projet du jeune dont il est référent. Il centralise les informations, prépare et rédige les synthèses, effectue le suivi à l’extérieur lors de stages, auprès des collèges, ou autres institutions travaillant avec le jeune ; il accompagne l’enfant dans les réunions avec la famille et l’assistante sociale. L’éducateur est pour le jeune un repère, un accompagnant à la vie professionnel, à la vie d’adulte en général. Ce sont les difficultés psychologiques qui constituent le premier élément d'indication pour une orientation vers un ITEP. Leur intensité et leur caractère durable en constituent des éléments essentiels lorsque les manifestations perturbent la scolarisation et la socialisation, qu'elles s'expriment sur un mode d'extériorisation ou de retrait, et ne sont pas d'ordre passager, circonstanciel ou réactionnel. Il s'agit de symptômes liés à des difficultés psychologiques qui perdurent. Les jeunes relevant d'ITEP se trouvent, malgré des potentialités intellectuelles préservées, engagés dans un processus handicapant pouvant compromettre à terme leur participation sociale. Ce processus handicapant requiert des moyens thérapeutiques, éducatifs et pédagogiques conjugués. Sous égide institutionnelle, un accompagnement personnalisé contribue à restaurer les compétences et potentialités des jeunes concernés, à rétablir leurs liens avec l'environnement social. Cette approche interdisciplinaire à visée soignante, avec personnalisation des propositions d'intervention, constitue une des principales spécificités des ITEP. D'une façon générale, les ITEP ne sont pas appropriés pour des enfants et adolescents présentant des troubles de type autistiques, des troubles psychotiques prédominants ou des déficiences intellectuelles .Les ITEP développent nécessairement des coopérations avec l'Éducation nationale et la pédopsychiatrie. Des ponts peuvent aussi être créés avec la protection de l'enfance, ou la protection judiciaire de la jeunesse.
Dossier juridique : l'IME de PDC
Le cadre législatif et réglementaire régissant l’accueil des personnes handicapées dans un IME pose les principes suivants : - l’usager au cœur du dispositif - l’usager, sujet de droit Ces principes sont inscrits dans le cadre de la loi du 2 janvier 2002, rénovant l’action sociale et médico-sociale. Ainsi que la loi du 11 février 2005 « pour l’égalité des droits et des chances, la participation de la citoyenneté des personnes handicapées ». Les annexes XXIV et la loi du 11 février 2005 relatives à la scolarisation des enfants handicapés, structurent le fonctionnement et l’organisation de l’IME. De façon générale les annexes XXIV définissent les principes suivants : • La priorité doit être donnée au maintien en milieu ordinaire, à l’intégration scolaire et à une collaboration avec les établissements scolaires et périscolaires • L’enfant doit être placé au centre du dispositif de prise en charge et doit bénéficier d’un projet personnalisé régulièrement réévalué • Les parents doivent être informés régulièrement de l’évolution de leur enfant, associés à l’élaboration du projet individualisé et à toutes les décisions le concernant • La structure doit se doter d’un projet d’établissement qui aborde les domaines éducatifs, pédagogiques et thérapeutiques.
DPR : Comment faire ensemble quand on se sent seul ?
Au travers de ce travail de réflexion et de recherche et en m'appuyant sur une situation rencontrée sur mon lieu de stage je m'efforcerai d'aborder cette notion de partenariat/réseau en l'analysant à partir des principes de F.Dhume. J'essaierai de mesurer les effets lorsque ces principes font défaut. Je prendrai le postulat que lorsque ces principes ne sont pas énoncés et appliqués cela peut tendre à complexifier les actions et nous éloigner des objectifs initiaux. Je retiendrai aussi l'hypothèse selon laquelle l'éducateur, dans sa posture professionnelle, doit collaborer pour tendre à une éventuelle coopération mais que cette visée vient se heurter à l'absence d'engagement institutionnel dans le travail en partenariat et induit en conséquence un isolement de l'éducateur et des différents acteurs avec qui il doit œuvrer.
Les violences conjugales
« La violence faite aux femmes désigne tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin, causant ou susceptible de causer aux femmes des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, et comprenant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou la vie privée. » La violence conjugale est un processus de domination au cours duquel l’un des deux conjoints installe et exerce une emprise sur l’autre en usant : « … de tromperie, de séduction, de menaces, de contraintes ou de tout autre moyen à l’encontre de l’autre et ayant pour but et pour effet : - De l’intimider, de la punir, ou de l’humilier, - Ou de la maintenir dans des rôles stéréotypés liés à son sexe - Ou de lui refuser sa dignité humaine, son autonomie sexuelle, son intégrité physique, mentale ou morale, - Ou d’ébranler sa sécurité personnelle, son amour-propre, sa personnalité, - Ou de diminuer ses capacités physiques ou intellectuelles. » Processus de domination conjugale Il existe différentes violences : psychologique, physique, sexuelle, économique, verbale. L’humiliation détruit l’estime de soi. Lui refuser sa dignité humaine : atteinte au corps, obligation de nudité, interdiction de se laver, faire ses besoins dans un seau… Evaluer la dangerosité du conjoint : casiers judiciaires, armes, addiction, menaces, atmosphère de terreur. - Lors des entretiens : « qu’est ce qui vous fait le plus peur ? »

Chiffres violences couples - 115 femmes tuées par leur conjoint (ou ex-conjoint), et 7 par leur compagnon « non officiel ». Au moins 44 d’entre elles étaient victimes de violences antérieures connues. - 21 hommes ont été tués par leur partenaire de vie (dont un au sein d’un couple homosexuel). Au moins 8 d’entre eux étaient victimes de violences antérieures connues. - 40% des femmes et 8% des hommes qui ont tués leur conjoint(e) avaient antérieurement dénoncé des violences conjugales. - 36 enfants ont été tués dans le cadre de violences au sein du couple parental. 11 ont été tués par leur père en même temps que leur mère, et 25 sans que l’autre parent soit tué. - Dans 10 affaires les meurtres ont été commis devant les enfants, 55 enfants étaient présents au domicile au moment des faits (les enfants n’empêchent pas le meurtre). - 96 enfants sont devenus orphelins

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