LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Partenariat et réseau dans un FAM

Partenariat et réseau dans un FAM Ces « cercles de proximité » sont les ensembles d'acteurs en relation habituelle de travail sur un territoire qui ont permis à ce projet de se réfléchir, se lancer et se mettre en œuvre dans une dynamique partenariale. Ainsi, de part cette expérience, le partenariat est d'autant plus facile et renforcé lorsqu'il s'appuie sur un réseau proche, connu et reconnu par l'ensemble des acteurs. Ainsi, le réseau apparaît comme un élément constitutif important dans la construction d'un partenariat afin de mettre en place un projet qui soit efficient. Il est un outil important qui peut influencer fortement l'efficience d'un projet.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Conception et conduite de projet éducatif spécialisé
Etudiant en cours d’emploi, j’ai effectué mon stage d’une durée de huit semaines auprès de personnes en exil et en demande de protection auprès de l’Etat Français. Le lieu de formation sur site qui m’a accueillie est un établissement d’hébergement qui s’est vu naître avec une circulaire du 25 juillet 2015 . Celle-ci créée les Centres d’Accueil et d’Orientation (CAO), prévues pour désengorger la «jungle » de Calais et parer aux crises sanitaires. Ces centres sont des outils du plan interministériel et ont pour vocation d’accueillir les personnes volontaires en hébergement d’urgence et leurs d’offrir un accompagnement social et administratif approprié. Le centre d’accueil et d’orientation accueille vingt hommes, dix-neuf sont originaire du Soudan et un du Tchad. Parallèlement, le centre accueil une famille originaire d’Irak qui vient d’être admise au titre de réfugiés. Mon projet va reposer sur l’intégration des résidents sur le territoire dans lequel ils vivent en développant l’insertion des personnes. L’autre axe est de développer un partenariat avec des professeurs bénévoles pour répondre aux besoins des résidents Les résidents mettent en avant la nécessité de maîtriser la langue Française. Ce besoin est fondé pour eux dans la nécessité de s’insérer dans la société et de faciliter leurs démarches au quotidien, d’obtenir un titre de séjour et par conséquent obtenir un emploi et s’inscrire comme citoyen à part entière. Cet objectif répond à une recommandation de l’ANESM, « faciliter l’initiation à la langue française en invitant des professionnels (salariés ou bénévoles) formés au Français Langues Etrangères à proposer leurs services […] » .

L’Index international et dictionnaire de la réadaptation et de l’intégration sociale (IIDRIS) définit l’insertion sociale comme une « action visant à faire évoluer un individu isolé ou marginal vers une situation caractérisée par des échanges satisfaisants avec son environnement ; c’est également le résultat de cette action, qui s’évalue par la nature et la densité des échanges entre un individu et son environnement » . C’est aussi pour les résidents, le moyen de reconquérir une position sociale est ainsi passé d’une situation d’incertitude et passer outre les ruptures passées. MARTUCCELLI, nous rappel « … en cessant d’être des citoyens reconnus de leurs propre état, les exilés deviennent des citoyens de nulle part. Ils doivent dès lors faire face aux épreuves de la non- citoyenneté, ensemble d’expériences imposées, des difficultés, d’examens à passer afin de devenir à nouveau d’éventuels membres reconnus d’un ensemble social ». Les résidents sont isolés socialement et le nombre d’intervenants extérieur restreint ne facilite pas l’échange et la stimulation des échanges en Français. De ce fait les résidents échangent la plupart du temps en Arabe et leur intégration dans la société reste compromise. Le groupe de résidents constitue une micro culture, possédant ses croyances, ses normes, son langage, ses traditions dans une société en décalage avec leurs us et usages. Emile DURKHEIM , nous rappelle que la socialisation est un processus par lequel la personne va prendre place dans la société par lequel il se socialise. Par ce processus la personne apprend les normes et valeurs de la société qui l’entoure dans l’optique d’en devenir un citoyen.
Les concepts de sécurité et d’insécurité
La sécurité, et son pendant l’insécurité, est l’un des thèmes qui traverse les sociétés humaines depuis que l’homme est homme. Dans son acceptation générale, la sécurité correspond à un état d’esprit confiant et tranquille qui résulte du sentiment, bien ou mal fondé, que l’on est à l’abri de tout danger. Pour le dictionnaire Larousse, c’est une situation dans laquelle quelqu’un, quelque chose n’est exposé à aucun danger, à aucun risque d’agression physique, d’accidents, de vol, de détérioration… La sécurité serait à associer à un sentiment diffus plus ou moins défini qui donne le loisir aux individus d’évoluer sereinement au contact de leur environnement sociétal. Si les concepts de sécurité et d’insécurité peuvent se décliner dans différents champs (économique, environnemental, alimentaire, protection sociale…), il en est un qui a depuis toujours attiré plus particulièrement l’attention de tous, l’omniprésence des délits mettant à mal l’ordre établi et la sécurité des personnes dans leur intégrité.
Economie solidaire SEL et RERS

Les exemples ne manquent pas, et chacun y va de sa formule. Le point de départ étant de produire et/ou échanger sans argent. La forme première et la plus archaïque se nomme certainement « don et contre-don » et pourrait s’appeler ensuite le bénévolat : de nombreuses personnes sont disponibles pour rendre service à autrui, sans souhaiter de rémunération. Pourtant, tout le monde ne sait pas forcément comment se rendre utiles, et par ailleurs de nombreux besoins ne sont pas satisfaits, de nombreuses activités profitables ne sont pas assurées. L’intérêt est donc d’imaginer la mise en relation, en réseaux, de l’offre et la demande dans un cadre précisé. Bien que la législation soit peu et mal définie, les actions entreprises sont nombreuses : Centre National du Volontariat, Le Parrainage, Les maisons de chômeurs, Les jardins familiaux, Les gardes réciproques, La téléassistance de voisinage, Les cantous… Nous nous attarderons ici sur deux actions particulières, piliers de l’économie solidaire : Les Réseaux d’Echanges Réciproques de Savoirs et les Systèmes d’Echanges Locaux.

Dossier Partenanriat et Réseau au sein d’un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale
Ainsi, je propose de définir le partenariat tel une mutualisation des compétences inter-institutionnelles où les membres s’engagent librement. Les relations sont égalitaires et le projet commun. Cette modalité de travail ensemble vise à améliorer ou modifier les modalités de prise en charge des usagers et fait l’objet d’une contractualisation. Dans la pratique, les intérêts de chacun peuvent être différents sans que cela ne nuise à l’accompagnement.

Connexion

Educateur de jeunes enfants

Abonnement

Recherche