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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Rapport de stage dans un EEAP et problématique

Rapport de stage dans un EEAP et problématique La sensibilisation du public sur le handicap évolue. Avec des lois comme la loi 2002.2 et 2005, le handicap est plus présent dans notre vie quotidienne. Les personnes en situation de handicap peuvent alors sortir de chez eux et par conséquent ils sont de plus en plus visibles par le reste de la population. Le regard des autres, sur un corps abimé, un visage déformé, une démarche non assurée, est plus insistant, plus difficile. Les regards des gens peuvent influer sur le déroulement positif d’un projet prévu par ces lois.

Ce que j’ai pu analyser de la situation que j’ai exposé ci-dessus, c’est que la loi 2005 pour l’égalité des droits et des chances, a un peu bousculé les institutions en les obligeant à résoudre le problème d’accessibilité dans un cours délai (10 ans). J’ai pu observer que certains organismes ne se sentent pas encore concernés par ce problème. D’autres par contre, prennent à cœur ce challenge, et mettent en œuvre des moyens pour y arriver. La route reste encore longue car beaucoup de villes ne sont pas aux normes, Avignon en fait partie. Le frein le plus puissant à ce projet reste le budget, qui n’est pas assez conséquent pour répondre à la loi dans les délais. Sur Avignon, plus spécifiquement intra muros, beaucoup de lieux sont classés « monument historique » ce qui ne permet pas de remettre en conformité ces monuments.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
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Vous avez dit sexualité (sexualité des handicapés)

Intervenant dans le cadre de notre formation auprès d’un public d’enfants ou d’adultes présentants diverses déficiences telles que : handicap physiques, mental, sensoriel, polyhandicap, nous avons toutes été confrontées à un moment où un autre à la question de la sexualité. Nous avons été amenées pour ce travail d’UF8 collectif à échanger avec l’équipe éducative d’une institution accueillant des adultes malades mentaux. Afin d’élaborer une réflexion commune nous avons construit un questionnement, celui-ci portait sur trois axes : - Construction de l‘identité sexuelle chez la personne porteuse de handicap, - La place de l’entourage familiale et institutionnel - Et sur le travail éducatif à envisager auprès des usagers concernant la sexualité. Lors de notre première échange, nous avons constaté qu’il y avait une inadéquation entre ce que nous attendions et ce qu’ils étaient en mesure de nous apporter. C’est pourquoi nous avons réaxé notre travail, autour d’une question centrale : Comment dans l’institution et la pratique éducative, l’équipe pluridisciplinaire est amenée à gérer la question de la sexualité ?

La dynamique partenariale à travers l’accompagnement d’une personne en situation de handicap
Il est définit dans le projet de service les missions du SESSAD dont certaines concernent "d'imaginer, d'aider à mettre en place et de coordonner toutes les actions éducatives, sociales et thérapeutiques qui permettront à l'enfant, l'adolescent, le jeune adulte de se développer de la façon la plus harmonieuse possible, de s'intégrer à la vie sociale, d'acquérir le maximum d'autonomie" ainsi que "d'appréhender la problématique du jeune et d'apporter une réponse individualisée et adaptée qui convienne au jeune et à sa famille en incluant l'école qui est l'un des partenaires les plus prégnant". J'ai donc choisi de vous présenter la situation d'un jeune que nous nommerons Ibra afin de préserver son anonymat. La problématique est la suivante : Comment s’organise le partenariat autour de l'accompagnement d'un jeune?
DC 4 le partenariat en prévention spécialisé : projet "réussir ensemble" avec le centre social
Les éducateurs de prévention spécialisée travaillent sur le thème de l'éducation en s'impliquant sur des actions de soutien à la parentalité : le « café des parents » ; et « l'accompagnement à la réussite » pour les élèves en classes de collège. J'ai choisi de participer au projet « accompagnement à la réussite » pour les 6ème 5ème, avec une éducatrice de mon équipe, et l'animatrice du centre social. Mon objectif était de découvrir comment l'éducateur en prévention spécialisée s'associe à d'autres (professionnels ou non) pour construire des réponses adaptées aux besoins observés et/ou ressentis par un grand nombre de personnes sur un même territoire.
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. 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