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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Fonction bénévole de VAE Educateur spécialisé

Fonction bénévole de VAE Educateur spécialisé Dans un premier temps mon rôle aura été de mettre Bastien en confiance et à accepter les frustrations que générait l'échec. Puis, une fois ce problème de comportement résolu, j'ai pu me permettre d'aller négocier auprès de l'entraîneur un temps de jeu supplémentaire pour Bastien d'une part, mais aussi pouvoir expliquer à cette personne, qui était vraiment Bastien. C'est-à-dire, quelles étaient ses capacités ainsi que ses difficultés
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Dossier Partenariat et Réseau à la protection de l'enfance
Dans ce dossier, nous avons vu l’importance de bien connaitre une institution, ses missions, son projet d’établissement, sa charte et ses financements afin de pouvoir travailler correctement avec les différents partenaires et réseaux que l’on est amené à rencontrer au sein de notre établissement.
En effet, ce sont les travailleurs sociaux qui se doivent d’élargir le cercle des différents partenaires et d’agrandir le réseau de l’établissement afin de faire face aux différentes questions sociales actuelles (pauvreté, insécurité sociale, violence…). Le partenariat devient un objectif stratégique.
C’est la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médicosociale qui a imposé aux institutions de travailler en partenariat. Mais la mise en place de cet outil ne va pas de soi.
Foyers de Jeunes Travailleurs (FJT)

Mission: Au-delà du gîte et du couvert, le foyer offre une possibilité de culture et de loisirs, d’expérimentation de la citoyenneté, favorisant ainsi la promotion sociale de chaque individu.

Cadre administratif et réglementaire: Les FJT sont des institutions à but non lucratif. Leur équilibre financier implique une participation des bénéficiaires aux coûts des services offerts, principalement logement et restauration. Ils sont gérés par des organismes qui sont principalement des associations mais qui peuvent également être des centres communaux d’action sociale.
Ce sont des institutions relevant de la loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale.

Public accueilli : Les FJT s’adressent principalement à la population des jeunes en voie d’insertion sociale et professionnelle, âgés de 16 à 25 ans

Modalités d’accueil et de fonctionnement : Toute personne justifiant de :
- une activité professionnelle, un engagement de formation, contrat de stage en entreprise, recherche d’emploi.
Par dérogation, la catégorie des 16 ans – 29 ans peuvent bénéficier de ces prestations.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

Projet d’Activité : Soins Esthétiques
L’activité soins esthétiques se déroule tous les jeudis après midi de 13h30 à 15h30 au sein du groupe avec 4 jeunes . Il est important que cette activité se déroule dans une salle calme ou il n’y pas de passage car cette activité vise aussi à procurer du bien-être par le biais de la détente (massage…). Il ne faut pas plus de 4 jeunes car les différentes prises en charge se déroulent souvent de façon individuelle donc il ne faut pas que les jeunes trouvent le temps trop long.

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