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Cadre socio-éducatif

Le chef de service éducatif est un relais entre la direction et les équipes socio-éducatives, il joue un rôle d’interface. Il a pour mission principale l’encadrement des équipes et la coordination des actions socio-éducatives directement engagées auprès des personnes accueillies et de leurs proches auprès de qui il intervient très régulièrement.

Fiche de lecture Cadre socio-éducatif

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Ethnologue de profession, Germaine Tillion est une femme qui a connu la déportation lors de la seconde guerre mondiale. Elle a effectué un grand nombre de recherches scientifiques et étudié les sciences humaines. L’Algérie a été son terrain de recherches entre 1934 et 1940.

L’extrait qui nous est présenté provient du livre « fragments de vie » où sont recueillis des textes écrits par Germaine Tillion et mis en forme par Tzvetan Todorov après la mort de l’ethnologue.

A travers cet extrait, on peut comprendre comment Germain Tillion est passée d’une pensée scientifique (où l’observation prime) à une pensée plus humaine (où l’on prend en compte le ressenti et le vécu) dans ses recherches.

Germaine Tillion s’interroge sur sa profession et sur le vécu personnel qui détermine, selon elle, le regard de l’observateur scientifique. Son expérience de vie modifiera sa posture et son regard d’éthnologue.

Ce texte soulève la problématique suivante : En quoi les expériences de vie permettent de mieux appréhender et décrypter des faits afin d’améliorer les recherches scientifiques  habituellement basées sur les faits observés ?

Le partenariat est un phénomène de mode, utilisé dans tous les secteurs de notre société et essentiellement dans le secteur économique, le secteur social et le secteur public. Il est omniprésent, souvent mis en avant comme une réponse à tous les questionnements, à tous les problèmes…. Il met en valeur notre quotidien, de votre véhicule au soda américain, le partenariat devient la dimension indispensable à notre évolution dans notre société. Mais qui est-il vraiment ? En quoi consiste t-il ? Il est universel, nous savons tous le nommer ; mais sommes nous capables de le définir vraiment ?

Quel est son champ d’intervention ? Quelles sont ses règles, ses limites ? Est-il un slogan ou une réelle méthode ? Dans le domaine sociologique il est plus facile de définir le travail en réseau que le travail partenarial. Le partenariat consisterait à faire travailler ensemble des travailleurs sociaux sans leur donner de définition clairement établie de ce travail ensemble ; Comme s’il suffisait de se déclarer partenaires autour d’une action pour que, instinctivement, chacun de ses partenaires sache quelles missions il devra remplir.

Dans cet ouvrage de synthèse, Olivier Reboul se propose de questionner les grands concepts qui participent aux champs théoriques et pratiques de l’éducation dans son acceptation la plus générale tels ceux d’institution, de pédagogie ou d’autorité. Il propose d’y appliquer 5 méthodes de questionnement qui sont chacune rattachée à une discipline différente qui a elle-même ses propres moyens d’investigation : l’histoire de la philo, la réflexion sur les sciences de l’éducation, l’analyse logique, l’argumentation ou encore la dialectique. L’ouvrage est divisé en 7 chapitres, eux-mêmes divisés en plusieurs chapitres.

Réfugiés et sans papiers. Le droit d’asile face à la République XIXe-XXe siècle retrace l’histoire du droit d’asile, de ses diverses conceptions et des mesures prises par les dirigeants pour le favoriser ou le limiter. Bien plus qu’une étude générale sur les réfugiés il s’agit ici pour l’auteur de s’interroger sur la constitution administrative de la catégorie moderne du réfugié. Cette dernière est utilisée pour éclairer un processus profond : la propagation du concept d’identité nationale par le biais de la catégorisation et de l’identification mises en œuvre par l’Etat.

Selon l’auteur, « devenue pensée unique, l’idéologie néolibérale est désormais assez incorporée au social pour que des entrepreneurs malins y fassent des affaires ». Il constate, dans les changements générés par « les tables de la raison gestionnaire et managériale libérale », des processus aux conséquences diverses : réduction de la voilure, ouverture d’un « marché du social », imposition de normes de « bonne gestion », valorisation d’un nouvel affairisme, nouveaux lexique (services à la personne, accès au droits, démarche qualité) favorisant un processus de chalandisation et de formatage des consciences, sapant les fondamentaux de l’action sociale et préparant à la privatisation des services.

Né le 16 juin 1966, Henri BERGERON est actuellement docteur en sociologie (IEP Paris). Il est chargé de recherches au Centre de Sociologie des Organisations (CNRS) et il enseigne à l'Université de Paris XI, celle de Paris I ainsi qu’à l'IEP de Rennes, (voir fiche détaillée en page20 & 21). Henri Bergeron a fait une classe préparatoire HEC au Lycée Carnot de Paris, puis a intégré l'Ecole Supérieure de Commerce de Paris, suivi d'un DEA de Sociologie à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris.

Après deux années d'enseignement à Istanbul, à l'Université de Marmara dans le département de Sciences Politiques, il écrit une thèse sur les croyances collectives. Son cas d'application est la politique des drogues en France. A la suite de cette thèse, publiée aux PUF (coll. "Sociologies"), il entre au CNRS comme chargé de recherche.

Sociologue de formation, Pierre Bechler a 25 ans d’expérience dans le secteur en tant que formateur, responsable de formation, directeur d’association, directeur général de l’IREIS (4 établissements de formation) Il a réalisé plusieurs missions d’études et de conseils, d’enseignement, de recherches, de conférence et d’audit.

Actuellement, il est manager consultant et dirige son propre cabinet (KAIROS MANAGEMENT) de conseils, d’étude et de gestion des transitions en matière de direction dans les organisations sociales. Il a rédigé de nombreux articles dans le secteur du handicap, de la délinquance, du management des organisations sociales, de la gestion des compétences et de la gouvernance associative.

Concernant les jeunes qui présentent des déficiences motrices lourdes associées à une déficience intellectuelle la difficulté est plus importante pour leur formation. Même si une formation professionnelle ne leur permet pas d’avoir des qualifications élevées, les intérêts sont identiques à ceux des autres formes de handicap.

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