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Animateur

L'animateur socioculturel est présent auprès des jeunes et des seniors. Foyer, centre de loisirs, maison de quartier, maison de retraite, MJC… L'animateur favorise les échanges et facilite l'expression, la créativité et la socialisation des individus.

Le temps libre des adolescents à l'aune des marchés publics

Le temps libre des adolescents à l'aune des marchés publics

L’ensemble du « réseau 12/15 » s’avère être une réponse adaptée aux besoins des préadolescents pour l’ADSEA 01, ses salariés et les élus locaux de Bourg-en- Bresse. Ce type d’Accueil de Loisirs innovant et original fonctionne à Bourg en Bresse depuis un an. Les nombreux partenariats que nous avons engagés lors de la création de ce mode d’intervention sont d’ailleurs assurés, par le renouvellement des engagements à venir.

De plus ce concept fait son chemin à l’échelle du département. C’est, en effet, en s’appuyant sur notre capacité à créer une nouvelle offre de loisirs en réseau pour les adolescents nous avons remporté une délégation de service public auprès de la commune de Ferney-Voltaire. Dans le cadre de mes fonctions de directrice de service, je suis également appelée à intervenir auprès des « Sauvegarde » d’autres départements. A cet endroit, je suis sollicitée pour l'année 2011 sur des compétences d’ingénierie au regard des techniques mises en oeuvre dans le département de l’Ain depuis 7 ans.

Catégorie: Mémoire Animateur
Type de fichier: application/pdf
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Documents associés

Activités physiques et sportives et intégration sociale des jeunes à la sortie d'un IME

J’ai pu constater la difficulté qu’ont les jeunes à sortir du cocon protecteur de l’institution. Cet obstacle existe surtout pour ceux qui sont accueillis en internat, mais pas uniquement. Certains individus entretiennent des relations dans leur quartier mais d’autres n’ont aucun contact avec des jeunes du même âge hors de l’établissement.

Lorsqu’ils se retrouvent en situation d’être orientés, cette absence de réseau relationnel et cette inexpérience du monde « extérieur » génèrent des angoisses et des difficultés. Cependant le départ de l’établissement est paradoxalement fortement souhaité et attendu par le jeune. Mais si ce dernier valide son orientation, elle représente pour lui un stress de l’inconnu, doublé d’un travail de deuil extrêmement difficile à faire.

La période passée au sein de l’institut représente parfois la moitié de la vie de l’individu. De plus, comme nous l’avons fait remarquer, l’internat signifie souvent une réponse à un environnement familial déstructurant sur lequel le jeune ne pourra pas se reposer une fois orienté. Enfin, ces enfants et adolescents se sentent différents et souffrent du regard porté sur la personne en situation de handicap dans notre société.

Je suis en poste au pavillon 1 dont la mission est de préparer les jeunes à une orientation. Par ailleurs, lors de mon arrivée à Henri Wallon  j’ai été chargé de l’animation de l’atelier inter-pavillonnaire d’Activités Physiques et Sportives (APS). Je me suis interrogé sur la pertinence de l’utilisation de ce support dans mon projet d’intégration sociale des jeunes destinés à être orientés. J’ai ainsi posé la problématique : « En quoi la pratique des APS peut-elle faciliter l’intégration sociale des jeunes à leur sortie d’un IME ? ».

La tolérance, le respect des différences, des valeurs à partager et à mettre en vie

Peu de temps après ma prise de fonction en tant que directrice de la toute récente association X, j’ai constaté que parmi la jeunesse de XX et de ses environs, une partie d’entre eux adhère à des idéologies racistes. Ce constat m’a posé problème car non seulement cela s’opposait à mes valeurs, mais en plus j’ai considéré qu’en tant qu’animatrice professionnelle travaillant dans l’éducation populaire, accueillant des groupes de tous milieux, je devais permettre à tous de vivre ensemble dans le respect, la tolérance et la convivialité.

Dans un premier temps, ce mémoire m’a permis de situer mes attentes vis-à-vis de l’association qui m’emploie car elle n’avait aucune référence idéologique et éducative exprimée dans son projet associatif. Ces carences me posaient problème car je ne voulais pas être la seule à me mobiliser sur ce type de sujet et j’avais besoin que le projet associatif soit clair dans ses objectifs et ses missions.

BEATEP dans un centre socio-culturel

Ayant travaillé quatre années dans des centres de loisirs, je souhaitais, dans le cadre de ma formation BEATEP, pouvoir connaître différents domaines de l’animation. C’est pourquoi je me suis dirigée vers un Centre Social. Celui-ci me permettra de découvrir d’autres secteurs, comme le secteur jeunesse, famille, culturel, social… De plus le centre de loisirs du Centre Social a une particularité : c’est une structure ouverte, ce qui a porté un intérêt plus particulier pour moi car je ne connaissais pas réellement ce fonctionnement. J’avais travaillé durant un mois d’été dans cette structure et je voulais en connaître plus. Je pense que ces structures correspondent bien avec les besoins des enfants.

Je savais aussi que l’équipe me soutiendrait et me conseillerait dans la formation c’est pourquoi j’avais fait la démarche de prendre rendez-vous avec le directeur pour savoir s’il était possible de réaliser mon stage au centre, avant de commencer ma formation BEATEP. Lors de mes interventions dans la structure du CLSH, j’ai pu constater que le quartier était très riche culturellement. Les parents participent à la vie du centre social mais, sont absents du CLSH. Des efforts ont pourtant étaient fait en les invitant à venir, par vive voix ou par courriers.

Mémoire DEFA sur l'autorité de l'animateur

« Les jeunes aujourd’hui aiment le luxe, ils sont mal élevés, méprisent l’autorité, n’ont aucun respect pour leurs aînés et bavardent au lieu de travailler, ils ne se lèvent plus lorsqu’un adulte pénètre dans la pièce où ils se trouvent. Ils contredisent leurs parents, plastronnent en société, se hâtent à table d’engloutir les desserts, croisent les jambes, et tyrannisent leurs maîtres. » L’auteur de ces propos n’est pas plus un pédopsychiatre, qu’un Ministre de l’Education de notre époque. C’est Platon qui, en 348 avant Jésus-Christ, a rapporté ces paroles de son maître Socrate. Pourtant, en 2004, le constat du « mépris de l’autorité » par les enfants et les jeunes est perpétuellement repris, reformulé au goût du jour, aussi bien par les parents que par les éducateurs, enseignants, pédagogues, psychologues, journalistes, responsables politiques. Chacun y va de son couplet accusateur, reprochant à l’une ou à l’autre catégorie d’être à l’origine de ce problème.

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