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Aide médico-psychologique

L'aide médico-psychologique (AMP) ou accompagnant éducatif et social ( AES) intervient auprès de personnes jeunes ou adultes ayant un handicap physique ou mental important. Il peut s'occuper de personnes âgées dépendantes. Il les accompagne dans tous les actes de la vie quotidienne.

Autre Aide médico-psychologique

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Monsieur H, âgé de 68 ans, est né en Charente le 27/10/1935, marié et père de deux enfants, il était adjudant chef dans l’armée. Suite à cette carrière, il fut marque par la guerre d’Algérie où il passa de longs mois dans le désert. Souffrant de la maladie d’Alzheimer, Monsieur H a besoin de stimulation et d’accompagnement qui lui est proposés dans le service de jour de l’établissement, de plus de cet accueil permet de soulager son épouse.

La toilette est le soin d’hygiène et de confort, elle permet de maintenir la propreté de la peau et de prévenir l’ altération telle que les irritations, les rougeurs, les escarres… tout lien avec l’ état cutané.

C'est en qualité d'Aide Médico-Psychologique que j'interviens au centre de détention de C. Après avoir passé plus de 17 ans à l'Association Des Paralysés de France,je décide en ce mois de mai 2001,d'évoluer vers une autre population de personnes Handicapées Physiques.

En application de la loi du 8 janvier 1994,l'organisation des soins en milieu pénitentiaire est confiée aux hôpitaux,dans le cadre de protocoles d'accord signés entre établissement pénitentiaire et établissement hospitalier. Pour le centre de détention de C,c'est une unité de consultations et de soins ambulatoires(UCSA) qui dépend du CHU de C.

Madame "P" est une personne âgée de 91 ans, elle est affectueuse et gentille. Elle souffre de démence type Alzheimer, elle est désorientée dans le temps et dans l’espace et n’a plus de mémoire immédiate. Elle est issue d’une famille de 14 enfants et elle-même a eu 8 enfants, elle a toujours été très entourée, c’est peut être pour cela qu’elle n’aime pas la solitude. Elle est constamment à la recherche d’une oreille attentive afin de pouvoir raconter son histoire. Il est toujours agréable de passer un moment à ses côtés pour discuter, les sujets ne manquent pas !

Dans notre pratique, le quotidien nous parait évident, normal, habituel. On va partager avec l’usager des moments ordinaires mais qui peuvent parfois devenir extraordinaires. Nous ne nous posons rarement la question de savoir ce que représente ce quotidien avec ce public. En fait, le quotidien est un besoin fondamental rythmé par différents temps. Ces rythmes répondent à des besoins biologiques (ex : jour, nuit, saisons). Ils servent de repères, de liens socialisants. Ils ont une fonction organisatrice des relations humaines. Les résidents apprennent à prendre conscience des autres, d’eux-mêmes, de leurs envies, leurs besoins, des limites, des frustrations,…

Mon étude de cas va porter sur Cédric*. J’ai choisi ce résident, car je l’avoue, il m’arrive quelquefois d’avoir moins de patiente avec lui. Peut-être du au fait qu’il soit très lent. Cédric est un jeune homme de 23 ans. Il vit à l’institution depuis novembre 2004. Il était auparavant accueilli en I.M.E. Il rentre chez ses parents un week-end sur deux. Ceux-ci sont très impliqués et présents dans la vie de leur fils.

Cédric est de stature et de carrure imposante. Il est en situation de handicap mental, à une difficulté à la marche due à une malformation d’un pied (pied équin). Le projet de Cédric doit être composé des différents modes de prise en charge. Nous devons l’élaborer avec la collaboration de sa famille et l’équipe pluridisciplinaire pour ainsi faire le lien avec la loi 2002.2.

Après observation du groupe dans lequel je travaille : Bossa-Nova, j’ai pu constater que des résidents ne bénéficiaient pas de la balnéothérapie. Du fait de leurs pathologies (autisme, psychoses) certains se sentent angoissé, paniqué dans ce grand espace où la voix résonne.

De nos jours, le don d'organes est très important mais malheureusement trop de gens meurent encore dans l'attente d'un organe c'est un acte de solidarité mais aussi anonyme er gratuit, on peut donner de son vivant ou après sa mort.

PROBLEME : Parler du don d'organes aux proches n'est pas toujours facile mais c'est important de dire son avis car si on n'en parle pas et que l'on décède, la famille peut mal le vivre car elle n'a pas été psychologiquement préparée à comprendre et à accepter le don. Pour aider à la décision pour la famille il existe la carte de donneur même si ce n'est qu'a titre indicatif !!

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