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Educateur technique spécialisé

L'éducateur technique spécialisé transmet son savoir professionnel à des personnes en difficulté ou handicapées pour les aider dans leur autonomie. Il conjugue ses compétences sociales et un savoir-faire acquis par une expérience professionnelle préalable.

La dynamique des groupes restreints : Didier Anzieu et Jacques-Yves Martin

La dynamique des groupes restreints : Didier Anzieu et Jacques-Yves Martin

Les auteurs font état de cinq catégories fondamentales de groupes. La première catégorie de groupe est la foule : il s'agit d'un grand nombre d'individus qui se retrouvent au même endroit sans avoir clairement cherché à le faire, ils sont là d'après une motivation personnelle (concert, concours, etc.). Puis il y a la bande : ce sont des personnes réunies volontairement, pour le plaisir d'être ensemble.

Le groupement : il s'agit d'individus qui se réunissent à une certaine fréquence avec un objectif permanent. Le groupe primaire ou groupe restreint : petit nombre de membres qui possèdent de nombreux échanges, des relations affectives, des sentiments, des normes, des rôles différents et une poursuite d'objectifs communs. Puis, il y a le groupe secondaire : on l'appelle aussi organisation, il s'agit d'un système social dont les rapports entre les membres sont froids et formels. De manière générale, il faut au moins trois individus pour former un groupe.

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Documents associés

La Terre en héritage - PELT Jean-Marie

Il s’agit d’un essai écologique c’est-à-dire d’une réflexion menée sur l’état actuel de notre planète, réflexion qui ne vise pas à l’exhaustivité mais tente plutôt d’amener pour le lecteur des pistes de questionnement et de mettre en place quelques éléments de réponses.

Cette réflexion prend parfois des allures de roman (pages 11 à 13 ; p 15) avec des descriptions à l’imparfait et des passages narratifs. L’objectif de ces passages « romancés » est ici de capter l’attention du lecteur qui pourrait parfois être rebuté par le côté trop essayiste, ou perçu comme tel, de cette réflexion.

Comme nous venons de le signaler c’est l’écologie, c’est-à-dire un mouvement visant à instaurer un meilleur équilibre entre l’homme et son environnement naturel ainsi qu’à la protection de celui-ci, qui constitue le thème central de cet ouvrage.

Plus précisément, ainsi que le définit le titre, La Terre en héritage, c’est l’avenir de notre planète qui se trouve ici mis en question. La question centrale est alors de savoir quelle planète nous créons aujourd’hui (en l’occurrence au seuil du XXIème siècle) et quelle planète nous souhaitons laisser demain à nos descendants. Il s’agit donc d’une démarche à la fois synchronique et diachronique.

Par ailleurs, cet ouvrage ne se contente pas de poser des questions à l’écocitoyen qui sommeille dans chaque lecteur mais il tente aussi de répondre à la question suivante : comment faire, quelles solutions peut-on d’ores et déjà mettre en œuvre pour protéger notre planète maintenant que nous avons pris conscience du danger ? Il propose ainsi de nouveaux thèmes de réflexion et d’action qui permettraient, tant sur le plan individuel que politique, la mise en place d’un courant de réformes en vue de protéger l’homme, la nature et la vie sous toutes ses formes.

La résilience, ou comment renaître de sa souffrance: Boris Cyrulnik et Claude Seron

La résilience, ou comment renaître de sa souffrance est un livre écrit sous la direction de Boris Cyrulnik et Claude Seron. Ils ont recueilli les travaux de plusieurs auteurs traitant de la résilience et partageant leurs expériences cliniques. Ce livre témoignage a été édité en 2003 aux éditions Fabert, dans la collection Penser le monde de l’enfant, collection dirigée par Jean-Paul Mugnier, thérapeute familial et de couple. Il est à l’intention des éducateurs et des praticiens, mais également de quiconque veut « renaître de sa souffrance ».

Des atouts pour une pédagogie en situation : François Hébert

Dans son livre, François Hébert nous dit que le travail de l’éducateur spécialisé est complexe et qu’il faut sans cesse répondre aux demandes des usagers. Parfois dans l’impossibilité d’y répondre et incapable d’anticiper les comportements et les réactions des publics accompagnés, l’éducateur doit s’appuyer sur « des petites astuces », « des bricolages » pour entrer en relation avec ce dernier. Sans cesse s’adapter à la situation rencontrée et innover au risque de ne pas y arriver mais d’avoir une piste dans laquelle retravailler et approfondir la prochaine fois.

L’éducateur doit être créatif, la situation singulière ne pourra pas être généralisé et nécessitera un renouvellement permanent. Car ce qui fonctionne à un moment ne sera peut-être pas efficace la fois suivante. Le métier d’éducateur spécialisé constitue la mise en œuvre de savoir-faire adaptée à chaque situation.

Dans ce livre, l’auteur propose des petites astuces pour appréhender les publics afin de déclencher une relation éducative. Tous les éducateurs durant leur parcours ont rencontré ces situations et ont trouvé des « petit rien » pour débloquer la situation mais ils n’ont pas partagé l’acte éducatif avec ses pairs et c’est ce que fait François Hébert dans cet ouvrage ; un partage de savoir être et de savoir-faire.

 Il présente une série de stratégies à mettre en œuvre pour contourner les difficultés rencontrées. Dans le livre trois séries sont expliquées, il préconise de sortir du tête à tête en utilisant les ressources extérieures comme par exemple s’intéresser au milieu familial, à la culture, puis utiliser les médiations tels les ateliers, le jeu ou l’imaginaire et enfin sur la rencontre directe par l’écoute active, la reformulation positive ou le contrat.,

Un merveilleux malheur - Boris Cyrulnik

A travers les premières lignes de son introduction, l’auteur tente de nous mettre en garde sur l’éventuel interprétation de son titre : « il ne s’agit pas du tout de ce que vous croyez. Aucun malheur n’est merveilleux ». On s’émerveille de découvrir très vite, effectivement, qu’il parvient à nous démontrer que des enfants arrivent à surmonter les épreuves avec ce sentiment d’espoir et triomphent aux souffrances et aux agressions des péripéties du malheur. Il introduit dans son ouvrage deux concepts fondamentalement essentiels à l’explication de sa théorie. Ces deux mots étrange nous dit-il : « organiseront la manière d’observer et de comprendre le mystère de ceux qui s’en sont sortis et qui, devenus adultes, se retournent sur les cicatrices de leur passé. »

Deux mots qui nous accompagnerons tout au long de cette lecture et avec lesquelles nous nous familiariserons : - Résilience : « capacité à réussir, à vivre et à se développer positivement, de manière socialement acceptable, en dépit du stress ou d’une adversité qui comportent normalement le risque grave d’une issue négative » - Oxymoron : « figure de rhétorique qui consiste à associer deux termes antinomiques » ex : obscure clarté. Différentes recherches, sur des ouvrages traitant sur le thème de la misère enfantine, tels que ; Sans famille ; Poil de carotte ; Tarzan ; La Cité de la joie ; etc. nous rappel le même cheminement archétypique quant au Récit d’enfance de Maxime Gorki, à savoir : acte I / La désolation : Enfance vagabonde (1913-1914) ; acte II / La réparation : En gagnant mon pain (1915-1916) ; acte III / Le triomphe : Mes universités (1923).

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