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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Le relais parents assistantes maternelle ou la mission d'accueillir et d'accompagner le parent

Le relais parents assistantes maternelle ou la mission d'accueillir et d'accompagner le parent

L’aménagement, la réduction du temps de travail et la flexibilité de l’emploi ont profondément bouleversé le monde du travail, et par conséquent la demande en matière d’accueil du jeune enfant, dans la diversité des situations et des besoins d’accueil. Et la question du mode de garde se pose souvent pour les parents bien avant la naissance et parfois même dès les premiers mois de grossesse de la maman, particulièrement dans les régions victimes d’une pénurie de modes d’accueil du jeune enfant. Je pense à une maman venue prendre contact avec le relais parents-assistantes maternelles qui m’a accueilli pour ce stage long : Enceinte de trois mois, son entourage lui conseillait avec insistance de se dépêcher à rechercher un mode d’accueil pour son enfant.

Quelque peu interpellée, elle arrive à nous avec ses inquiétudes et nous confie qu’elle n’a pas encore pensé quel mode d’accueil elle souhaitait pour son enfant, et que tout cela lui semblait si lointain que d’y penser déjà suscitait chez elle une « petite » angoisse, nous disait-elle. « Je suis juste enceinte, et il faut déjà que je pense à confier mon enfant, c’est difficile ! ». Se séparer de son enfant, le confier à d’autres, le « partager » avec d’autres n’est pas chose facile et peut susciter angoisse, culpabilité, rivalité, impression d’abandonner. Tous ces sentiments sont plus où moins présents chez les parents. Au cœur de l’accueil du jeune enfant, l’éducateur de jeunes enfants, et plus généralement tous les professionnels de la petite enfance, se doivent d’envisager une réflexion sur comment accueillir le parent en structure d’accueil. Cette question de l’accueil et parfois de l’accompagnement du parent s’est souvent posée à moi au cours de la formation : quelle ouverture fait-on aux parents dans les structures, que leur offre-t-on ? mais aussi, pourquoi et comment travailler cette ouverture ? Au regard de mes différents stages et de la conjoncture actuelle, j’ai eu l’occasion de constater combien cette question de l’accueil du parent était inégalement travaillée.

Pourtant, il me semble capital que cet accueil soit pensé car envisager l’accueil d’un enfant ne peut se faire sans passer par l’accueil du parent. Mon stage long, réalisé au sein d’un relais parents-assistantes maternelles, m’a permis de me centrer sur cette question ou comment accueillir et accompagner le parent. Cette mission du relais se pose dans l’objectif d’offrir un accueil pour l’enfant dans les meilleures conditions possibles, et en particulier au domicile des assistantes maternelles. Se donner un telle mission pour une structure amène à penser cet accueil et cet accompagnement du parent dans la dimension de la relation éducative, et c’est sur cet aspect que je choisis d’orienter mon mémoire. Dans un premier temps, il sera question de présenter en détail cette structure afin de mieux comprendre sa particularité qui est de se vouloir ouverte aux parents. Puis, nous nous attarderons plus spécifiquement sur l’accueil du parent, la notion même d’accueil et la question de la parentalité, ainsi que les enjeux de cette ouverture aux parents dans la dimension éducative.

Enfin, au delà de l’accueil, la rencontre avec le parent fait souvent l’objet d’un accompagnement et le relais se positionne alors comme un véritable lieu d’écoute et d’échange. Comment devient-on parent ? Qu’est-ce qu’être mère, être père ? Autant de questions qui méritent d’être abordées et étudiées pour mener à bien une action auprès des parents que l’on accueille. Dans une troisième partie, nous aborderons précisément cet accompagnement en essayant de le définir et nous nous arrêterons sur la façon dont il s’opère. Pour finir nous étudierons la manière dont il est travaillé en équipe au sein de cette structure et quelles perspectives peuvent être envisagées plus généralement par rapport à l’accueil du parent en structure petite enfance. Au delà d’un relais assistantes maternelles, j’ai effectué ce stage dans une structure qui, à sa création, a choisi d’inclure le parent dans son fonctionnement. C’est de cette volonté que la structure a pris le nom de relais parents-assistantes maternelles, et c’est bien sur cette particularité que je souhaite travailler dans ce mémoire.

Conclusion

Je suis partie pour ce mémoire de la particularité de la structure dans laquelle j’ai réalisé mon stage long, dit à responsabilité éducative, pour m’interroger sur l’ouverture que l’on fait aux parents dans les structures petite enfance ? Que leur offre-t-on ? Pourquoi et comment travailler cette ouverture aux parents ? Au regard de mon vécu au relais parents-assistantes maternelles, nous avons pu mettre en lumière les différents points d’un projet autour de l’accueil et de l’accompagnement du parent. Rapidement, il s’est révélé qu’un tel projet se pense et se construit. Accueillir le parent, c’est d’abord penser l’espace et le temps en donnant une place toute privilégiée à l’écoute. Pour ce qui est de l’accompagnement, chaque parent est unique, chaque situation rencontrée l’est aussi. Les appuis théoriques nous aident à la compréhension des situations mais ne donnent évidemment pas d’emblée la bonne intervention à construire pour l’éducateur avec le parent, avec et pour l’enfant.

C’est donc un travail qui demande un ajustement permanent pour mener une action cohérente avec comme appui les outils que nous apporte l’étude du concept de parentalité, mais aussi les atouts d’une équipe et d’un partenariat avec les autres professionnels travaillant dans le champ de la petite enfance. Des auteurs comme D. HOUZEL, D.W. WINNICOTT, et bien d’autres, sont venus complétés l’approche du concept de parentalité et de ce qui se joue lorsque l’on devient parent. Ils ont certainement contribué à ce que la profession ait une conception plus juste de la fonction parentale et de la notion de compétence. Ce mémoire m’a permis d’approfondir une réflexion autour de la question du parent au cœur de la pratique professionnelle de l’éducateur de jeunes enfants et ainsi d’envisager des perspectives de travail sur ce point. Je pense, par exemple, à ce que peut apporter l’analyse de la pratique professionnelle en terme de partage et d’analyse d’expériences de terrain, ou encore, sur un autre versant, le travail d’équipe en structure autour d’un projet d’ouverture aux parents que ce soit en terme d’ateliers parents-enfants, ou d’action d’accueil et d’accompagnement. L’accueil et l’accompagnement du parent font partie des aspects de la profession qui me tiennent à cœur. Les parents, en difficulté ou non, font l’objet d’une grande attention et sont, on ne peut le nier, au cœur de nombreux débats portant sur la politique sociale, familiale et l’éducation.

Je pense notamment à la circulaire concernant les réseaux d’aide et d’accompagnement à la parentalité parue en 1998, à leur inclusion dans le décret d’août 2000 relatif aux établissements d’accueil de la petite enfance, ou encore, plus récemment, à la Conférence de la famille d’avril 2003 qui envisage de nouvelles dispositions pour mieux répondre aux besoins des familles. Dans le champ de la petite enfance, ils s’inscrivent dans la plupart des projets des structures avec une place plus ou moins importante. Cette considération semble justifiée dans le sens où accueillir l’enfant ne peut se faire sans penser l’accueil de son parent. On s’accorde tous pour dire qu’il est impossible d’exclure le parent de l’accueil de l’enfant. « Un bébé seul, ça n’existe pas » soulignait WINNICOTT. Cette formule résume toute l’importance et le rôle fondamental de la personne qui donne les soins dans le développement de l’enfant. La question qui s’impose alors est de s’interroger sur quelle prise en compte du parent ? En effet, dans cette relation, il ne faut pas oublier l’enfant.

Le parent a des effets sur l’enfant mais l’enfant agit aussi sur son parent. Notons qu’ici au relais, la relation avec le parent a cela de particulier qu’elle s’effectue souvent avant même la naissance de l’enfant. Le contexte actuel de l’accueil du jeune enfant nous amène à mener une intervention précoce auprès du parent qui, comme nous avons pu le voir, se pose comme une préparation à l’accueil. Finalement, il ne semble pas déplacer pour le cas du relais parents-assistantes maternelles, de parler d’une action de prévention des échecs d’accueil, à travers l’information et l’orientation vers le choix d’un mode d’accueil. Du côté de l’accompagnement, c’est un travail très en finesse qui doit s’opérer avec la prise en considération de la singularité du parent et du respect de ses valeurs. Il ne faut pas perdre de vue que l’accompagnement a ses limites, limites de la structure, de l’équipe, limites personnelles. Celles-ci ne sont pas à envisager comme des obstacles à la pratique mais doivent plutôt s’inscrire dans une dynamique professionnelle où le relais et le partenariat avec les autres professionnels et institutions ont toute leur place. Bien que les projets des structures évoluent de plus en plus vers une action auprès des parents, il me semble indispensable que cette action soit menée pour l’intérêt de l’enfant et pour son bien-être dans le contexte de l’accueil.

Certains parents ont besoin plus que d’autres de se rassurer quand la séparation se fait proche, les accompagner dans cette étape peut être un élément important pour qu’ils vivent au mieux ce moment, et que l’enfant lui aussi se sente en confiance. WINNICOTT disait : « l’enfant se voit dans les yeux de sa mère en train de le regarder ». Je serais tenter d’ajouter dans les yeux de ses parents en train de le regarder. Il soulignait le rôle de miroir qui s’installe entre les parents et leur enfant. Ce n’est que dans un climat de confiance des deux parties que l’accueil pourra se faire sereinement. Pour cette raison que la place de l’éducateur de jeunes enfants se trouve aussi auprès du parent, dans l’intérêt de l’enfant et de la vie familiale.

Catégorie: Mémoire Educateur de jeunes enfants
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L'hôpital c'est dur pour moi... comme pour mes parents

Ce mémoire se base sur mon expérience lors du stage à responsabilité éducative dans un service pédiatrique d’un hôpital public de l’APHP (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris). Ce service accueillait, normalement, des enfants de 0 à 15 ans et 3 mois mais, afin de permettre une continuité des soins, il pouvait y être accueilli des jeunes jusqu’à 21 ans environ. Il reçoit tous types de maladies allant de maladies bénignes comme la gastro-entérite ou l’angine à des maladies plus graves telles que le cancer ou le sida (cf Annexe III : glossaire). Il s’y présente donc un grand échantillon d’âges et de maladies. Les enfants sont installés dans des chambres individuelles ou de deux personnes. Dans ce service, les parents peuvent rester auprès de leur enfant jour et nuit et les visites n’ont pas d’heure limite afin de favoriser la présence des parents auprès des enfants.

L’hôpital m’intéressait car il est un lieu de séparation difficile, stressant, entaché de nombreuses représentations. L’éducatrice de jeunes enfants, du fait de sa formation, y a donc un rôle important durant le séjour de l’enfant. Je voulais pouvoir appréhender comment l’enfant, ainsi que ses parents vivent ou "survivent" dans ce lieu, comment, l’éducatrice de jeunes enfants peut aider à rendre moins difficile ce moment de séparation . Durant cette expérience j’ai pu me rendre compte que, quel que soit l’âge que l’on a, l’hôpital n’est pas toujours agréable à vivre. L’hospitalisation se fait la plupart du temps parce que la personne est souffrante et amène obligatoirement une séparation d’avec le milieu familial ; « (c’) est toujours vécu comme une expérience stressante et pénible » . On peut donc facilement comprendre que celle-ci ne soit pas facile à vivre pour le jeune enfant tout comme pour ses parents.

Effectivement, il n’est pas facile pour les parents et les enfants de se séparer ou tout du moins de se retrouver dans un lieu inconnu, étranger ; d’autant moins que la maladie est présente et que cette séparation se fait pour le bien de l’enfant, afin que celui-ci guérisse. De plus si cette séparation physique d’avec les parents est obligatoire, elle peut être la première séparation survenant entre l’enfant et ses parents. Il n’est pas simple de se séparer des personnes avec qui l’on a des relations privilégiées, des premières relations que l’on a créées avec le monde extérieur qui peut être vécu comme violent pour l’enfant, des adultes qui les sécurisent et leurs servent de repères. Cependant, de plus en plus d’hôpitaux s’ouvrent à la famille et permettent aux parents d’être présents tout au long de l’hospitalisation de leur enfant, tout comme le lieu où j’ai réalisé mon stage. Mais ces parents peuvent se retrouver gênants pour l’équipe ou tout du moins en avoir l’impression, de ce fait, le dialogue entre les professionnels et les parents peut alors devenir difficile puisqu’un stress persiste des deux côtés. Il n’est pas simple pour un parent comme pour un enfant d’être en relation avec autrui s’il ne se sent pas en totale sécurité, s’il craint ce qui peut se passer. Parler n’est pas facile ! Or la relation parents-enfant est quelque chose de structurant, de fort et de nécessaire pour le développement de l’enfant. 

"Allô Maman, bobo" ou l'EJE face à la souffrance des jeunes enfants hospitalisés et de ses proches

J’ai donc effectué mon stage long à responsabilité éducative dans un hôpital de rééducation de la région parisienne. J’étais plus particulièrement dans le service de rééducation traumatologique et orthopédique infantile qui a une capacité d’accueil de 30 enfants en internat et de 15 enfants en hôpital de jour. Les enfants qui y sont hospitalisés ont entre 0 et 17 ans et nécessitent une rééducation après un traumatisme ou une chirurgie orthopédique. Ce service est également le lieu de suivi d’enfants atteints de malformation congénitale des membres, d’une pathologie osseuse congénitale ou acquise mais encore d’affections neuro-orthopédiques. La durée des hospitalisations va en moyenne de 3 mois à 1 an, parfois beaucoup plus.

Les enfants sont pris en charge par l’équipe soignante (médecins, infirmiers, auxiliaires de puériculture, aides soignants), par l’équipe de rééducation (kinésithérapeutes, ergothérapeutes, psychomotriciens, orthophonistes), par l’équipe éducative (deux éducateurs spécialisés, une éducatrice de jeunes enfants, une monitrice éducatrice et un animateur), et enfin par les psychologues, l’assistante sociale, et le personnel de service. La journée, les enfants sont scolarisés dans l’école qui se trouve au sein du service, exceptés ceux qui sont trop jeunes ou qui sont porteurs d’un handicap mental important ne permettant pas leur insertion dans une classe (ceux-ci restent donc dans le jardin d’enfants). Le reste du temps, les enfants peuvent aller au jardin d’enfants (la salle des « petits ») ou dans la salle d’ordinateurs (la salle des « grands »), en dehors des soins et des séances de rééducation.

Pour une cohérence éducative: le partenariat entre parents et professionnels

En tant qu’éducatrice de jeunes enfants, mon intervention se fait à différents niveaux : pédagogique, éducatif, administratif, organisationnel ; et aussi en fonction des personnes rencontrées : l’enfant, les parents, l’équipe professionnelle (qui peut être pluridisciplinaire selon les lieux) et les différents partenaires (collectivités territoriales, commerces, espaces culturels…). Pour mon mémoire, j’ai voulu centrer mes recherches sur la famille car mon identité professionnelle est basée sur les relations au sein de la triade enfants / parents / professionnels. En effet, pour moi, l’enfant ne peut être accueilli seul : sa famille constitue son principal repère (surtout dans son enfance). Je pense qu’il ne peut y avoir de rupture entre les deux principaux lieux de vie de l’enfant. Les relations parents / professionnels sont positives dans le sens où les échanges vont permettre à l’équipe d’adapter sa pratique et ses positionnements vis à vis de l’enfant. Cependant, il faut préciser que toute relation peut conduire à des situations conflictuelles, difficiles à gérer.

Ainsi, il est essentiel pour moi de définir ce que représente la famille, notamment dans ce qu’elle apporte à l’enfant. Avant d’aborder la question des fonctions de la famille, il est important de définir ce terme, car il englobe diverses acceptions : Tout d’abord, la famille est un ensemble de personnes formé par le père, la mère et les enfants, c’est aussi l’ensemble de toutes les personnes ayant un lien de parenté par le sang ou par alliance (c’est à dire, une succession d’individus qui descendent les uns des autres, de génération en génération). Enfin, la famille peut également être l’ensemble des enfants issus d’un mariage. En analysant ces données, je remarque que c’est l’enfant qui définit la famille : il peut alors y avoir famille sans couple (famille monoparentale, par exemple) et couple sans famille, donc sans enfant(s). La notion de descendance a alors une valeur très forte. Nous sommes actuellement dans un contexte de mutations sociales, avec l’apparition de nouvelles structures familiales (familles monoparentales, recomposées, homoparentales…) qui conduisent à une centration sur l’enfant : les parents veulent ce qu’il y a de mieux pour leur enfant et sont prêts à en avoir moins pour y parvenir.

De plus, cela est aussi accentué par la multiplication d’ouvrages à visée éducative, destinés aux parents désireux d’acquérir des connaissances. Dans cette optique, la famille constituerait selon moi, une institution du fait de son caractère durable : par exemple, dans le cas où deux personnes qui un enfant divorcent, on peut dire que le couple conjugal est désormais dissout, par contre le couple parental continue d’exister en raison de la présence de l’enfant. La famille semble avoir pour fonction de répondre à une série de besoins (protection, sécurité physique et affective, alimentation, sommeil, hygiène et santé) et de relations essentielles pour le devenir de l’enfant et de son développement psychique. Ainsi la relation parents / enfants reste le noyau principal de la constitution de la personnalité de l’enfant. De plus, la famille est le premier lieu social où vit l’enfant : c’est le premier relais entre celui-ci et son environnement. L’enfant se socialise par le biais des relations avec son proche entourage (c’est une socialisation intra-familiale ou primaire).

Des repères pour ne pas se perdre

C’est en maison d’enfants que s’est forgé mon désir de devenir éducatrice de jeunes enfants. En effet, je m’étais informée sur le public accueilli dans ce genre de structure, sur ses besoins, sur le travail des éducateurs… auprès de professionnels et de stagiaires avant et pendant ma formation. Peu à peu grâce à ces nombreux échanges j’ai pu me faire une idée assez juste des maisons d’enfants et j’ai donc souhaité faire ma propre expérience.

Mon projet de formation s’est alors construit autour de ce désir d’effectuer mon stage à responsabilité éducative dans la structure qui me donnait envie d’évoluer en tant qu’éducatrice et d’y faire des projets. Les autres stages effectués au cours de ma formation et mes expériences passées m’ont donné la possibilité d’étudier des comportements d’enfants sains, en crèche familiale et en halte-garderie. Leurs observations répétées m’ont permis d’analyser le besoin de stabilité et de sentiment de sécurité des enfants pour évoluer et se développer sereinement et solidement dans la vie. Cette stabilité et cette sécurité est apportée par un certains nombres de choses : les repères.

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