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Aide médico-psychologique

L'aide médico-psychologique (AMP) ou accompagnant éducatif et social ( AES) intervient auprès de personnes jeunes ou adultes ayant un handicap physique ou mental important. Il peut s'occuper de personnes âgées dépendantes. Il les accompagne dans tous les actes de la vie quotidienne.

Rapport de stage Aide médico-psychologique

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J’ai choisi de travailler sur le thème du coucher que j’appelle l’entrée dans la nuit, ce moment précède le sommeil qui est un besoin fondamental pour l’Homme. Le choix de ce thème n’est pas un hasard, c’est un moment que j’apprécie, c’est un instant de détente où mes muscles se relâchent. J’aime bien ce temps calme de ma journée.

En ce qui concerne ma future profession d’AMP, l’entrée dans la nuit est, à mon sens, une partie très importante de la journée des personnes que l’on accompagne. En effet, c’est à ce moment-là que l’institution peut prendre une dimension psychoaffective proche de celle du cadre familial.

La population reçue sur le foyer d’hébergement suivant la classification internationale de Wood présente plusieurs types de déficiences intellectuelles*, sensorielles et/ou motrices. On parle alors de pluri handicaps, de multi handicaps. Les valeurs portées du Foyer d’hébergement dans le respect des valeurs de l’association sont le respect, l’écoute, le partage, l’empathie, le bien-être et la qualité de vie.

De par mon observation, j’ai voulu proposer une activité qui s’inscrive dans le respect de leur projet individualisé afin de les rendre acteurs, de les valoriser et de travailler sur la notion de partage.

En utilisant les principes ergonomiques, je la transfert du lit au fauteuil roulant en la faisant participer avec ses bras et ses jambes. Mme Jeannette a pour habitudes de se maintenir avec de l'aide pour se relever, elle tient debout parfois avec difficulté mais reste très volontaire. Je la conduis au wc, dans le même principe, je lui retire et jette la protection anatomique souillée dans le sac à élimination des déchets.

Présentation du temps clé et de la personne choisie : Mon choix s'est porté sur le temps du repas pour présenter mon accompagnement et aide individualisée dans les actes de la vie quotidienne. Il est important de définir la notion du quotidien. C'est une succession d’actes, certes répétées, qui rythme la journée et qui servent de repères pour les personnes fragilisées par leurs pathologies.

La notion de « temps » est compliquée voire impossible pour les personnes que j'accompagne et les temps clés du quotidien, comme le repas que je vais présenter, constituent des repères rassurants et indispensables. Le temps du repas est un moment privilégié qui revient de manière répétitive dans la relation. C'est un support important en tant que futur AMP. 

Sur mon lieu d'apprentissage, j'utilise quotidiennement le courant comportementaliste, théorisé par Skinner (1904-1990), sur un public d'enfants autistes. Cette méthode d'apprentissage consiste à stimuler, créer et renforcer des comportements observables appropriés.

Cependant, lors des échanges des savoirs, j'ai opté pour les méthodes actuelles qui sont axées sur la pédagogie du projet, différenciée et par objectifs. Les approches théoriques et pratiques sur la pédagogie m'ont aidé à me rendre compte que nous l'utilisons quotidiennement dans notre pratique professionnelle.

L’accompagnement dans les actes de la vie quotidienne ne constitue pas le seul domaine du travail d'AMP mais n'en reste pas moins l'une des spécificités. Le rôle de l'AMP va alors être de garantir à la personne malgré les soins, malgré les contingences liées à la pathologie et au handicap une continuité dans la vie quotidienne, une reconnaissance en tant qu'être avec des différences de caractère, d'idéal, de sensibilité et de projet, cela va mobiliser chez le professionnel une qualité d'écoute, de communication, d'observer, d'analyser et se remettre en question en permanence.

Ce sont des actes que nous répétons chaque jour, mais qui ne sont pas routiniers. Le temps, l'humeur, l'envie sont autant de facteurs qui font que, chaque jour la toilette, les soins se passent différemment mais conservent leur but c'est à dire faire en sorte que la personne se sentent bien dans son corps. Il faut laisser le temps au temps, savoir se poser, être avec eux. Ne pas être dans la certitude, l'affirmation.

Ce travail m’a démontré qu’un projet individualisé est composé de données simples et applicables, qui ont pour but d’aider la personne à s’intégrer dans l’établissement et de s’y épanouir. En tant qu’AMP, j’ai appris qu’il fallait sans cesse prendre du recul pour comprendre pourquoi une activité ou une situation pouvait mettre en échec un résident, et que surtout, le travail d’équipe est nécessaire pour accompagner une personne dans de bonnes conditions.

Les réunions comme l’analyse de la pratique m’ont permis de voir comment en équipe, on peut réajuster un accompagnement pour ne pas être en échec mutuel. Mon travail avec l’équipe pluridisciplinaire m’a permis d’assurer la pérennité de cette activité pour Marion. 

Lors de l’accompagnement de Sylvianne je me suis aperçu que bien que très intéressant et enrichissant il était très éprouvant de s’occuper d’une personne psychotique au quotidien, d’où l’importance du travail en équipe pour pouvoir passer le relais si le besoin s’en fait sentir.

Ma plus grand difficulté dans l’accompagnement de Sylvianne a été le fait qu’elle soit en demande de relation exclusive ; au début j’accourrai a chacune de ses demandes et puis l’équipe m’a mis en garde sur le fait que je devais aussi me protéger, ne pas me laisser envahir et mettre de la distance entre elle et moi dans mon intérêt comme dans le sien ; ils m’ont conseillé le retrait d attention : c'est-à-dire occulter les sollicitations et appels incessants de Sylvianne afin de ne pas privilégier une relation fusionnelle et ainsi un risque de surinvestissement de ma part et un «accrochage» affectif trop prononcé de la sienne, mais savoir à d’autres moments quand elle est moins angoissée savoir être attentive et réceptive à ses demandes. 

Le moment clé que j’ai choisi est l’accompagnement de Jean- louis*. Il a était accueilli dans l’institution en 2007, auparavant ce sont ses parents qui s’occuper de lui à leur domicile. Sa pathologie est une psychose infantile. Dans un 1er temps j’apporterai mon aide individualisée à Jean-Louis*afin qu’il prenne son bain. Ensuite, je l’accompagnerai à faire le ménage éducatif de sa chambre. Le ménage éducatif a lieu pour chaque résident selon un protocole établi, une fois tous les 15 jours semaine paire ou impaire.

C’est un moment où j’accompagne le résident au nettoyage de sa chambre plus approfondi (poussière, nettoyage du miroir,..) mais aussi à passer un moment agréable pendant lequel je peux échanger avec Jean-Louis afin d’instaurer une relation privilégiée. Jean-Louis est âgé de 51 ans et sa pathologie est une psychose infantile. C’est un résident qui demande un accompagnement tout au long de la journée. J

À travers cet écrit, j’ai pu découvrir chaque jour un peu plus mon futur rôle d’AMP. Lors de mon stage de 12 semaines en E.H.P.A.D, j’ai découvert un milieu inconnu pour moi, car je n’avais aucune expérience dans le métier du soin et de l’accompagnement de la personne âgée. J’ai été très agréablement surprise de mon stage au niveau professionnel et personnel.

Même si ce stage n’était pas facile, j’ai beaucoup aimé, malgré mes appréhensions. Cela m’a permis de découvrir la façon dont les résidents vivent en maison de retraite. Dans le service ou j’’ai travaillé, j’ai pu créer un lien de confiance et de communication avec les résidents mais surtout avec Mr V, Mme R, Mme C car j’ai pu les accompagner dans leurs besoins, leurs capacités, leurs difficultés et leurs désirs.

Mon intervention se passe dans un foyer de vie où j’ai eu l’opportunité de réaliser un de mes deux stages. Il est situé en zone rurale proche d’une ville de taille moyenne. Le foyer accueille 52 personnes handicapées mentales en internat et 2 en externat. Les admissions se réalisent sur orientation de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH), selon le dispositif mis en place par la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Le public résidant est composé de personnes ne pouvant exercer une activité professionnelle mais dont l’état ne justifie pas un placement en Maison d’Accueil Spécialisé (MAS), ni en Foyer d’Accueil Médicalisé (FAM). Le projet éducatif de l’établissement tend, en concertation avec les parents ou familles, « à développer ou maintenir les acquis, l’autonomie, la maturation des processus intellectuels, l’épanouissement et le bien être des résidants ». Dans ce but il développe des actions d’animation, de soutien médico-éducatif et des activités d’initiation professionnelle. Les personnes accueillies sont réparties en quatre groupes de 12 ou 13 résidents se réunissant dans un lieu de vie propre pour les temps d’activité. Tous les repas sont pris en commun. Le travail de mise en œuvre des objectifs qui a été fait durant mon stage n’a été qu’une amorce ; il va être poursuivi par l’équipe en place pendant l’année à venir. Ainsi une évaluation et les réajustements nécessaires seront réalisés lors de la prochaine révision du projet personnalisé de Mr B. J’ai pu déterminer l’importance d’outils institutionnels tels que le projet personnalisé qui constitue un cadre nécessaire pour un accompagnement optimal des bénéficiaires et cela en permettant la concertation et la coordination des différents membres du personnel d’un établissement. Ce travail a été pour moi une expérience très formatrice. Je me suis, en effet, pleinement trouvé en posture professionnelle, dans l’élaboration, la rédaction, la mise en œuvre et la présentation du projet personnalisé à l’équipe pluridisciplinaire.
Les résidents accueillis au Foyer d’Accueil Médicalisé de Noyal-Chatillon sur seiche présentent une dépendance motrice et intellectuelle, des possibilités de communication très limitées et une vulnérabilité. L’origine de ces atteintes cérébrales est souvent précoce, au premiers mois de la vie. Le public est assez jeune, la moyenne d’âge est d’environ 30 ans. Le plus jeune a 20 ans et le doyen a 55 ans. La répartition hommes/femmes est équilibrée. Il y a 14 femmes et 21 hommes. Tous les domiciles familiaux se trouvent en Ille et Vilaine. Les liens familiaux sont réguliers malgré une diminution des retours depuis l’ouverture. Les résidents relèvent tous d’une mesure de protection de tutelle mise à part un résident qui sous curatelle renforcée. Plusieurs difficultés sont présentes chez les personnes accueillies au sein du foyer. - Des troubles de la déglutition et des troubles digestifs exigent un accompagnement spécifique pendant l’alimentation et l’hydratation. - Des troubles épileptiques - Une attention à l’habillage due aux déformations et rétractation orthopédiques, aux gestes incontrôlés. - L’élimination peut demander du temps et parfois des soins adaptés. - Beaucoup de personnes n’ont pas accès au langage, seule quelques unes ont un début de langage ou quelques mots compréhensibles. - Pour les déplacements en intérieur, 1/3 n’ont pas de mobilité indépendante. Les autres peuvent marcher seuls ou accompagnés, certains se déplacent en fauteuil roulant électrique ou en fauteuil roulant manuel.

- Pour ce qui est des déplacements en extérieur, ils nécessitent un accompagnement « 1 pour 1 ». Le temps est le besoin le plus important de ces personnes atteintes de polyhandicap. 4. Les grands axes du projet d’établissement - La dignité Reconnaître une personne en tant qu’être humain, adulte, sexué, d’une génération, d’un milieu social. - L’éducation Proposer des apprentissages cognitifs, sociaux. - Prendre soin : « care » et « cure » Ce sont autant les actes quotidiens pour prendre soin, soulager (care en anglais) que de dispenser des soins (cure en anglais). - L’insertion, l’inclusion Intégrer le nouveau résident et sa famille, avoir des échanges satisfaisants avec l’environnement social. - La place des familles Respecter la place unique qu’a la famille dans la connaissance du résident, dans ses relations affectives, prendre en compte le plus possible ses attentes. - La personnalisation Prendre en compte la personnalité, l’histoire, les goûts du résident. - La liberté d’aller et venir et la sécurité Les quelques résidents en mesure de se déplacer de façon indépendante peuvent généralement circuler librement. Cette liberté de circulation a, de fait, une limite très stricte. Aucun résident actuellement présent ne peut sortir du foyer sans accompagnement, en raison du risque de mise en danger estimé. Très régulièrement des paradoxes se posent du fait de l’extrême dépendance et des difficultés de communication des adultes accueillis pour prendre en compte leur statut, leurs droits, leur sécurité, leur liberté.

J’effectue mon stage au sein d’un institut médico-éducatif. L’internat dans lequel j’effectue mon stage se nomme « unité mature ». Il accueille 12 adolescents et préadolescents atteints de déficiences intellectuelles légères et de troubles du comportement. J’interviens dans ce cadre en accompagnant et en participant avec les enfants au service et au repas du soir.

Je mange avec eux afin de préserver la cohésion du repas mais aussi pour avoir un rôle de valorisation, de soutien, et d’encouragement. De plus, cette présence me permet d’être le médiateur et ainsi d’éviter ou de désamorcer des situations difficile voir conflictuelle. Mes objectifs d’interventions durant le repas du soir sont multiples à savoir : De permettre aux résidents d’associer le moment du repas à la notion de plaisir, d’échange et de découverte. Mais aussi de privilégier au maximum les tables de 2 à 4 personnes afin de permettre aux jeunes d’avoir un repas convivial. 

J’ai choisi de parler d’Hugo, un jeune homme de 19 ans, arrivé à l’IME (institut médico-éducatif) en septembre 2004, qui était accueilli auparavant dans un IME pour enfants de la région. Il est en accueil de jour, et rentre tous les soirs chez ses parents. Il est atteint d’un retard mental avec une infirmité motrice. Il est de taille moyenne et fin. Il a besoin de l’adulte pour sa toilette (il porte des protections) ainsi que pour les repas. Il aime manger, il boit seul, il lui faut un adulte à ses coté lors du repas pour lui remplir sa cuillère qu’il porte lui-même à sa bouche.

Il marche, se déplace seul mais pas trop longtemps et a besoin que l’on facilite ses déplacements pour éviter les chutes, par une information par la parole de ce qui est devant lui « fait attention, il y a quelque chose à tes pieds… ». Il dit quelque mot (merci, bravo…). Il est capable de répéter des sons, des intonations. Il communique par geste pour se faire comprendre (pousser son assiette, prendre son verre…). Il est capable de manifester son désaccord en criant, se giflant, se mordant la main. 

Mettre en place des temps de paroles réguliers en petits groupes est mon objectif. La base étant de partir des références par étage. J’ai choisi le temps du petit déjeuner car il permet de partager un moment convivial et de partage. La nourriture reste un moyen fédérateur qui peut être un support éducatif (équilibre des repas, découverte de nouveaux goûts, traditions et religions). La fréquence d’une fois par mois a été instaurée afin que ces temps ne deviennent une contrainte ni pour les travailleurs sociaux ni pour les résidents.

Cela représente environ 2 heures par étage par mois. Ils débuteront fin mai début juin. L’horaire de 9H du matin a été choisi, afin que les parents aient le temps de déposer leurs enfants scolarisés à l’école. Prévoir ce temps entre adultes permet d’être plus disponible et d’aborder tous les sujets. Chaque travailleur social choisira sa manière de communiquer sur ce projet dans son étage : affiches, passages dans les chambres, entretiens, invitations… Ces petits déjeuners se dérouleront dans les étages.

J’effectue mon stage dans un Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes qui accueille 72 résidents. Ces derniers sont accueillies en E.H.P.A.D pour différentes raisons : leur vieillissement qui entraînent une incapacité (ou un épuisement des aidants). Certaines personnes présentent un handicap lié à l’âge, comme la surdité, des problèmes d’incontinence, l’évolution d’une maladie (Alzheimer, Parkinson), suite à un accident qui a entraîné une perte d’autonomie. Certains sont autonomes et d’autres ont besoin d’un accompagnement pour les actes de la vie quotidienne. L’établissement compte 72 lits.

2 - Les grandes lignes du projet institutionnel : La mission de l’établissement et d’accompagner les personnes âgées dans les meilleures conditions, le plus longtemps possible. Permettre de préserver les liens familiaux et affectifs des personnes accueillies. Ainsi que maintenir le plus longtemps possible leur autonomie ou les capacités restantes des résidents et de veiller à leur bien-être. Les résidents jouissent d’une liberté totale, de recevoir, d’aller et venir. Respecter les convictions politiques et religieuses de chacun. En respect avec la loi du 2 Janvier 2002. 

Ce travail s’inscrit dans le cadre du domaine de formation 5 et porte sur le projet personnalisé d’une résidente que j’ai accompagnée lors de mon stage AMP dans une MAS (maison d’accueil spécialisé). Mais avant de présenter la structure et son fonctionnement, il me semble important de rappeler le cadre juridique et institutionnel qui préside à la mise en place d’un projet personnalisé. En effet, cet outil s’inscrit dans le cadre de la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale.

Le projet personnalisé vise à : - Faciliter la participation des personnes tout au long de la démarche du projet les concernant ; - Soutenir les professionnels dans leurs pratiques et les aider à mettre en œuvre ce droit des personnes à participer à leur projet ; - Interroger l’organisation des établissements pour favoriser la personnalisation de l’accueil et l’accompagnement. Le choix du terme de « projet Personnalisé » témoigne explicitement de la prise en compte des attentes, des besoins et des capacités des personnes accueillies. souvent en mesure d’aller vers les autres.

Ce travail s’inscrit dans le cadre du domaine de formation 5 et porte sur le projet personnalisé d’une résidente que j’ai accompagnée lors de mon stage AMP dans une MAS (maison d’accueil spécialisé). Mais avant de présenter la structure et son fonctionnement, il me semble important de rappeler le cadre juridique et institutionnel qui préside à la mise en place d’un projet personnalisé. En effet, cet outil s’inscrit dans le cadre de la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale.

Le projet personnalisé vise à : Faciliter la participation des personnes tout au long de la démarche du projet les concernant ; Soutenir les professionnels dans leurs pratiques et les aider à mettre en œuvre ce droit des personnes à participer à leur projet ; Interroger l’organisation des établissements pour favoriser la personnalisation de l’accueil et l’accompagnement. Le choix du terme de « projet Personnalisé » témoigne explicitement de la prise en compte des attentes, des besoins et des capacités des personnes accueillies. Le projet « personnalisé » ou « individualisé » permet d’inclure différents volets : éducatif, pédagogique, soins.

Avant mon entrée en formation Aide Médico Psychologique, j’ai effectué des missions d’intérim, en Institut Médico Educatif, Foyer occupationnel, et foyer de vie. J’ai également travaillé pendant deux ans en tant qu’auxiliaire de vie scolaire. Dans le cadre de ma formation AMP, j’ai décidé de découvrir le public accueilli en Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS). En effet, Le CHRS est habilité à accueillir 20 hommes, majeurs isolés sans hébergement et en grande difficulté sociale.

Les principales missions d’un CHRS sont d’accompagner les personnes dans l’insertion sociale et professionnelle, accueillir, orienter, et héberger les personnes les plus exclues afin de lutter contre l’exclusion. La formation AMP demande aux étudiants de réaliser un projet d’animation (DF3) au sein de leur stage. Je vais vous présenter l’élaboration et la mise en œuvre du projet d’animation, puis l’évaluation de celui-ci.

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