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Aide médico-psychologique

L'aide médico-psychologique (AMP) ou accompagnant éducatif et social ( AES) intervient auprès de personnes jeunes ou adultes ayant un handicap physique ou mental important. Il peut s'occuper de personnes âgées dépendantes. Il les accompagne dans tous les actes de la vie quotidienne.

Projet d’Activité : Soins Esthétiques

Projet d’Activité : Soins Esthétiques L’activité soins esthétiques se déroule tous les jeudis après midi de 13h30 à 15h30 au sein du groupe avec 4 jeunes . Il est important que cette activité se déroule dans une salle calme ou il n’y pas de passage car cette activité vise aussi à procurer du bien-être par le biais de la détente (massage…). Il ne faut pas plus de 4 jeunes car les différentes prises en charge se déroulent souvent de façon individuelle donc il ne faut pas que les jeunes trouvent le temps trop long.

Enfin, la notion d’esthétique est abordée à l’aide de différents outils (maquillage, coiffage, coupe des ongles…). Ce dernier temps est réalisé selon les besoins et demandes de chaque jeune. Par exemple, Maxime réclame souvent de se faire couper les ongles car il refuse de se laisser faire par sa maman. Les filles réclament souvent de « se faire belle » (parfum, vernis à ongles, coiffure…).
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
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Documents associés

DC4 - Dynamiques partenariales en foyer de vie

J'ai effectué mon stage de deuxième année en Belgique dans un foyer de vie accueillant des personnes adultes handicapées mentales. Dans le cadre du DC4 « implication dans les dynamiques partenariales, institutionnelles et interinstitutionnelles » je dois rendre un dossier sur les notions de partenariat et réseau dans mon institution.

Lors de mes expériences précédentes, j'avais, selon moi, déjà travaillé en partenariat. Notamment en stage en SEGPA avec la maison des ados ou encore les MFR.  Lors de la rédaction de ce dossier je me suis rendue compte que ma notion du partenariat était très floue, il a donc fallu que je m'appuie sur la théorie pour la définir plus précisément. C'est alors que je me suis rendue compte qu'il n'y avait pas de définition consensuelle et que tous les auteurs se contredisaient. Il y a un décalage entre la théorie des auteurs, l'utilisation du terme dans la vie courante et l'utilisation du terme selon les institutions. Afin de répondre au mieux à la commande, j'ai consulté un livre référence dans le domaine du partenariat, à savoir du travail social au travail ensemble de Fabrice Dhume. J'ai également consulté de nombreux sites internet, et quelques cours donnés par Monsieur Dumont (accessibles sur internet). J'ai pu alors revenir sur mon lieu de stage avec des questions plus précises et confronter mon point de vue avec celui de la structure.

Ce dossier est élaboré en trois parties, tout d'abord la partie théorie afin de situer un cadre de référence des notions évoquées. Ensuite une partie pratique, où j'explique et analyse le partenariat mis en place dans ma structure. Enfin une partie que j’appellerai « évaluation » où je reviens sur l'élaboration du partenariat et sur mon positionnement en tant qu'éducatrice spécialisé.

Rapport de stage et journal de bord en ITEP
En ITEP, l’éducateur est le référent du projet personnalisé individuel. Il est la courroie de transmission entre les différents intervenants et l’enfant. Il a pour mission la mise en place et la réalisation du projet du jeune dont il est référent. Il centralise les informations, prépare et rédige les synthèses, effectue le suivi à l’extérieur lors de stages, auprès des collèges, ou autres institutions travaillant avec le jeune ; il accompagne l’enfant dans les réunions avec la famille et l’assistante sociale. L’éducateur est pour le jeune un repère, un accompagnant à la vie professionnel, à la vie d’adulte en général. Ce sont les difficultés psychologiques qui constituent le premier élément d'indication pour une orientation vers un ITEP. Leur intensité et leur caractère durable en constituent des éléments essentiels lorsque les manifestations perturbent la scolarisation et la socialisation, qu'elles s'expriment sur un mode d'extériorisation ou de retrait, et ne sont pas d'ordre passager, circonstanciel ou réactionnel. Il s'agit de symptômes liés à des difficultés psychologiques qui perdurent. Les jeunes relevant d'ITEP se trouvent, malgré des potentialités intellectuelles préservées, engagés dans un processus handicapant pouvant compromettre à terme leur participation sociale. Ce processus handicapant requiert des moyens thérapeutiques, éducatifs et pédagogiques conjugués. Sous égide institutionnelle, un accompagnement personnalisé contribue à restaurer les compétences et potentialités des jeunes concernés, à rétablir leurs liens avec l'environnement social. Cette approche interdisciplinaire à visée soignante, avec personnalisation des propositions d'intervention, constitue une des principales spécificités des ITEP. D'une façon générale, les ITEP ne sont pas appropriés pour des enfants et adolescents présentant des troubles de type autistiques, des troubles psychotiques prédominants ou des déficiences intellectuelles .Les ITEP développent nécessairement des coopérations avec l'Éducation nationale et la pédopsychiatrie. Des ponts peuvent aussi être créés avec la protection de l'enfance, ou la protection judiciaire de la jeunesse.
Le désir et l’envie comme éléments de support pour devenir « sujet dans son environnement socioprofessionnel»
Dans cet écrit je vais tenter de démontrer comment quelque chose d’aussi anodin que d’apprendre à téléphoner, peut devenir un outil éducatif. Comment à partir de ce qui pourrait apparaître de prime abord comme un « pas grand-chose » pour une personne ordinaire, peut amener une personne déficiente à devenir sujet dans son environnement socioprofessionnel. Dans un premier temps je vais présenter le cadre institutionnel dans lequel je travaille, afin de bien comprendre le cadre juridique de mon intervention, et découvrir quels sont les missions et outils au service des usagers. Ensuite je présenterai Sophie, et ferai un détour théorique autour du désir et de l’envie comme éléments de support pour devenir « sujet dans son environnement ».
Les violences conjugales
« La violence faite aux femmes désigne tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin, causant ou susceptible de causer aux femmes des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, et comprenant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou la vie privée. » La violence conjugale est un processus de domination au cours duquel l’un des deux conjoints installe et exerce une emprise sur l’autre en usant : « … de tromperie, de séduction, de menaces, de contraintes ou de tout autre moyen à l’encontre de l’autre et ayant pour but et pour effet : - De l’intimider, de la punir, ou de l’humilier, - Ou de la maintenir dans des rôles stéréotypés liés à son sexe - Ou de lui refuser sa dignité humaine, son autonomie sexuelle, son intégrité physique, mentale ou morale, - Ou d’ébranler sa sécurité personnelle, son amour-propre, sa personnalité, - Ou de diminuer ses capacités physiques ou intellectuelles. » Processus de domination conjugale Il existe différentes violences : psychologique, physique, sexuelle, économique, verbale. L’humiliation détruit l’estime de soi. Lui refuser sa dignité humaine : atteinte au corps, obligation de nudité, interdiction de se laver, faire ses besoins dans un seau… Evaluer la dangerosité du conjoint : casiers judiciaires, armes, addiction, menaces, atmosphère de terreur. - Lors des entretiens : « qu’est ce qui vous fait le plus peur ? »

Chiffres violences couples - 115 femmes tuées par leur conjoint (ou ex-conjoint), et 7 par leur compagnon « non officiel ». Au moins 44 d’entre elles étaient victimes de violences antérieures connues. - 21 hommes ont été tués par leur partenaire de vie (dont un au sein d’un couple homosexuel). Au moins 8 d’entre eux étaient victimes de violences antérieures connues. - 40% des femmes et 8% des hommes qui ont tués leur conjoint(e) avaient antérieurement dénoncé des violences conjugales. - 36 enfants ont été tués dans le cadre de violences au sein du couple parental. 11 ont été tués par leur père en même temps que leur mère, et 25 sans que l’autre parent soit tué. - Dans 10 affaires les meurtres ont été commis devant les enfants, 55 enfants étaient présents au domicile au moment des faits (les enfants n’empêchent pas le meurtre). - 96 enfants sont devenus orphelins

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AMP / Accompagnant éducatif et social