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Aide médico-psychologique

L'aide médico-psychologique (AMP) ou accompagnant éducatif et social ( AES) intervient auprès de personnes jeunes ou adultes ayant un handicap physique ou mental important. Il peut s'occuper de personnes âgées dépendantes. Il les accompagne dans tous les actes de la vie quotidienne.

En quoi les institutions spécialisées peuvent elles aider au développement de l'autonomie chez des jeunes en situation de handicap ?

En quoi les institutions spécialisées peuvent elles aider au développement de l'autonomie chez des jeunes en situation de handicap ? Effectuer mon stage de deuxième année au centre R. L. m'a été bénéfique car il m'a permis d'affirmer mon projet professionnel. En effet, travailler pendant deux mois au sein d'une équipe pluridisciplinaire et avec des jeunes en situation de handicap m'a conforté dans mon orientation professionnelle : accompagner une personne ou un groupe dans le développement (ou le maintien) de son autonomie. Avec cette expérience de terrain, j’ai pu construire des relations accueillantes et dynamiques avec les jeunes mais également étayer mon sens des réalités ainsi que mon intérêt pour les problèmes sociaux et humains, ce qui est capital pour un futur travailleur social. J'ai pu découvrir l'organisation d'un centre médico-éducatif : internat, soins, service éducatif, professionnels, etc.
Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
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Documents associés

DC 1 : A la rencontre de l'ennui
Au long de mes deux stages, j’ai pu constater que la vie en institution pouvait être aliénante. Le rythme de vie est institutionnalisé, soit en lien avec l’emploi du temps des professionnels, soit en lien avec les attentes qu’ont les familles ainsi qu’avec le projet individualisé des usagers. Celui de chaque résident est organisé par des prises en charge de soins physique et/ou psychique, d’ateliers, de sorties, de loisirs, de sports... Cet accompagnement me semble nécessaire, afin de permettre à la personne d’avancer dans ses démarches de soins, de socialisation, de projet professionnel. Cependant, des instants qui pourraient permettre aux usagers de se retrouver seuls, me semblent importants. Serait-il nécessaire de dégager des temps libres, de façon institutionnelle, afin que les personnes puissent prendre des moments pour eux ? Je me suis beaucoup interrogée sur les temps libres dont disposent les personnes accueillies. Ils ne sont pas réfléchis de la même manière, selon ce qui a amené à cet accueil, l’institution, le public et l’âge. Comment peut-on préserver leur intimité lorsque l’institution ne laisse que peu de place à ces moments ? Mais alors, que se passe-t-il durant ces moments ? Comment dans une institution, où chaque minute est organisée, ces personnes peuvent-elles faire face à elles-mêmes ? D'après mes observations, ces personnes étaient rapidement envahies par l’ennui. Celui-ci, souvent perçu comme négatif « est synonyme de désoeuvrement, pouvant parfois être mortifère, sur son versant « positif », l’ennui permet à l’enfant de développer son imaginaire, sa créativité et de penser. Mais pour que celui-ci soit constructif, il s’avère nécessaire que l’enfant ait « appris » à s’ennuyer très tôt et qu’il puisse trouver dans son environnement de quoi y pallier par lui-même2 ». Dès lors, comment l’équipe et moi-même pouvons nous le travailler avec les personnes accueillies, et lui laisser la place dans la construction de l’être ?
Quel accompagnement au quotidien pour les publics placés en MECS

Je suis moniteur-éducateur en MECS depuis environ 3 ans. J'ai pu constater à plusieurs reprises, des difficultés rencontrées par le personnel éducatif en M.E.C.S. (Maison d'Enfants à Caractère Social) avec des enfants porteurs de troubles psychiques. Ces derniers, retirés de leur environnement familial et placés en milieu protégé, sont, pour la plupart, victimes de carences affectives sinon de violences intrafamiliales. Les conséquences, que ces problématiques ont sur le psychisme de ces enfants, peuvent conduire ces derniers à commettre des actes hétéro-agressifs, envers les professionnels de l’établissement, voire retourner leur violence contre eux-mêmes.

La préoccupation concernant ces sujets est telle que monsieur Jean-Pierre CHARTIER, docteur en psychologie[1], a créé en 2012, le terme d'incasables[2] pour désigner ces jeunes aux troubles psychiques. Ce praticien a fait le constat que ce public dérange les institutions, car il nécessite une prise en charge spécifique. Prise en charge que l’on pourrait penser d’ordre médical si les pôles « adolescents » des Centres Hospitaliers Spécialisés ne manquaient pas cruellement de place pour ces jeunes. Cela conduit les services judiciaires et ceux de la protection de l'enfance, à confier ces sujets à d'autres établissements d'accueil comme les Maisons d'Enfants.

Note de réflexion ME protection de l'enfance

Dès mon entrée en formation, j’ai observé l’importance du concept de séparation. J’ai réalisé que la séparation de l’enfant à ses parents est complexe et qu’elle est fortement liée aux notions d’attachement et de sécurité. Ces notions sont prises en compte par les équipes, durant la période d’adaptation. Au sein du foyer, j’ai remarqué que dans la majorité des situations d’accueil et de placements, la séparation de l’enfant à sa famille est rapide et assez « brutale ».

Souvent lors de la séparation les enfants, crient, pleurent, veulent rester avec leurs parents qui sont obligés de laisser l’enfant dans ce lieu. A l’opposé d’autres enfants sont passifs, calmes et se laissent « balloter » d’un endroit à l’autre. Derrière chacun de ses comportements j’ai pu observer une grande souffrance. En lien avec ce lieu, la question centrale de ma note de réflexion est :

« Comment, en tant que future Monitrice-Educatrice, accompagner l’enfant et ses parents durant la séparation dans le cadre du placement au Foyer Départemental de l’Enfance ? »

DC1 : Foyer d'Hébergement pour adultes déficients intellectuels
Lors de ma première année de formation, j'ai effectué mon stage long dans une structure médico-sociale, un Foyer d'Hébergement pour adultes déficients intellectuels. Durant ce stage, j’ai pu participer à une formation sur la sexualité de la personne handicapée qui m'a questionné sur mes sur mes représentations sociales de la personne déficiente et de sa sexualité, sur le désir d'enfants des personnes déficientes intellectuelles mais aussi sur leurs capacités à pouvoir éduquer leurs enfants. De ces interrogations, je me suis questionné sur la relation Mère/Enfant en générale. J'ai ensuite choisi de faire ma demande de stage de seconde année dans une Résidence Mères Enfants afin de connaître le secteur de la Protection de l'enfance.

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