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“ Notre espoir, c’est que nos enfants soient plus heureux que nous ” Afin de mieux cerner les difficultés d’insertion, d’intégration éprouvées par les habitants du quartier de la Zaine, en particulier des plus jeunes, j’ai voulu établir un état des lieux le plus exact, en vue d’une meilleure connaissance de la population concernée. J’ai voulu rassembler des témoignages, des études de cas, concrets, grâce à des entretiens approfondis, des statistiques émanant du Ministère de l’Education Nationale, du Ministère de la justice, du Ministère du travail, etc. Mon objectif : Exposer la situation telle qu’elle est, afin d’aider à l’élaboration de propositions donc mieux répondre aux vrais besoins de cette population et donc permettre aux politiques publiques de s’exercer plus efficacement. Je m’adresse aussi en direction des habitants, afin qu’ils comprennent mieux la vie de ce quartier.

Dans “le Creuset familial”, Augustus Napier et Carl Whitacker tentent de nous faire comprendre ce qu’est la thérapie familiale (le pourquoi d’une telle thérapie, ses diverses techniques, ses différentes étapes etc..). Pour ce faire ils s’appuient sur un exemple concret, celui de la famille Brice, qui est en fait une synthèse de l’histoire de plusieurs familles différentes.

La situation économique actuelle a provoqué pour certains d'entre nous, de plus en plus nombreux, des difficultés financières ne leur permettant plus de faire face à leurs charges. Phénomène assez récent, le surendettement s'est rapidement installé dans la société française. Il semble toucher de plus en plus de personnes et, surtout, perdurer et s'aggraver. Nous tenterons de cerner les différentes franges de la population qui sont menacées par ce nouveau fléau qu'est le surendettement. Cette entreprise s'avère relativement difficile à cause du manque d'éléments chiffrés et qualitatifs permettant d'apprécier ce phénomène. Mais il en ressort que le sur endetté n'est pas obligatoirement un débiteur prodigue dans sa consommation, un souscripteur de nombreux prêts. Il est aussi, et de plus en plus aujourd'hui, un salarié n'arrivant plus à faire face à une consommation de base.

I/ LES ABERATIONS SEXUELLES La pulsion alimentaire dans le langage courant se caractérise par la faim. Il en est de même pour la pulsion sexuelle, ou la science emploie à cet effet le terme de libido. Introduisons deux termes : - Objet sexuel, personne dont émane l’attraction sexuelle. - But sexuel, l’acte auquel pousse la pulsion. Notons que ces deux pôles démontre de nombreuses déviations. 1) Déviation par rapport à l’objet sexuel On appelle des personnes sexuelles contraires, ou mieux invertis, et le fait lui même est appelé inversion : hommes pour qui l’objet sexuel n’est pas représenté par la femme, mais par l’homme. Il est de même pour la femme.

A) L’inversion Le comportement des invertis est différent : - Les invertis absolus, dont l’objet sexuel ne peut être qu’homosexuel. - Les invertis amphigènes (hermaphrodites psychosexuels) , dont l’objet sexuel peut aussi bien appartenir au même sexe qu’à l’autre. - Les invertis occasionnels qui sous certaines conditions prennent pour objet sexuel une personne de même sexe. Ces derniers assument et défendent avec ardeur le droit pour l’inversion, et veulent mettre celle-ci sur le même plan que la sexualité normale. Toutefois, d’autres se révoltent contre le fait de leur inversion et la ressentent comme une contrainte morbide. Dans la forme la plus extrême, on peut admettre à peu prés régulièrement que l’inversion a existé dés le très jeune âge. La conception de l‘interprétation de l’inversion doit être appréciée séparément : l’innéité et la dégénérescence.

Il est beaucoup question actuellement de « la violence à l’Ecole ". Quelle que soit la réalité de la dégradation _ relative _ du climat dans un certain nombre d’établissement, on ne peut pourtant dire que la violence soit totalement nouvelle et que l’usage de la force entre élèves (nous ne parlerons pas ici de la violence sur adultes) soit neuve. La bagarre de cour de récréation est vieille comme la socialisation. Mais que signifie-t-elle encore de nos jour

1. Indications essentielles Comme je l’ai écrit précédemment, E. LABORIT est actrice. Son livre ne fait en aucun cas l’objet d’un travail de recherche ou d’analyses thématiques. Il s’agit simplement de son autobiographie. Ecrire l’histoire de sa vie à seulement 22 ans peut sembler étonnant. Cependant, E.LABORIT est née sourde profonde ce qui l’a obligée à mener plusieurs combats. Combat sur elle-même, pour comprendre sa différence, pour écrire cet ouvrage. Mais surtout combat sur les autres et pour les autres.

Elle a du se faire accepter par son entourage, combattre l’interdiction de la langue des signes dans l’enseignement (officiellement interdite jusqu’en 1991, mais cette aversion pour la langue gestuelle des sourds est encore présente aujourd’hui), lutter pour faire connaître les droits des trois millions de sourds en France. Cela l’a amenée à atteindre une certaine maturité d’esprit plus vite que les jeunes filles de son âge. Comme elle l’écrit elle-même : «Je ne suis pas vieille, mais il s’est passé depuis ma naissance énormément de choses. J’ai «vieilli» en accéléré. […] J’ai l’impression d’avoir avancé très vite.»

Un phénomène économique, social, s'amplifie et se médiatise, de plus en plus, depuis le début des années 80. Aujourd'hui, à la fin des années 90, nous pouvons dire que le phénomène s'est imposé dans notre environnement quotidien, mettant ainsi un terme à une première période d'expansion. A l'aube de l'an 2000, les jeux vidéo se sont répandus sur l'ensemble de la planète, profitant des dernières innovations technologiques. Pourtant, tous les initiés nous disent que nous n'en sommes qu'à la « préhistoire » des jeux vidéo. Au-delà de l'émergence d'un phénomène de masse, nous ne pouvons ignorer que les jeux vidéo ont essentiellement un public d'enfants et d'adolescents. Mais les enfants grandissent et les jeunes des années 80 sont aujourd'hui devenus des adultes qui utilisent, créent et améliorent des concepts de jeux de plus en plus attractifs. Le fait est que les individus passent de plus en plus de temps à jouer ou à utiliser des logiciels.

Avant de commencer mon stage pratique, je n’avais jamais travaillé auprès de personnes handicapées. Lorsque j’ai eu la confirmation de mon stage, j’ai eu beaucoup d’appréhension car je me posais des questions concernant mes capacités face à ce handicap en particulier. J’allais effectuer mon stage auprès d’adultes autistes et je ne connaissais de l’autisme, comme beaucoup de personnes, que le film « Rain Man » ; j’ai très vite compris que la réalité était tout autre.

Cette recherche sur la maladie m’a également permis de comprendre une jeune fille autiste à forte tendance schizophrénique avec qui j’ai été en contact durant mon stage pratique. La schizophrénie est une affection qui touche 1% de la population française et qui engendre pour le malade comme pour ses proches des situations douloureuses aboutissant parfois à l’exclusion. « schizophrénie », ce nom de maladie qui sonne comme un nom de fleur est une pathologie relativement peu fréquente mais il est établi que c’est une pathologie sévère

L’éducateur est amené dans sa pratique professionnelle à faire de nombreuses références aux droits et aux lois, afin de donner un cadre structuré aux jeunes, il doit être capable de les apporter à travers les actes de la vie quotidienne . Le jeune doit prendre conscience en tant que citoyen ,il a des droits et des devoirs . Ce dossier est destiné aussi bien aux éducateurs qu’aux enfants accueillis dans une MECS. Notre problématique a été choisi en rapport avec notre expérience professionnelle .En effet ,au quotidien, nous sommes confrontés à des provocations volontaires des enfants qui usent de leurs droits à mauvaise escient . Nous essayons à travers ce dossier de donner des réponses aux professionnels qui doivent faire face à ce type de situation et de répondre aux enfants qui oublient leurs droits et leurs devoirs .

L’intérêt que j’ai porté à cette réflexion vient du fait que dans le service d’AEMO administrative où j’ai effectué mon stage de troisième année, près de la moitié des familles étaient monoparentales et que dans l’autre moitié le père avait une place effacée. Ce choix m’est venu à l’esprit sur le constat fait face à l’absence physique ou non du père ou son effacement au sein de familles en difficultés. Le père n’est-il pas souvent la cause de l’éclatement de la cellule familiale ? Leur absence, surtout dans les quartiers difficiles, peut-elle expliquer pour une part les comportements des enfants en difficultés ? A travers cette réflexion sur le travail éducatif auprès et autour du père, se pose aussi la question de la place de l’éducateur homme face aux familles qui souffrent de défaillances paternelles dans une profession où les femmes sont majoritaires et qui se féminise de plus en plus. Mon travail va consister dans une première partie à déterminer le rôle du père sous les aspects psychologique et sociologique ainsi que dans le développement de l’enfant. Je dresserai un historique de la paternité, montrerai l’évolution de son rôle des années 1965 à aujourd’hui. Dans une deuxième partie je définirai le rôle de l’éducateur, sa place face à un père « absent », effacé, voir dévalorisé et quel travail éducatif il peut être fait autour du père par rapport aux enfant, la mère, et lui. Une analyse de différentes situations rencontrées sera également faite.

Dès notre première rencontre, nous nous sommes questionnés sur la notion d’internat spécialisé et sa définition. Nos recherches au C.E.R.I.S (dictionnaires, encyclopédies, revues spécialisées…) ne nous ont pas éclairés davantage sur la signification de ce terme. Nous pensions que la notion d’internat spécialisé recouvrait l’ensemble des structures susceptibles d’accueillir des enfants ou des jeunes séparés de leur famille. La notion de séparation était incontournable. Dans quel cas alors pouvions nous parler d’internat spécialisé ? Notre retour sur nos différents lieux de stage et lieux professionnels ont amené un élément nouveau sur le sens que nous pouvions donner à la notion d’internat spécialisé. Selon un pédopsychiatre, un internat spécialisé recouvre l’ensemble des internats dans lesquels la dimension thérapeutique fait partie intégrante des missions d’établissement et de la prise en charge des usagers. Il nous fallait réduire notre recherche aux internats impliquant des professionnels du secteur médical : psychiatre, psychologue, infirmière, médecin généraliste et spécialiste. De là, la notion d’internat spécialisé pouvait regrouper les structures suivantes : institut de rééducation, institut médico-éducatif, maison d’enfants à caractère sanitaire.

La question de la multiplicité des intervenants se pose donc ainsi que celle de la spécificité de ces interventions et surtout celle du bénéfice que pourra en retirer l’enfant pour accéder à un mieux être et atténuer ses souffrances psychiques. L’éducatif et le soin ont leur propre champ d’intervention, mais quel est le rôle de l’éducateur intégré à une équipe soignante ayant la charge des enfants en souffrance psychique? Mon sujet d’étude est centré sur l’enfant dans une prise en charge pluriaxiale ayant un axe éducatif. Pour Michel LEMAY, Parmi les différents praticiens s’occupant de jeunes en difficultés sociales, mentales ou physiques, l’éducateur se caractérise par la possibilité de partager des périodes de vie avec des enfants ou un groupe d’enfants, afin de les aider à mieux se situer par rapport à eux-mêmes. Cette réflexion a, pour l’éducateur en devenir que je suis, toute son importance puisqu’elle indique le rôle de l’éducateur spécialisé sans restriction de lieu ni de personnes à charges, en y incluant la possibilité de travailler dans un milieu où se côtoient différents praticiens pour le mieux être de l’usager.

L’accueil que réserve une société donnée à la différence, à l’anormalité, révèle bien des choses de son fonctionnement, des valeurs qu’elle véhicule, et de l’idée qu’elle se fait d’elle-même. La place que notre société occidentale réserve à la personne handicapée nous apporte donc un témoignage concret de cette construction socio-culturelle, influencée par l’héritage du passé et ses aspirations nouvelles. Traditionnellement, la pensée chrétienne assimile « l’arriéré », « l’idiot » au fou et au criminel, et leur anormalité est l’œuvre de Dieu qui entend ainsi faire expier à certains humains les fautes de ceux qui les ont précédés. Si à présent notre société transmet des valeurs diamétralement opposées, il n’en reste pas moins que l’idée selon laquelle l’enfant touché par la différence est une punition divine a marqué profondément les mentalités, justifiant l’exclusion dont celui-ci était l’objet. C’est dans ce contexte que la pensée de l’autre différent, anormal, handicapé a évolué pour aboutir, parfois, à une autre extrémité conduisant à un égalitarisme béat qui nie la différence ; la revendication d’égalité entre personnes handicapées et non handicapées est une représentation idéalisée, un piège qui conduit à une forme de rejet par indifférenciation.

La situation que j’ai retenue émane en effet d’un appel téléphonique d’une éducatrice travaillant dans une association d’accueil de jour pour personnes sans domicile fixe, en difficulté et/ou en situation de précarité. Basée dans l’Est des PO, dans une région qui regroupe une importante population de marginaux, cette association ne pratique qu’un hébergement de fortune, avec une capacité d’accueil très réduite ( trois lits ). Elle ne peut, ce 8 avril 1997, répondre à la demande de protection et d’hébergement d’une jeune femme de 26 ans violentée par son compagnon.

Je pense que Candide est une œuvre de clairvoyance, de pessimisme et de résignation mais aussi d’espoir : Elle offre à l’homme un art de vivre et un moyen de donner un sens à son existence, car la vie, malgré tous ses maux, vaut la peine d’être vécue à condition de savoir goûter des satisfactions, modestes sans doute, mais réelles. Je veux dire qu’une satisfaction, aussi petite qu’elle soit, doit profiter a notre moral, à notre apprentissage. Tout les jours, en réfléchissant, je pense que je peux goûter à cela : même à propos de chose qui nous paraissent banales : le fait de vivre dans un pays en paix, le fait de manger à ma faim, le fait d’être en bonne santé...

J'ai choisi de traiter comme thème la relation éducative, car que je considère que c'est l'outil privilégié de l'accompagnement social. L'attention portée sur ce sujet s'appuie sur une expérience professionnelle, lors d'un stage long, au sein d'une association qui accompagne des jeunes majeurs, vers une insertion socioprofessionnelle. La particularité de ma recherche est née lors de ce stage, aux côtés de ces jeunes majeurs, habitant en milieu rural. J'ai remarqué que les plus fragilisés sont en décalage avec une certaine réalité sociale. Leurs liens familiaux et sociaux ne sont pas totalement rompus, mais la perte de lien n'est pas toujours compensée par la reconstitution de relations sociales durables.

Dans le déroulement de notre formation à l’I nous avons eu à réfléchir et à essayer de mettre en place un projet dans le secteur du travail social. Ce travail de groupe doit nous amener à utiliser les connaissances méthodologiques qui nous ont été enseignées et à nous faire travailler dans une perspective opérationnelle. Les groupes de travail se sont ainsi formés librement, autour d’une idée partagée à priori par tous, mais chaque membre aura à soutenir la démarche qu’il a eue tout au long du projet. Nous nous sommes ainsi retrouvés au nombre de sept (1 élève assistante sociale et 6 élèves éducateurs spécialisés) autour du projet suivant : mettre en place sur la Loire une structure d’accueil, de relais et de médiation pour des jeunes placés en institution ou en famille d’accueil. Nous avons principalement utilisé les connaissances pratiques que nous ont données nos expériences professionnelles respectives pour aborder une problématique et avons privilégié l’opérationnel plutôt que le théorique. Ainsi, notre approche et sans doute certaines de nos affirmations peuvent risquer d’apparaître comme hâtives mais nous souhaitons que cela soit dépassé au profit de l’aspect opérationnel et concret de notre projet.

1. ÉTUDE DE SITUATION DE H. 1.1. SITUATION ANTÉRIEURE 1.1.1. LE CONTRAT JEUNE MAJEUR 1.2. PERSONNALITÉ DE H. 1.3. SITUATION ACTUELLE 1.3.1. RÉGULARISATION DES ÉTRANGERS 1.4. PROJET D’ORIENTATION 1.4.1 LES EMPLOIS JEUNES 1.4.2. LE CONTRAT DE QUALIFICATION

L’inceste, acte entre parent et enfant, est devenue une réalité reconnue. Il y a quelques années seulement ce problème était tu, ignoré volontairement ou nié. Le seul «traitement», quand il y en avait un, était d’ordre judiciaire alors que les effets produits sur la victime étaient ignorés. Ce problème commence à faire l’objet d’étude médicale montrant la souffrance des victimes, les séquelles psychologiques fréquentes et la nécessité d’une réponse thérapeutique et éducative appropriée.

Professionnel ou non, celui qui est amené à rencontrer un enfant victime d’abus sexuel est assailli par une multitude d’interrogations : comment cela est-il possible ? Pourquoi cet enfant-là ? Comment vit-il ? Qui sont ses parents ? … La prise en charge éducative et thérapeutique d’enfants ou d’adolescents ayant subi l’inceste demande une bonne compréhension de cette problématique : c’est une des missions du travailleur social. Quels outils et supports peuvent être alors utilisés ? En effet, le moniteur éducateur doit savoir en quoi telle ou telle activité répond à la problématique d’une jeune victime.

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