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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Passeur ou Comment l'éducateur accompagne les passages

Passeur  ou  Comment l'éducateur accompagne les passages Mon approche de mise en relation a évolué avec mon expérience. Plusieurs points sont importants pour moi dans mon entrée en relation et dans l’accompagnement que je peux apporter aux personnes. De mon parcours, je retiens l’importance que j’accorde à l’écoute : celle de mes ressentis, celle de mes pairs et celle des personnes. Je crois que sans cela, l’accompagnement qu’est le mien, n’aurait pas la même teneur. Afin d’avoir une écoute empathique, je pense qu’il faut mesurer l’importance de la distance dans la relation.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
Date de création: 28-06-2019
Historique du document: 0
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Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. 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Dés lors, je peux me demander à quel moment nous connaissons une personne, ce qui fait que nous pouvons considérer que nous avons des rapports avec une personne, que nous tissons des liens avec une personne, etc. Donc à quel moment nous entrons en relation avec l’ « autre », l’ « étranger ».
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Au cours de mon stage j’ai suivi particulièrement un groupe au niveau des activités éducatives, mais aussi dans ces moments du quotidien. Je vais vous présenter une situation : le temps du repas. Le temps du repas se déroule de 12h45 à 13h15 environ. Les jeunes rentre au self, font la queue, les éducateurs veillent a ce que tous se passe pour le mieux. Les jeunes prennent un plateau, leurs verre, leurs couvert, le pain et choisissent leur entrée (parfois plusieurs choix) et prennent leur dessert et plat principal, l’éducateur veille a ce que tous les plats soient pris, et si cela n’est pas fait, il demande au jeune de le faire. Une fois servis les jeunes s’assoient à la table avec les camarades de leur choix. Moi, je fais de même, je choisie mes plats et m’assoie a une table avec des jeunes. Chaque éducateur ou autre professionnel font de même. L’éducatrice référente de mon stage m’a signifié au début du stage qu’il faut que les jeunes goutent à tout, et qu’ils mangent correctement. Je conçois le raisonnement.
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Après m'être demandé dans quel type d'institution j'ai effectué mon stage, je me demanderais quels sont les caractéristiques du territoire d’action, et dans quel cadre se limite cette action, c'est à dire dans quel type de service ai-je travaillé. Nous nous intéresserons ensuite à l'ensemble de la démarche de la création d'un partenariat au sein de ce terrain de stage, de la naissance de l'hypothèse jusqu'au bilan en passant par la mise en œuvre. Cela nous amènera à analyser ensuite cette démarche, à en comprendre les limites mais également les potentialités en vue de s'intéresser, dans un dernier temps, aux compétences que j'ai mis en œuvre dans l'ensemble de cette approche.

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